La crise n'a pas le même effet sur tous les secteurs de l'économie.
"Pour la première fois dans l'histoire, la France est passée devant l'Allemagne, en termes de levées de fonds. Les GAFA ne sont pas les seuls à avoir tiré leur épingle du jeu," s'est félicité le maitre de cérémonie et secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique, Céric O.
Certains auraient pu penser que les start-up, cher à notre président de la République, ébranlé par une crise sans précédent et sans doute plus fragile en raison de marché émergeant, seraient les premières à disparaitre.
Ce ne fut pas le cas, bien au contraire. Les jeunes pousses françaises figurant dans la nouvelle mouture du Next 40 et le French Tech 120, ont vu leur chiffre d'affaires global "atteindre 8,85 milliards d'euros," rapporte notre confères des Echos, pour une croissance de... +55 %.
Un indicateur qui démontre que les start-up ne se reposent pas seulement sur des leviers marketing et vivent sur des levées de fonds. Il y a toute une économie derrière.
Toutefois, derrière ce dynamisme des programmes d’accompagnement Next 40 et French Tech 120, sortes de CAC 40 de l'économie 2.0, se cachent aussi un fort renouvellement des noms figurant au prestigieux palmarès.
Ainsi, 33 start-up ont disparu des indices, pour autant de nouveaux logos.
"Pour la première fois dans l'histoire, la France est passée devant l'Allemagne, en termes de levées de fonds. Les GAFA ne sont pas les seuls à avoir tiré leur épingle du jeu," s'est félicité le maitre de cérémonie et secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique, Céric O.
Certains auraient pu penser que les start-up, cher à notre président de la République, ébranlé par une crise sans précédent et sans doute plus fragile en raison de marché émergeant, seraient les premières à disparaitre.
Ce ne fut pas le cas, bien au contraire. Les jeunes pousses françaises figurant dans la nouvelle mouture du Next 40 et le French Tech 120, ont vu leur chiffre d'affaires global "atteindre 8,85 milliards d'euros," rapporte notre confères des Echos, pour une croissance de... +55 %.
Un indicateur qui démontre que les start-up ne se reposent pas seulement sur des leviers marketing et vivent sur des levées de fonds. Il y a toute une économie derrière.
Toutefois, derrière ce dynamisme des programmes d’accompagnement Next 40 et French Tech 120, sortes de CAC 40 de l'économie 2.0, se cachent aussi un fort renouvellement des noms figurant au prestigieux palmarès.
Ainsi, 33 start-up ont disparu des indices, pour autant de nouveaux logos.
Quid des acteurs du tourisme ?
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Jérôme Delente rebondit chez Worldia !
Malheureusement, parmi les partantes nous trouvons deux entreprises bien connues de l'industrie touristique.
Loisirs Enchères et Home Exchange ont disparu des pépites de la tech française. Toutefois dans la catégorie "voyage", une nouvelle tête pointe le bout de son nez... Virtuo.
Cette dernière s'évertue à digitaliser la location de voitures partout en Europe, notamment au niveau du parcours client.
A noter que d'autres grands noms de la disruption touristique figurent dans les indices Next 40 et French Tech 120. Ainsi, Blablacar (2e place des valorisations avec 1,6 milliard d'euros), Worldia, Misterfly, PerfectStay et Evaneos.
Parmi ces start-up, quelques-unes ont éprouvé les plus grandes difficultés, mais le business modèle et l'avenir du secteur n'ont pas été remis en cause par la crise.
Nous apprenons avec la publication de ces labels que Misterfly est valorisé entre 80 et 120 millions d'euros, Worldia entre 76 et 114 millions d'euros, PerfectStay entre 60 et 90 millions d'euros, Evaneos entre 291 et 436 millions, pour finir Virtuo de 80 à 120 millions d'euros.
Les critères pour être éligible sont : une valorisation d'un milliard d'euros ou avoir effectué une levée de fonds supérieure à 100 millions d'euros pour le Next 40 (contre 23 millions pour le FT 120), ou justifier d'une croissance annuelle supérieure à 30 %.
Les pépites figurant dans ce classement représente 37 500 salariés, dont 26 000 en France, mais surtout 10 000 nouveaux emplois en 2020.
Qui a dit que le monde des start-up n'était pas réel ?
Loisirs Enchères et Home Exchange ont disparu des pépites de la tech française. Toutefois dans la catégorie "voyage", une nouvelle tête pointe le bout de son nez... Virtuo.
Cette dernière s'évertue à digitaliser la location de voitures partout en Europe, notamment au niveau du parcours client.
A noter que d'autres grands noms de la disruption touristique figurent dans les indices Next 40 et French Tech 120. Ainsi, Blablacar (2e place des valorisations avec 1,6 milliard d'euros), Worldia, Misterfly, PerfectStay et Evaneos.
Parmi ces start-up, quelques-unes ont éprouvé les plus grandes difficultés, mais le business modèle et l'avenir du secteur n'ont pas été remis en cause par la crise.
Nous apprenons avec la publication de ces labels que Misterfly est valorisé entre 80 et 120 millions d'euros, Worldia entre 76 et 114 millions d'euros, PerfectStay entre 60 et 90 millions d'euros, Evaneos entre 291 et 436 millions, pour finir Virtuo de 80 à 120 millions d'euros.
Les critères pour être éligible sont : une valorisation d'un milliard d'euros ou avoir effectué une levée de fonds supérieure à 100 millions d'euros pour le Next 40 (contre 23 millions pour le FT 120), ou justifier d'une croissance annuelle supérieure à 30 %.
Les pépites figurant dans ce classement représente 37 500 salariés, dont 26 000 en France, mais surtout 10 000 nouveaux emplois en 2020.
Qui a dit que le monde des start-up n'était pas réel ?