Fort de ce diagnostic juridique, Richard Vainopoulos vient de demander à nouveau à Jean-Cyril Spinetta que sa compagnie accorde publiquement aux agences la liberté de gérer la valeur faciale des billets d’avion.
Pour Richard Vainopoulos, explique un communiqué, « les agences de voyages ne comprendraient pas que les nouvelles règles ne vaillent que dans l’unique intérêt d’Air France.
Nous savons maintenant que rien ne permet juridiquement à Air France d’imposer sa loi en matière de vente. La demande de TourCom reste : 0 % de commission = 100 % de liberté commerciale.»
Inutile d’exposer les représentant d’Air France à une confrontation
En attendant une réponse d’Air France, Richard Vainopoulos « a jugé préférable de ne pas convier comme à son habitude les représentants de la compagnie à la Convention du réseau TourCom, qui se tiendra à Strasbourg du 25 au 28 novembre. »
Pour le président de TourCom, Il est en effet « inutile d’exposer les représentant d’Air France à une confrontation qui ne serait en rien constructive, ni pour les agences de voyages, ni a fortiori pour la compagnie. »
Et si Air France ne change pas de position ? Pour Richard Vainopoulos, « la compagnie ferait une triple erreur. La première serait de miser sur une lassitude de notre part. La seconde serait de contrevenir au droit. Et la troisième serait de se mettre définitivement à dos la majeure partie de la profession. Qu’Air France le sache : nous irons jusqu’au bout. »
Pour Richard Vainopoulos, explique un communiqué, « les agences de voyages ne comprendraient pas que les nouvelles règles ne vaillent que dans l’unique intérêt d’Air France.
Nous savons maintenant que rien ne permet juridiquement à Air France d’imposer sa loi en matière de vente. La demande de TourCom reste : 0 % de commission = 100 % de liberté commerciale.»
Inutile d’exposer les représentant d’Air France à une confrontation
En attendant une réponse d’Air France, Richard Vainopoulos « a jugé préférable de ne pas convier comme à son habitude les représentants de la compagnie à la Convention du réseau TourCom, qui se tiendra à Strasbourg du 25 au 28 novembre. »
Pour le président de TourCom, Il est en effet « inutile d’exposer les représentant d’Air France à une confrontation qui ne serait en rien constructive, ni pour les agences de voyages, ni a fortiori pour la compagnie. »
Et si Air France ne change pas de position ? Pour Richard Vainopoulos, « la compagnie ferait une triple erreur. La première serait de miser sur une lassitude de notre part. La seconde serait de contrevenir au droit. Et la troisième serait de se mettre définitivement à dos la majeure partie de la profession. Qu’Air France le sache : nous irons jusqu’au bout. »