Karina Poirot a vécu huit ans au Costa Rica. En mars 2019, elle a lancé Mon Voyage au Costa Rica depuis Nice - DR : Mon Voyage au Costa Rica
TourMaG.com - Karina Poirot, qui êtes-vous et pourquoi avoir créé Mon Voyage au Costa Rica ?
Karina Poirot : Je suis diplômée d’une école de commerce et après dix ans en tant que responsable administratif et financier au sein de diverses entreprises, j’ai quitté la France métropolitaine avec mari et enfants en 2004 pour créer une maison d’hôtes aux Antilles, qui est devenue un petit hôtel de 24 personnes.
Mais en 2010, nous avons décidé de prendre une année sabbatique pour apprendre l'espagnol et avons opté pour le Costa Rica.
Nous avons commencé par sillonner les routes du pays, visiter des hôtels, randonner dans les réserves et parcs naturels, goûter à toutes les spécialités locales et tester des activités sportives et culturelles très variées.
Quelques mois plus tard, nous avons reçu des demandes de circuits de la part de nos clients de la maison d’hôtes antillaise et, par hasard donc, nous avons créé une agence réceptive, Mon Costa Rica.
En huit ans d’activité, nous avons organisé plus de 800 circuits pour des couples, des familles, des groupes, en autotour ou avec guide, en voiture, en mini-bus collectif ou avec chauffeur.
Aujourd'hui, de retour en France et basée à Nice, j'ai décidé de créer une nouvelle agence à mon nom : Mon Voyage au Costa Rica.
Karina Poirot : Je suis diplômée d’une école de commerce et après dix ans en tant que responsable administratif et financier au sein de diverses entreprises, j’ai quitté la France métropolitaine avec mari et enfants en 2004 pour créer une maison d’hôtes aux Antilles, qui est devenue un petit hôtel de 24 personnes.
Mais en 2010, nous avons décidé de prendre une année sabbatique pour apprendre l'espagnol et avons opté pour le Costa Rica.
Nous avons commencé par sillonner les routes du pays, visiter des hôtels, randonner dans les réserves et parcs naturels, goûter à toutes les spécialités locales et tester des activités sportives et culturelles très variées.
Quelques mois plus tard, nous avons reçu des demandes de circuits de la part de nos clients de la maison d’hôtes antillaise et, par hasard donc, nous avons créé une agence réceptive, Mon Costa Rica.
En huit ans d’activité, nous avons organisé plus de 800 circuits pour des couples, des familles, des groupes, en autotour ou avec guide, en voiture, en mini-bus collectif ou avec chauffeur.
Aujourd'hui, de retour en France et basée à Nice, j'ai décidé de créer une nouvelle agence à mon nom : Mon Voyage au Costa Rica.
Plage de Punta Uva - DR : Mon Voyage au Costa Rica
TourMaG.com - Comment travaillez-vous ?
Karina Poirot : Je ne propose que du sur-mesure. Je travaille avec un guide pour l'accueil, un autre pour l'assistance et un chauffeur pour les transferts. J'ai aussi mes hôtels fétiches, qui sont de petites structures de charme.
Le Costa Rica reste une destination assez chère, je le conseille sur 15 jours minimum. Pour un autotour, cela tourne autour de 1 250 à 1 300€ par personne, avec la location de la voiture, l'hébergement et les repas.
En revanche, je ne m'occupe pas de l'aérien, on fait peu de marge dessus et je ne tiens pas à être responsable en cas de retard ou de grève.
Je travaille depuis mon domicile, donc uniquement par téléphone et par mail, aussi bien en direct avec des couples, des familles, des groupes d'amis, qu'en B2B.
Il m'arrive aussi d'accompagner des groupes, par exemple récemment, un voyage de 65 personnes autour du running.
Même si je ne suis pas référencée au sein de réseaux, je travaille avec des agences de voyages, dont quelques unes chez Havas. Au total, je réalise une centaine de voyages par an depuis 2010.
TourMaG.com - Quelles différences y'a-t-il avec votre ancienne agence ?
Karina Poirot : Il y avait toujours une certaine frilosité de la part des clients à envoyer de l'argent au Costa Rica.
Aujourd'hui, je suis basée en France et immatriculée auprès d'Atout France, ce qui permet de rassurer les clients. Je suis aussi plus réactive vis-à-vis de mes clients.
Je propose également la Namibie, un autre pays que j'affectionne tout particulièrement, pour des clients fidèles qui souhaitent repartir avec moi.
Cela ne représente que 5% de mon chiffre d'affaires. Mais ici, je travaille avec une agence locale, et je prends une petite marge. Elle me permet de repartir moi-même sur cette destination.
Karina Poirot : Je ne propose que du sur-mesure. Je travaille avec un guide pour l'accueil, un autre pour l'assistance et un chauffeur pour les transferts. J'ai aussi mes hôtels fétiches, qui sont de petites structures de charme.
Le Costa Rica reste une destination assez chère, je le conseille sur 15 jours minimum. Pour un autotour, cela tourne autour de 1 250 à 1 300€ par personne, avec la location de la voiture, l'hébergement et les repas.
En revanche, je ne m'occupe pas de l'aérien, on fait peu de marge dessus et je ne tiens pas à être responsable en cas de retard ou de grève.
Je travaille depuis mon domicile, donc uniquement par téléphone et par mail, aussi bien en direct avec des couples, des familles, des groupes d'amis, qu'en B2B.
Il m'arrive aussi d'accompagner des groupes, par exemple récemment, un voyage de 65 personnes autour du running.
Même si je ne suis pas référencée au sein de réseaux, je travaille avec des agences de voyages, dont quelques unes chez Havas. Au total, je réalise une centaine de voyages par an depuis 2010.
TourMaG.com - Quelles différences y'a-t-il avec votre ancienne agence ?
Karina Poirot : Il y avait toujours une certaine frilosité de la part des clients à envoyer de l'argent au Costa Rica.
Aujourd'hui, je suis basée en France et immatriculée auprès d'Atout France, ce qui permet de rassurer les clients. Je suis aussi plus réactive vis-à-vis de mes clients.
Je propose également la Namibie, un autre pays que j'affectionne tout particulièrement, pour des clients fidèles qui souhaitent repartir avec moi.
Cela ne représente que 5% de mon chiffre d'affaires. Mais ici, je travaille avec une agence locale, et je prends une petite marge. Elle me permet de repartir moi-même sur cette destination.
Publié par Anaïs Borios
