"Pour mettre en place ce nouveau programme de compensation carbone, nous avons analysé les taux de consommation des avions et les distances parcourues par 8 000 de nos vols passagers ces deux dernières années" - Photo DR ACS
Air Charter Service lance son programme de compensation des émissions de carbone pour ses clients à partir du 3 février 2020.
Francois-Xavier Camus, Directeur Général d’ACS France explique la démarche : « Nous sommes conscients que l’aviation est, avec l’automobile et la production énergétique, un des secteurs qui émet le plus d’émissions de carbone. Malheureusement, et à la différence de nos confrères, notre secteur ne dispose pas encore de la technologie permettant de mettre un terme à notre consommation de combustibles. Nous sommes convaincus que financer la réduction des émissions de CO2 dans les secteurs qui le permettent est la meilleure solution à court terme, et nous travaillons également vers un objectif à plus long terme : le vol électrique. Depuis 2014, ACS investit régulièrement dans un programme de développement d’aviation électrique.
Pour mettre en place ce nouveau programme de compensation carbone, nous avons analysé les taux de consommation des avions et les distances parcourues par 8 000 de nos vols passagers ces deux dernières années, et les avons comparés au prix de vente de chaque vol. Nous en avons conclu que 0,5 % du prix de l’affrètement est plus que suffisant pour équilibrer les émissions de chaque vol.
Ce montant sera ensuite investi dans notre fond de compensation carbone, et nous permettra d'acquérir tous les trimestres des crédits carbone.»
Francois-Xavier Camus, Directeur Général d’ACS France explique la démarche : « Nous sommes conscients que l’aviation est, avec l’automobile et la production énergétique, un des secteurs qui émet le plus d’émissions de carbone. Malheureusement, et à la différence de nos confrères, notre secteur ne dispose pas encore de la technologie permettant de mettre un terme à notre consommation de combustibles. Nous sommes convaincus que financer la réduction des émissions de CO2 dans les secteurs qui le permettent est la meilleure solution à court terme, et nous travaillons également vers un objectif à plus long terme : le vol électrique. Depuis 2014, ACS investit régulièrement dans un programme de développement d’aviation électrique.
Pour mettre en place ce nouveau programme de compensation carbone, nous avons analysé les taux de consommation des avions et les distances parcourues par 8 000 de nos vols passagers ces deux dernières années, et les avons comparés au prix de vente de chaque vol. Nous en avons conclu que 0,5 % du prix de l’affrètement est plus que suffisant pour équilibrer les émissions de chaque vol.
Ce montant sera ensuite investi dans notre fond de compensation carbone, et nous permettra d'acquérir tous les trimestres des crédits carbone.»
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Il précise : « Si les sommes collectées ne suffisent pas à acheter la quantité adéquate de crédits carbone pour compenser entièrement les émissions de nos affrètements, ACS prendra en charge la différence. Nous n’investirons ces crédits que dans des projets climatiques agréés par les Nations Unies et Gold Standard, deux des principales certifications reconnues dans le monde. Nous ne tirerons aucun profit de l’argent provenant de l’achat de crédits. Chaque centime sera investi dans des projets visant à réduire notre empreinte carbone.
Notre plus grand défi à l’heure de la mise en place de ce programme a sans doute été le manque de données et l’impossibilité de prédire la quantité de carbone que chaque vol allait produire, car les variables sont nombreuses : il faut tenir compte d’éléments tels que le climat, le trafic aérien et même la quantité de bagages.
À la différence de certains autres prestataires, nous ne sommes pas prêts à effectuer des déclarations trompeuses concernant une « double réduction » mais nous sommes convaincus que nos calculs permettront de réduire plus d’émissions que nos vols n’en produisent. »
Le programme est entré en vigueur le 1er février pour tous nos vols en jet privé et le 1er mars pour les vols commerciaux, du bureau de Paris et également de nos autres bureaux en Europe, en Amérique du Nord, en Afrique et en Australie.
Notre plus grand défi à l’heure de la mise en place de ce programme a sans doute été le manque de données et l’impossibilité de prédire la quantité de carbone que chaque vol allait produire, car les variables sont nombreuses : il faut tenir compte d’éléments tels que le climat, le trafic aérien et même la quantité de bagages.
À la différence de certains autres prestataires, nous ne sommes pas prêts à effectuer des déclarations trompeuses concernant une « double réduction » mais nous sommes convaincus que nos calculs permettront de réduire plus d’émissions que nos vols n’en produisent. »
Le programme est entré en vigueur le 1er février pour tous nos vols en jet privé et le 1er mars pour les vols commerciaux, du bureau de Paris et également de nos autres bureaux en Europe, en Amérique du Nord, en Afrique et en Australie.