Autres articles
"ELEGANCE/ISROFLY : « Il n’est plus temps de chercher la porte si vous êtes déjà passé devant ! » (Proverbe grec ANTISTHEME IV Av JC).
Comme toujours, les « cellules de crise » ont été mise en place par le Ministre du Tourisme et du Transport, l’APS, le CETO et le SNAV. Les « Pontes » de l’industrie du tourisme vont s’entendre pour promulguer plus de législations, plus de réglementations, plus d’assurances… que va-t-il en découler ? : Comme d’habitude plus de coûts !
STOP !
Quelque chose doit être réellement fait. Nous sommes tous d’accord. L'opinion publique doit être rassurée et la confiance entre tous les professionnels doit être restaurée.
Cet homme, né à Paris, le 15 juillet 1848 peut nous aider. Il a certainement facilité le succès de la plupart des grandes entreprises internationales.
Au lieu d'une réaction typique de panique « après coup », le secteur du voyage devrait s’inspirer des expériences des autres où la « qualité » est la clef de voûte principale depuis des décennies. Six-Sigma a été le processus choisit pour la plupart des grandes entreprises internationales tels que Motorola, GE, Microsoft, Alcoa, Saint-Gobain, etc.
Le précepte de base et fondamental de l'approche de Six-Sigma est la nécessité de savoir, mesurer et comprendre la situation existante, puis de pouvoir mesurer et quantifier les résultats de toutes actions/réactions….. Aucune action n'est prise sans pouvoir mesurer et quantifier. Si on peut mesurer on peut corriger.
Les grands gourous de cette méthodologie sont renommés (Demming, Juran, Feigenbaum), ils ont été les principaux acteurs de la croissance économique du Japon et des Etats-Unis. Mais très peu se rappellent que certains des points fondamentaux de ces approches viennent de cet homme de naissance parisienne !
Vilfredo Pareto (né à Paris - France le 15 juillet 1848 ; décédé à Céligny - Suisse le 19 août 1923) était un sociologue, économiste et philosophe. Il a apporté de nombreuses contributions importantes dans ces matières, particulièrement dans l'étude de la distribution du revenu et dans l'analyse des choix individuels. Il introduisit le concept de l'efficacité et aida le développement du champ de la microéconomie avec des idées telles que la courbe d'indifférence. . (http://fr.wikipedia.org/wiki/Wilfredo_Pareto)
Mais que peut-il faire pour nous 83 ans après sa mort ? Il y a au moins trois éléments de son travail qui peuvent être appliqués à la situation actuelle :
1. « la règle 80-20 » (ou « principe de Pareto ») qui nous aide à identifier quelques facteurs importants…
Elegance et Isrofly sont à la « Une ». Mais quid des autres « catastrophes » de ces dernières années :
Dans presque chaque cas, bien que la cause fondamentale ait pu être due à de la mauvaise gestion ou peut-être même, comme on l’a suggéré, à de l'avarice ou de la malhonnêteté, les « crises » sont toujours intervenue quand il y avait des problèmes de paiement entre deux acteurs de l'industrie du voyage.
2. Pareto a également étudié le choix individuel…
L'impact de chaque événement est, obligatoirement, très médiatisé et publique… n’oublions pas que le client final est le public. Chaque personne en Europe voyage ou prend des vacances avec des sociétés impliquées d’une façon ou d’une autre dans le secteur touristique. Chacun a besoin d’être rassuré. Le travail de Pareto sur le choix individuel nous aide à évaluer comment les gens réagiront à la publicité négative, et comment ils vont aller logiquement choisir leur produit ailleurs.
3. La notion d' « optimum de Pareto » permet de diviser en deux l'ensemble des états possibles de la société. On peut ainsi distinguer :
 ceux qui sont uniformément améliorables : il est possible d'augmenter le bien-être de certains individus (voir sociétés) sans réduire celui des autres.
 ceux qui ne sont pas uniformément améliorables : l'augmentation du bien-être de certains individus (voir sociétés) implique la réduction du bien-être d'au moins un autre individu (voir société).
De par sa nature, le secteur du tourisme est complexe…
• Les fournisseurs principaux doivent faire des investissements d'équipements énormes (avion, construction d'hôtel, etc.),
• Les producteurs ont besoin d'argent comptant pour avancer les dépenses (« fonds de roulement » plus qu’un investissement de capital), pour créer et promouvoir le produit (achats confirmés où options, catalogues/sites Web) ;
• Les distributeurs sont peu capitalisés, et dépendent de l’écart règlement/encaissement avant de toucher finalement leur commission ;
• Le client final veut payer le moins possible et à la dernière minute.
Ce qui conduit inévitablement à un cercle vicieux sur les termes de règlements entre les principaux acteurs de cette chaîne (Tours Opérateurs, Agences de Voyages, compagnies aériennes, réceptifs, chaînes d’hôtels, etc.). Ajoutez à ce mélange, le fait que le secteur est très concurrentiel, les marges sont basses et que les coûts de distribution sont hauts… et nous obtenons une recette idéale pour un désastre annoncé.
Une crise de liquidité temporaire pour une compagnie, couplée à un manque de confiance de ses fournisseurs, peut causer l’effondrement d’une société qui est autrement viable…… conséquence : les autres acteurs du tourisme doivent se débrouiller pour trouver une solution à court terme (lutter contre un incendie coûte toujours plus cher). Chaque catastrophe de ce type génère une publicité énorme, et aggrave l’insécurité de chaque membre de l’industrie du tourisme (spécialement quand cela devient fréquent dans d'autres pays ou dans d'autres cultures).
Législation et réglementation :
Cela peut (?) aider à réduire les risques dus à l'incompétence ou à la malhonnêteté. Mais chaque acteur doit payer un prix encore plus important en coûts d'administration et de bureaucratie. En effet, ces surcoûts sont appliqués sur chaque société, et non à celle qui semblerait « à risque ». Cette voie revient infiniment plus cher pour tous (vaut t’il mieux ne gérer que les risques réels ?).
Fonds de Garantie/assurances :
Ils entrent en vigueur après l'événement. À moins qu'ils puissent être efficaces dans la seconde, la publicité négative s'est déjà produite : les medias s’emparent des passagers ou touristes bloqués, sans attendre les négociations éventuelles entre chaque partenaire concerné. Les dommages sont faits. Dans tous les cas, ajouté au fait que ces fonds de garantie/assurance augmentent les frais de tous les acteurs du tourisme, il faut se rappeler que ceux qui en récoltent les bénéfices directs sont les assureurs et le secteur bancaire. Ces promoteurs devraient peut-être changer de métier et chercher plutôt à faire carrière dans ces domaines plus particulièrement et non dans le tourisme !
Où Pareto veut-il guider l'industrie du tourisme français ?
Le détonateur principal pour tous ces événements a été le manque/retard de paiement.
La solution
Imaginons que chaque règlement entre tous les intervenants de l'industrie (mondiale) du tourisme était certain… sans retard, sans risque.
Oui ! Certaines compagnies feraient faillite du fait de leur mauvaise gestion ou par malhonnêteté, mais le coût serait restreint aux frais réels (non « hypothétiques ») sans effet de dominos.
Si l’APS, le CETO, le SNAV, etc., pouvaient avoir une visibilité sur le règlement des paiements entre toutes les parties concernées, tous dommages collatéraux pourraient être évité. Naturellement, quelqu'un devra payer. Plus important, cela serait à titre « proactif » et non « réactif ».
Comment peut-on le mettre en place ?
Par la création d'un simple compte de transit intermédiaire pour tous les membres de l’industrie du tourisme français.
Le concept est simple :
Un compte de transit dans lequel sont entrés tous les règlements dus (par date d’échéance), et au travers duquel passe tous les règlements effectués (transactions par prélèvement/virements automatiques). Le solde de ce compte doit être toujours zéro, si ce n’est pas le cas… quelque chose s’est mal passée
Chaque société qui a passé une commande, transmettrait tous les détails des paiements dues (montant, date d’échéance, bénéficiaire, détails bancaires) à une base de données centrale.
De la même manière, chaque société attendant un règlement devrait transmettre leurs propres données afin de les croiser. Pour simplifier les choses, la somme de toutes les transactions des deux parties peut être calculé sur des intervalles de temps (par ex : hebdomadaire, quinzaine, mensuel). Quand il arrive un « défaut de paiement », le montant manquant sur le compte de transit est pris sur un compte correspondant à un fond de garantie prévisionnel. La société attendant le règlement a été payé. Pas de drame, pas de publicité négative.
A l'instant même où une société n'aurait pas les liquidités nécessaires à la date d’échéance, l’organisme central le saurait et aura, par conséquent, déjà effectué le paiement « en lieu et place » du débiteur ; en avertissant tous les membres de l'industrie de son défaut de paiement. Malgré tout, si une société souhaitait travailler avec ce « fautif », il serait convenu qu’elle doit garantir impérativement le service et en assumerait seule les conséquences.
Réduire les coûts et financer le fond de garantie prévisionnel
Maintenant rendons les choses encore plus simples et réduisons nos coûts !
Tous les échanges pourraient être « subrogés » à l’organisme central, qui automatiquement débiterait les débiteurs et créditerait les bénéficiaires aux dates d’échéance convenues (une simple opération automatisée). Le fond de garantie prévisionnel serait financé par une petite commission sur les volumes traités pour les bénéficiaires (déduction d’une dérisoire fraction / % pour l’alimenter)
Imaginez…..réduction des coûts administratifs ! Des charges sur la comptabilité et contrôles réduits à pratiquement rien. Il faut considérer également la réduction des frais bancaires ! Ces économies ensemble à la sécurité du paiement, devraient sans soucis couvrir la minuscule commission imposée : donc des bénéfices supplémentaires.
Que fait t’on maintenant ?
Analysons, réfléchissons ensemble, ne compliquons pas les choses indéfiniment, et pourquoi pas ? Lisons Pareto…".
Nathalie Moreau
Expert "assurance crédit export"
Comme toujours, les « cellules de crise » ont été mise en place par le Ministre du Tourisme et du Transport, l’APS, le CETO et le SNAV. Les « Pontes » de l’industrie du tourisme vont s’entendre pour promulguer plus de législations, plus de réglementations, plus d’assurances… que va-t-il en découler ? : Comme d’habitude plus de coûts !
STOP !
Quelque chose doit être réellement fait. Nous sommes tous d’accord. L'opinion publique doit être rassurée et la confiance entre tous les professionnels doit être restaurée.
Cet homme, né à Paris, le 15 juillet 1848 peut nous aider. Il a certainement facilité le succès de la plupart des grandes entreprises internationales.
Au lieu d'une réaction typique de panique « après coup », le secteur du voyage devrait s’inspirer des expériences des autres où la « qualité » est la clef de voûte principale depuis des décennies. Six-Sigma a été le processus choisit pour la plupart des grandes entreprises internationales tels que Motorola, GE, Microsoft, Alcoa, Saint-Gobain, etc.
Le précepte de base et fondamental de l'approche de Six-Sigma est la nécessité de savoir, mesurer et comprendre la situation existante, puis de pouvoir mesurer et quantifier les résultats de toutes actions/réactions….. Aucune action n'est prise sans pouvoir mesurer et quantifier. Si on peut mesurer on peut corriger.
Les grands gourous de cette méthodologie sont renommés (Demming, Juran, Feigenbaum), ils ont été les principaux acteurs de la croissance économique du Japon et des Etats-Unis. Mais très peu se rappellent que certains des points fondamentaux de ces approches viennent de cet homme de naissance parisienne !
Vilfredo Pareto (né à Paris - France le 15 juillet 1848 ; décédé à Céligny - Suisse le 19 août 1923) était un sociologue, économiste et philosophe. Il a apporté de nombreuses contributions importantes dans ces matières, particulièrement dans l'étude de la distribution du revenu et dans l'analyse des choix individuels. Il introduisit le concept de l'efficacité et aida le développement du champ de la microéconomie avec des idées telles que la courbe d'indifférence. . (http://fr.wikipedia.org/wiki/Wilfredo_Pareto)
Mais que peut-il faire pour nous 83 ans après sa mort ? Il y a au moins trois éléments de son travail qui peuvent être appliqués à la situation actuelle :
1. « la règle 80-20 » (ou « principe de Pareto ») qui nous aide à identifier quelques facteurs importants…
Elegance et Isrofly sont à la « Une ». Mais quid des autres « catastrophes » de ces dernières années :
Dans presque chaque cas, bien que la cause fondamentale ait pu être due à de la mauvaise gestion ou peut-être même, comme on l’a suggéré, à de l'avarice ou de la malhonnêteté, les « crises » sont toujours intervenue quand il y avait des problèmes de paiement entre deux acteurs de l'industrie du voyage.
2. Pareto a également étudié le choix individuel…
L'impact de chaque événement est, obligatoirement, très médiatisé et publique… n’oublions pas que le client final est le public. Chaque personne en Europe voyage ou prend des vacances avec des sociétés impliquées d’une façon ou d’une autre dans le secteur touristique. Chacun a besoin d’être rassuré. Le travail de Pareto sur le choix individuel nous aide à évaluer comment les gens réagiront à la publicité négative, et comment ils vont aller logiquement choisir leur produit ailleurs.
3. La notion d' « optimum de Pareto » permet de diviser en deux l'ensemble des états possibles de la société. On peut ainsi distinguer :
 ceux qui sont uniformément améliorables : il est possible d'augmenter le bien-être de certains individus (voir sociétés) sans réduire celui des autres.
 ceux qui ne sont pas uniformément améliorables : l'augmentation du bien-être de certains individus (voir sociétés) implique la réduction du bien-être d'au moins un autre individu (voir société).
De par sa nature, le secteur du tourisme est complexe…
• Les fournisseurs principaux doivent faire des investissements d'équipements énormes (avion, construction d'hôtel, etc.),
• Les producteurs ont besoin d'argent comptant pour avancer les dépenses (« fonds de roulement » plus qu’un investissement de capital), pour créer et promouvoir le produit (achats confirmés où options, catalogues/sites Web) ;
• Les distributeurs sont peu capitalisés, et dépendent de l’écart règlement/encaissement avant de toucher finalement leur commission ;
• Le client final veut payer le moins possible et à la dernière minute.
Ce qui conduit inévitablement à un cercle vicieux sur les termes de règlements entre les principaux acteurs de cette chaîne (Tours Opérateurs, Agences de Voyages, compagnies aériennes, réceptifs, chaînes d’hôtels, etc.). Ajoutez à ce mélange, le fait que le secteur est très concurrentiel, les marges sont basses et que les coûts de distribution sont hauts… et nous obtenons une recette idéale pour un désastre annoncé.
Une crise de liquidité temporaire pour une compagnie, couplée à un manque de confiance de ses fournisseurs, peut causer l’effondrement d’une société qui est autrement viable…… conséquence : les autres acteurs du tourisme doivent se débrouiller pour trouver une solution à court terme (lutter contre un incendie coûte toujours plus cher). Chaque catastrophe de ce type génère une publicité énorme, et aggrave l’insécurité de chaque membre de l’industrie du tourisme (spécialement quand cela devient fréquent dans d'autres pays ou dans d'autres cultures).
Législation et réglementation :
Cela peut (?) aider à réduire les risques dus à l'incompétence ou à la malhonnêteté. Mais chaque acteur doit payer un prix encore plus important en coûts d'administration et de bureaucratie. En effet, ces surcoûts sont appliqués sur chaque société, et non à celle qui semblerait « à risque ». Cette voie revient infiniment plus cher pour tous (vaut t’il mieux ne gérer que les risques réels ?).
Fonds de Garantie/assurances :
Ils entrent en vigueur après l'événement. À moins qu'ils puissent être efficaces dans la seconde, la publicité négative s'est déjà produite : les medias s’emparent des passagers ou touristes bloqués, sans attendre les négociations éventuelles entre chaque partenaire concerné. Les dommages sont faits. Dans tous les cas, ajouté au fait que ces fonds de garantie/assurance augmentent les frais de tous les acteurs du tourisme, il faut se rappeler que ceux qui en récoltent les bénéfices directs sont les assureurs et le secteur bancaire. Ces promoteurs devraient peut-être changer de métier et chercher plutôt à faire carrière dans ces domaines plus particulièrement et non dans le tourisme !
Où Pareto veut-il guider l'industrie du tourisme français ?
Le détonateur principal pour tous ces événements a été le manque/retard de paiement.
La solution
Imaginons que chaque règlement entre tous les intervenants de l'industrie (mondiale) du tourisme était certain… sans retard, sans risque.
Oui ! Certaines compagnies feraient faillite du fait de leur mauvaise gestion ou par malhonnêteté, mais le coût serait restreint aux frais réels (non « hypothétiques ») sans effet de dominos.
Si l’APS, le CETO, le SNAV, etc., pouvaient avoir une visibilité sur le règlement des paiements entre toutes les parties concernées, tous dommages collatéraux pourraient être évité. Naturellement, quelqu'un devra payer. Plus important, cela serait à titre « proactif » et non « réactif ».
Comment peut-on le mettre en place ?
Par la création d'un simple compte de transit intermédiaire pour tous les membres de l’industrie du tourisme français.
Le concept est simple :
Un compte de transit dans lequel sont entrés tous les règlements dus (par date d’échéance), et au travers duquel passe tous les règlements effectués (transactions par prélèvement/virements automatiques). Le solde de ce compte doit être toujours zéro, si ce n’est pas le cas… quelque chose s’est mal passée
Chaque société qui a passé une commande, transmettrait tous les détails des paiements dues (montant, date d’échéance, bénéficiaire, détails bancaires) à une base de données centrale.
De la même manière, chaque société attendant un règlement devrait transmettre leurs propres données afin de les croiser. Pour simplifier les choses, la somme de toutes les transactions des deux parties peut être calculé sur des intervalles de temps (par ex : hebdomadaire, quinzaine, mensuel). Quand il arrive un « défaut de paiement », le montant manquant sur le compte de transit est pris sur un compte correspondant à un fond de garantie prévisionnel. La société attendant le règlement a été payé. Pas de drame, pas de publicité négative.
A l'instant même où une société n'aurait pas les liquidités nécessaires à la date d’échéance, l’organisme central le saurait et aura, par conséquent, déjà effectué le paiement « en lieu et place » du débiteur ; en avertissant tous les membres de l'industrie de son défaut de paiement. Malgré tout, si une société souhaitait travailler avec ce « fautif », il serait convenu qu’elle doit garantir impérativement le service et en assumerait seule les conséquences.
Réduire les coûts et financer le fond de garantie prévisionnel
Maintenant rendons les choses encore plus simples et réduisons nos coûts !
Tous les échanges pourraient être « subrogés » à l’organisme central, qui automatiquement débiterait les débiteurs et créditerait les bénéficiaires aux dates d’échéance convenues (une simple opération automatisée). Le fond de garantie prévisionnel serait financé par une petite commission sur les volumes traités pour les bénéficiaires (déduction d’une dérisoire fraction / % pour l’alimenter)
Imaginez…..réduction des coûts administratifs ! Des charges sur la comptabilité et contrôles réduits à pratiquement rien. Il faut considérer également la réduction des frais bancaires ! Ces économies ensemble à la sécurité du paiement, devraient sans soucis couvrir la minuscule commission imposée : donc des bénéfices supplémentaires.
Que fait t’on maintenant ?
Analysons, réfléchissons ensemble, ne compliquons pas les choses indéfiniment, et pourquoi pas ? Lisons Pareto…".
Nathalie Moreau
Expert "assurance crédit export"