Séville
Séville, son patrimoine historique, sa cathédrale, ses jardins de l’Alcazar, ses processions de la Semaine Sainte (en mars/avril)…
Ses patios andalous, ses hôtels de charme, ses ruelles étroites, son soleil aussi (33°C en ce début d’octobre).
Sa vie nocturne enfiévrée, et le Guadalquivir, ce fleuve auquel elle doit toute sa richesse… Autant de cartes postales appréciées des voyageurs et des professionnels du tourisme.
Séville, quatrième ville d’Espagne (plus d’un million d’habitants avec sa banlieue), siège de l’Exposition universelle de 1992, a connu son apogée économique, culturelle et architecturale lorsqu’elle détenait le monopole du commerce avec les colonies espagnoles d’Amérique Centrale et du Sud.
Y convergeaient alors les pierres précieuses, l’or, l’argent… extraits des mines du Mexique, du Pérou ou de Colombie. Mais toute l’Andalousie était déjà prospère sous les Romains, par la fertilité de ses terres à blé, par ses plantations d’oliviers, puis, plus tard, par la culture du coton et du riz.
Aujourd’hui, le tourisme génère 25% du PIB (produit intérieur brut) de Séville, un quart de sa richesse. Une part considérable !
Et on comprendra mieux pourquoi, en donnant la parole aux agents de voyages invités par Iberica.
Ses patios andalous, ses hôtels de charme, ses ruelles étroites, son soleil aussi (33°C en ce début d’octobre).
Sa vie nocturne enfiévrée, et le Guadalquivir, ce fleuve auquel elle doit toute sa richesse… Autant de cartes postales appréciées des voyageurs et des professionnels du tourisme.
Séville, quatrième ville d’Espagne (plus d’un million d’habitants avec sa banlieue), siège de l’Exposition universelle de 1992, a connu son apogée économique, culturelle et architecturale lorsqu’elle détenait le monopole du commerce avec les colonies espagnoles d’Amérique Centrale et du Sud.
Y convergeaient alors les pierres précieuses, l’or, l’argent… extraits des mines du Mexique, du Pérou ou de Colombie. Mais toute l’Andalousie était déjà prospère sous les Romains, par la fertilité de ses terres à blé, par ses plantations d’oliviers, puis, plus tard, par la culture du coton et du riz.
Aujourd’hui, le tourisme génère 25% du PIB (produit intérieur brut) de Séville, un quart de sa richesse. Une part considérable !
Et on comprendra mieux pourquoi, en donnant la parole aux agents de voyages invités par Iberica.
Ce sont les AGV qui en parlent le mieux
Isabelle Rescoussie
Isabelle Rescoussie – Affinion International Voyages (plateau tourisme de 28 AGV) : « Je pensais que Séville n’était qu’une étape dans un autotour andalou.
Mais c’est une destination à part entière qui convient à tous les types de clientèle : Les couples, par son romantisme.
Les familles, par son intérêt culturel et architectural, par ses formules d’hébergement adaptées (hôtels et appartements avec piscine) et son ensoleillement. Les jeunes aussi, pour sa vie nocturne et son effervescence.
Des clients m’appellent souvent sans savoir précisément où ils souhaitent passer un week-end prolongé. Je leur recommanderai la destination, comme je la recommanderai à mes 27 collègues au travers du compte-rendu texte et photos que je vais rédiger ».
Pascal Bouchet – Agence Samcea à Enghien-les-Bains : « On a trop tendance à orienter nos clients vers les grandes capitales européennes. Pourtant, l’intérêt de villes comme Florence (Italie) ou Séville est d’autant plus fort qu’elles sont situées au cœur de régions au patrimoine touristique exceptionnel.
Il ne faut pas hésiter à en sortir pour l’apprécier. La journée passée à Ecija, à 90 kilomètres de Séville, a été un pur bonheur (cf. : Les coups de cœur de TourMaG).
En termes de desserte aérienne (1 vol quotidien au départ de Paris avec Air Europa, sauf le samedi) et d'offres tarifaires, Séville me semble bien placée ; elle présente un excellent rapport qualité/prix. J’ai aussi été agréablement surpris par son ambiance festive ».
Mais c’est une destination à part entière qui convient à tous les types de clientèle : Les couples, par son romantisme.
Les familles, par son intérêt culturel et architectural, par ses formules d’hébergement adaptées (hôtels et appartements avec piscine) et son ensoleillement. Les jeunes aussi, pour sa vie nocturne et son effervescence.
Des clients m’appellent souvent sans savoir précisément où ils souhaitent passer un week-end prolongé. Je leur recommanderai la destination, comme je la recommanderai à mes 27 collègues au travers du compte-rendu texte et photos que je vais rédiger ».
Pascal Bouchet – Agence Samcea à Enghien-les-Bains : « On a trop tendance à orienter nos clients vers les grandes capitales européennes. Pourtant, l’intérêt de villes comme Florence (Italie) ou Séville est d’autant plus fort qu’elles sont situées au cœur de régions au patrimoine touristique exceptionnel.
Il ne faut pas hésiter à en sortir pour l’apprécier. La journée passée à Ecija, à 90 kilomètres de Séville, a été un pur bonheur (cf. : Les coups de cœur de TourMaG).
En termes de desserte aérienne (1 vol quotidien au départ de Paris avec Air Europa, sauf le samedi) et d'offres tarifaires, Séville me semble bien placée ; elle présente un excellent rapport qualité/prix. J’ai aussi été agréablement surpris par son ambiance festive ».
Art de vivre, enthousiasme et soleil
Karine Rozé et Pascal Bouchet
Karine Rozé – Thomas Cook 4T à Saint-Maur : « Séville, c’est un coup de cœur ! J’ai été séduite par l’Art de vivre de ses habitants, l’enthousiasme ambiant, le soleil, l’accueil…
Un éductour comme celui-ci m’a ouvert les yeux sur une destination que je ne connaissais pas. Il ne me serait jamais venu à l’idée de la proposer avant.
Pourtant, par la variété de ses attraits, Séville est adaptée à une large clientèle : Des jeunes adultes aux Seniors. Et je vais rédiger un compte-rendu allant dans ce sens qui sera diffusé dans les 5 agences du réseau Thomas Cook 4T ».
Christelle Lelanchon – Votre Voyage à Fontainebleau : « Voilà une découverte très réussie, avec un programme équilibré entre tourisme et visites d’hôtels 3 et 4 étoiles, et d'établissements de charme. Je vais pousser la destination.
J’ai déjà une cliente qui attendait mon retour d’éductour pour confirmer son séjour à Séville. Je vais lui recommander Las Casas de la Juderia, un hôtel au charme extraordinaire (cf. : Les coups de cœur de TourMaG). Et je ne manquerai pas de programmer des autotours en Andalousie… ».
Un éductour comme celui-ci m’a ouvert les yeux sur une destination que je ne connaissais pas. Il ne me serait jamais venu à l’idée de la proposer avant.
Pourtant, par la variété de ses attraits, Séville est adaptée à une large clientèle : Des jeunes adultes aux Seniors. Et je vais rédiger un compte-rendu allant dans ce sens qui sera diffusé dans les 5 agences du réseau Thomas Cook 4T ».
Christelle Lelanchon – Votre Voyage à Fontainebleau : « Voilà une découverte très réussie, avec un programme équilibré entre tourisme et visites d’hôtels 3 et 4 étoiles, et d'établissements de charme. Je vais pousser la destination.
J’ai déjà une cliente qui attendait mon retour d’éductour pour confirmer son séjour à Séville. Je vais lui recommander Las Casas de la Juderia, un hôtel au charme extraordinaire (cf. : Les coups de cœur de TourMaG). Et je ne manquerai pas de programmer des autotours en Andalousie… ».
Les coups de cœur de TourMaG
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• Ecija est une ville de 40.000 habitants située à 50 minutes en voiture de Séville, par l’autoroute menant à Cordoue.
Cette cité est un musée à ciel ouvert qui recèle un remarquable patrimoine historique et architectural : vestiges romains et musulmans, palais, églises, innombrables musées… Ecija est une ville authentique, érigée dans la plus pure tradition andalouse. Cette étape (encore peu courue) s’impose.
• Las Casas de la Juderia est un hôtel 4 étoiles tout à fait exceptionnel. Au fil des ans, ses propriétaires ont racheté des maisons de l’ancien quartier juif de Séville.
L’hôtel forme un petit village, avec ses ruelles, ses patios, ses jardins intérieurs, où l’on se perd avec délice, enivré par les effluves de jasmin. Attention, l’établissement étant très renommé, les réservations doivent être envisagées plusieurs mois à l’avance.
• Le Musée du Flamenco de Séville ne paie pas de mine… en apparence. Pourtant, dès la première salle d’exposition, on est envoûté.
La musique exprime tous les sentiments de la nature humaine : Amour, passion, jalousie, colère, solitude, trahison… Et les ballets diffusés en vidéo projection emplissent les espaces, animent les murs.
On y découvre que le Flamenco est bien plus qu’une musique, bien plus qu’une danse. C’est une culture puissante et toujours vivace, qui puise les origines de sa gestuelle en Inde (apport des Gitans), la plainte de ses chants en Afrique du Nord, le claquement de ses castagnettes en Crète, ses déhanchements à Cuba, et sa prestance masculine dans les pas de danse de la Renaissance française. Étonnant !
Le Musée du Flamenco a été créé par Cristina Hoyos qui a popularisé cette culture en France, par ses prestations au Théâtre du Châtelet à Paris.
L’établissement est privé… et donc privatisable pour des groupes. À ne manquer sous aucun prétexte : Des démonstrations de flamenco d’une intensité qui pourrait en faire chavirer plus d'une… et plus d'un.
Pas convaincu(e) ? Visionnez (jusqu'à la fin !) le VidéoPlus TourMaG.
Cette cité est un musée à ciel ouvert qui recèle un remarquable patrimoine historique et architectural : vestiges romains et musulmans, palais, églises, innombrables musées… Ecija est une ville authentique, érigée dans la plus pure tradition andalouse. Cette étape (encore peu courue) s’impose.
• Las Casas de la Juderia est un hôtel 4 étoiles tout à fait exceptionnel. Au fil des ans, ses propriétaires ont racheté des maisons de l’ancien quartier juif de Séville.
L’hôtel forme un petit village, avec ses ruelles, ses patios, ses jardins intérieurs, où l’on se perd avec délice, enivré par les effluves de jasmin. Attention, l’établissement étant très renommé, les réservations doivent être envisagées plusieurs mois à l’avance.
• Le Musée du Flamenco de Séville ne paie pas de mine… en apparence. Pourtant, dès la première salle d’exposition, on est envoûté.
La musique exprime tous les sentiments de la nature humaine : Amour, passion, jalousie, colère, solitude, trahison… Et les ballets diffusés en vidéo projection emplissent les espaces, animent les murs.
On y découvre que le Flamenco est bien plus qu’une musique, bien plus qu’une danse. C’est une culture puissante et toujours vivace, qui puise les origines de sa gestuelle en Inde (apport des Gitans), la plainte de ses chants en Afrique du Nord, le claquement de ses castagnettes en Crète, ses déhanchements à Cuba, et sa prestance masculine dans les pas de danse de la Renaissance française. Étonnant !
Le Musée du Flamenco a été créé par Cristina Hoyos qui a popularisé cette culture en France, par ses prestations au Théâtre du Châtelet à Paris.
L’établissement est privé… et donc privatisable pour des groupes. À ne manquer sous aucun prétexte : Des démonstrations de flamenco d’une intensité qui pourrait en faire chavirer plus d'une… et plus d'un.
Pas convaincu(e) ? Visionnez (jusqu'à la fin !) le VidéoPlus TourMaG.