Luciano Pavarotti ou Indiana Jones ? Peu importe pourvu que vous le disiez avec des fleurs... /crédit DR
Il a des faux airs de Luciano Pavarotti, mais ses arias préférées sont celles des 800 espèces d’oiseaux qui peuplent les forêts tropicales du Costa Rica.
Mais il aime encore davantage la botanique, qu’il effeuille sur le bout des doigts.
L’homme est intarissable sur les 12 000 espèces de plantes et d’arbres répertoriées dans le pays. Incollable sur la dendrologie. Intransigeant sur l’environnement. Terriblement bavard sur l’entomologie.
Bref, un passionné absolu, presque un gourou qui ne laisse personne indifférent. Et surtout pas les Groupes qu’il accompagne.
Bertrand Ducos de Lahite, 1m83 et presque un quintal tout mouillé, est taillé pour le rugby et pour cause : c’est un sport qu’il a pratiqué à un haut niveau dans la région toulousaine, avant de devenir international au Costa Rica, où il a contribué à implanter la discipline et participé à son essor.
Pourtant, rien ne prédisposait cet héritier gascon d’une lignée aristocratique désargentée, à un tel métier.
Représentant international d’une grande firme française d'agroalimentaire, le fringant quinquagénaire traîne d’abord ses innombrables quartiers de noblesse dans plusieurs pays d’Amérique du Sud, avant de tomber sous le charme de ce petit écrin de verdure, entre Pacifique et mer des Caraïbes. Il s’y installe alors avec femme, armes et bagages.
Mais il aime encore davantage la botanique, qu’il effeuille sur le bout des doigts.
L’homme est intarissable sur les 12 000 espèces de plantes et d’arbres répertoriées dans le pays. Incollable sur la dendrologie. Intransigeant sur l’environnement. Terriblement bavard sur l’entomologie.
Bref, un passionné absolu, presque un gourou qui ne laisse personne indifférent. Et surtout pas les Groupes qu’il accompagne.
Bertrand Ducos de Lahite, 1m83 et presque un quintal tout mouillé, est taillé pour le rugby et pour cause : c’est un sport qu’il a pratiqué à un haut niveau dans la région toulousaine, avant de devenir international au Costa Rica, où il a contribué à implanter la discipline et participé à son essor.
Pourtant, rien ne prédisposait cet héritier gascon d’une lignée aristocratique désargentée, à un tel métier.
Représentant international d’une grande firme française d'agroalimentaire, le fringant quinquagénaire traîne d’abord ses innombrables quartiers de noblesse dans plusieurs pays d’Amérique du Sud, avant de tomber sous le charme de ce petit écrin de verdure, entre Pacifique et mer des Caraïbes. Il s’y installe alors avec femme, armes et bagages.
Les temps sont durs et les groupes aux abonnés absents...
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La restructuration douloureuse d’une filiale au Mexique, agit comme un révélateur. Plus jamais ça : il décide de repartir de zéro et de redonner du sens à sa vie. Le changement est radical.
Il s’inscrit à l’Instituto de la biodiversidad (INBIO) et à l’Universidad National de San José (UNA) et décroche brillamment son diplôme de Guide naturaliste, après 3 années d’études. Il y est remarqué par un professeur, qui lui propose de devenir son assistant. Sa carrière est lancée.
Après 20 ans de résidence au Costa Rica où Sylvie, son épouse, l’a suivi sans barguigner, le Vicomte ne regrette rien. Il recommencerait à l’identique, même si la pandémie a quelque peu douché son enthousiasme.
L’indépendance et la liberté ont des limites (financières, notamment) qu’il vient de toucher du doigt. Mais il y croît toujours, même si les temps sont durs et les groupes aux abonnés absents.
“La situation est compliquée, admet-il, mais j’adore mon métier. Je n’en changerai pour rien au monde. Regardez mon univers, dit Bertrand, fataliste mais pas résigné, montrant d’un geste évocateur la jungle impénétrable de Tortuguero : “N’est-ce pas le plus beau bureau qui soit ?”
Il s’inscrit à l’Instituto de la biodiversidad (INBIO) et à l’Universidad National de San José (UNA) et décroche brillamment son diplôme de Guide naturaliste, après 3 années d’études. Il y est remarqué par un professeur, qui lui propose de devenir son assistant. Sa carrière est lancée.
Après 20 ans de résidence au Costa Rica où Sylvie, son épouse, l’a suivi sans barguigner, le Vicomte ne regrette rien. Il recommencerait à l’identique, même si la pandémie a quelque peu douché son enthousiasme.
L’indépendance et la liberté ont des limites (financières, notamment) qu’il vient de toucher du doigt. Mais il y croît toujours, même si les temps sont durs et les groupes aux abonnés absents.
“La situation est compliquée, admet-il, mais j’adore mon métier. Je n’en changerai pour rien au monde. Regardez mon univers, dit Bertrand, fataliste mais pas résigné, montrant d’un geste évocateur la jungle impénétrable de Tortuguero : “N’est-ce pas le plus beau bureau qui soit ?”
Bertrand Ducos de Lahitte, est un Guide naturaliste de talent doublé d’un animateur et capable de gérer un Groupe, même s'il préfère les individuels... N’hésitez pas à faire appel à ses compétences pour rendre vos groupes heureux et… les faire revenir ! Point important : il ne démarche pas les clients en direct, "Ce n'est pas mon métier..."
Contact : bducos@gmail.com
Portable : +506 8842 7953
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Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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