Dans un communiqué commun, l'UMIH, le GNC et la CAT, entre autres acteurs du tourisme, font part de la publication d'un manifeste, en vue des prochaines élections européennes, du 26 mai 2019.
Intitulé « Destination Europe : Partageons nos ambitions pour une Europe du tourisme », il s'adresse notamment aux futurs décideurs européens, "afin de les sensibiliser aux enjeux économiques et sociaux du tourisme et à la nécessité de favoriser son développement, selon le communiqué.
Chacun sait que le tourisme n’est pas une compétence directe de l’Europe mais qu’un ensemble de mesures qui dépendent des futurs élus européens sont décisives pour son avenir.
Les députés européens doivent comprendre que le développement du tourisme est décisif pour l’économie et l’emploi au sein de l’UE".
Intitulé « Destination Europe : Partageons nos ambitions pour une Europe du tourisme », il s'adresse notamment aux futurs décideurs européens, "afin de les sensibiliser aux enjeux économiques et sociaux du tourisme et à la nécessité de favoriser son développement, selon le communiqué.
Chacun sait que le tourisme n’est pas une compétence directe de l’Europe mais qu’un ensemble de mesures qui dépendent des futurs élus européens sont décisives pour son avenir.
Les députés européens doivent comprendre que le développement du tourisme est décisif pour l’économie et l’emploi au sein de l’UE".
Une vingtaine de propositions
Le manifeste des Acteurs du tourisme décline une vingtaine de propositions, notamment :
Attractivité et investissement d'avenir :
- Faciliter l’accès aux fonds européens pour les entreprises du tourisme et notamment les PME
- Créer un comité inter commissaires européens du tourisme pour assurer un pilotage européen de haut niveau sur les grands enjeux structurants du tourisme à l’horizon 2025 (flux internationaux et visas, équipements d’infrastructure, connectivité, surtourisme…).
Economie numérique :
- Créer des conditions de concurrence équitables et pérennes avec les plateformes de réservation, les comparateurs et les moteurs de recherche.
- Soutenir l’adaptation de l’industrie du tourisme aux prochaines ruptures technologiques (nouveaux modes de paiement, block chain, ou impact de l’IA.
Emploi/mobilité :
- Promouvoir massivement le passeport européen de compétences dans le tourisme, qui permet aux employeurs et aux chercheurs d’emploi de se rencontrer sur le marché de l’emploi de l’Union européenne.
- Proposer aux salariés et aux employeurs des formations financées par l’Union européenne sur les enjeux de la transition écologique et le numérique.
Fiscalité et compétitivité :
- Mieux prendre en considération la situation des PME du tourisme et d’entreprises génératrices de flux touristiques dans les réglementations européennes contraignantes.
- Pérenniser la liste des biens et services bénéficiant du taux réduit de TVA.
Développement durable :
- Développer une politique européenne ambitieuse de transition énergétique pour nos entreprises (orientation des fonds, cadre législatif favorable, écolabel et certification efficace, expérimentations).
- Promouvoir une politique incitative en faveur des achats responsables, du recyclage, et de la lutte contre le gaspillage alimentaire, notamment par le financement de formations.
Attractivité et investissement d'avenir :
- Faciliter l’accès aux fonds européens pour les entreprises du tourisme et notamment les PME
- Créer un comité inter commissaires européens du tourisme pour assurer un pilotage européen de haut niveau sur les grands enjeux structurants du tourisme à l’horizon 2025 (flux internationaux et visas, équipements d’infrastructure, connectivité, surtourisme…).
Economie numérique :
- Créer des conditions de concurrence équitables et pérennes avec les plateformes de réservation, les comparateurs et les moteurs de recherche.
- Soutenir l’adaptation de l’industrie du tourisme aux prochaines ruptures technologiques (nouveaux modes de paiement, block chain, ou impact de l’IA.
Emploi/mobilité :
- Promouvoir massivement le passeport européen de compétences dans le tourisme, qui permet aux employeurs et aux chercheurs d’emploi de se rencontrer sur le marché de l’emploi de l’Union européenne.
- Proposer aux salariés et aux employeurs des formations financées par l’Union européenne sur les enjeux de la transition écologique et le numérique.
Fiscalité et compétitivité :
- Mieux prendre en considération la situation des PME du tourisme et d’entreprises génératrices de flux touristiques dans les réglementations européennes contraignantes.
- Pérenniser la liste des biens et services bénéficiant du taux réduit de TVA.
Développement durable :
- Développer une politique européenne ambitieuse de transition énergétique pour nos entreprises (orientation des fonds, cadre législatif favorable, écolabel et certification efficace, expérimentations).
- Promouvoir une politique incitative en faveur des achats responsables, du recyclage, et de la lutte contre le gaspillage alimentaire, notamment par le financement de formations.
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