« Un an après nous sommes encore là… Mais avec l’intime conviction que notre industrie va devoir se réinventer, et que la clef sera la RSE ».
C’est ainsi que Yorick Charveriat, nouveau directeur général France d’Amex GBT, a introduit la conférence EVP 2021 qui se tenait en version digitale le 24 mars 2021. Pendant une après-midi, les responsables du leader mondial du voyage d’affaires et ses partenaires ont pu débattre autour des nouvelles responsabilités dont doit s’emparer l’industrie du voyage d’affaires quand la reprise viendra. Voici 6 citations qui ont marqué les débats.
Julie Avenel, vice-présidente Global business consulting chez Amex GBT : « Nous devons aider les entreprises à être responsables pour leurs voyages, cela fait aujourd’hui partie du rôle d’une TMC. Il n’est même plus question d’un avantage par rapport à la concurrence, c’est un changement qui doit être systémique : cela doit être dans l’ADN d’une TMC ».
Agathe Fabron, vice-présidente voyage d’affaires et MICE chez Accor : « Il y a ces dernières années une très forte sensibilisation à la satisfaction des voyageurs, particulièrement des jeunes générations qui poussent sur ces sujets-là. Il y a une urgence à s’adapter en tant que fournisseur ».
C’est ainsi que Yorick Charveriat, nouveau directeur général France d’Amex GBT, a introduit la conférence EVP 2021 qui se tenait en version digitale le 24 mars 2021. Pendant une après-midi, les responsables du leader mondial du voyage d’affaires et ses partenaires ont pu débattre autour des nouvelles responsabilités dont doit s’emparer l’industrie du voyage d’affaires quand la reprise viendra. Voici 6 citations qui ont marqué les débats.
Julie Avenel, vice-présidente Global business consulting chez Amex GBT : « Nous devons aider les entreprises à être responsables pour leurs voyages, cela fait aujourd’hui partie du rôle d’une TMC. Il n’est même plus question d’un avantage par rapport à la concurrence, c’est un changement qui doit être systémique : cela doit être dans l’ADN d’une TMC ».
Agathe Fabron, vice-présidente voyage d’affaires et MICE chez Accor : « Il y a ces dernières années une très forte sensibilisation à la satisfaction des voyageurs, particulièrement des jeunes générations qui poussent sur ces sujets-là. Il y a une urgence à s’adapter en tant que fournisseur ».
Arnaud de Lamezan, vice-président de l’AFTM et directeur des achats du groupe Lagardère : « Ce n’est pas facile de s’adapter à la nouvelle donne car c’est un bouleversement total. Parfois même on demande aux acheteurs de faire exactement le contraire de ce qu’on leur a enseigné pendant des dizaines d’années. Par exemple : l’interdiction absolue qui était faite aux acheteurs de travailler avec des petites entreprises, c’était trop risqué. Aujourd’hui, on dit exactement le contraire : il faut intégrer des start-ups dans ses fournisseurs pour plus de souplesse et d’innovation. Autre exemple frappant : pendant des années, la grande noblesse était d’avoir la plupart de ses achats dans les pays à bas-coûts. Aujourd’hui : on cherche le plus local possible ».
Pascal Jungfer, à la tête du cabinet Areka Consulting : « Il y a une effervescence de tout le secteur sur ces sujets là, mais on en est encore qu'aux prémices. Il commence à avoir des normes pour différencier les hôtels, les airlines, les labels, mais tout est encore très imprécis ».
Sébastien Imbert, CMO chez Microsoft France : « Est-ce que l’on peut remplacer le contact humain dans le voyage d’affaires ? Non. Est-ce que l’on peut remplacer tous les évènements dans un format digital avec le même niveau d’efficacité ? Oui. Mais est-ce qu’on va le faire : non. On va se diriger vers des formats hybrides : avec des personnes qui viendront et d’autres qui choisiront d’être à distance. On choisira de façon plus efficace de se déplacer ou non ».
Sébastien Guyot, SVP Global Sales and Commercial, Air France : « La logique environnementale, on la partage tous : d’abord réduire notre impact, ensuite recycler. On peut recycler tout ce qu’il y a de plastique à bord, plus d’un millier de tonnes chaque année chez Air France. Et quand on ne peut pas recycler, on doit compenser. On propose à nos clients corporate des programmes de reforestation en France ou à l’étranger, pour effacer nos émissions de CO2 ».
L’intégralité des débats de l’EVP 2021 est à retrouver à cette adresse.
Pascal Jungfer, à la tête du cabinet Areka Consulting : « Il y a une effervescence de tout le secteur sur ces sujets là, mais on en est encore qu'aux prémices. Il commence à avoir des normes pour différencier les hôtels, les airlines, les labels, mais tout est encore très imprécis ».
Sébastien Imbert, CMO chez Microsoft France : « Est-ce que l’on peut remplacer le contact humain dans le voyage d’affaires ? Non. Est-ce que l’on peut remplacer tous les évènements dans un format digital avec le même niveau d’efficacité ? Oui. Mais est-ce qu’on va le faire : non. On va se diriger vers des formats hybrides : avec des personnes qui viendront et d’autres qui choisiront d’être à distance. On choisira de façon plus efficace de se déplacer ou non ».
Sébastien Guyot, SVP Global Sales and Commercial, Air France : « La logique environnementale, on la partage tous : d’abord réduire notre impact, ensuite recycler. On peut recycler tout ce qu’il y a de plastique à bord, plus d’un millier de tonnes chaque année chez Air France. Et quand on ne peut pas recycler, on doit compenser. On propose à nos clients corporate des programmes de reforestation en France ou à l’étranger, pour effacer nos émissions de CO2 ».
L’intégralité des débats de l’EVP 2021 est à retrouver à cette adresse.