Anantara a été crée en Thaïlande par Bill Heinecke, un homme d’affaire dont le groupe Minor possède entre autre les murs des Four Seaons du pays.
Fort de cette expérience, Bill Heinecke décide en 2001 de créer sa propre marque : Anantara. Dès lors tout va très vite.
En seulement 8 ans, le groupe a multiplié les adresses ; sept en Thaïlande, une à Bali, deux aux Maldives et deux à Abu Dhabi.
L’ouverture de trois nouveaux établissements est prévue pour 2010. La chaîne comptera alors 15 hôtels pour une capacité totale de 2361 chambres.
Fort de cette expérience, Bill Heinecke décide en 2001 de créer sa propre marque : Anantara. Dès lors tout va très vite.
En seulement 8 ans, le groupe a multiplié les adresses ; sept en Thaïlande, une à Bali, deux aux Maldives et deux à Abu Dhabi.
L’ouverture de trois nouveaux établissements est prévue pour 2010. La chaîne comptera alors 15 hôtels pour une capacité totale de 2361 chambres.
Le marché français : un gros potentiel
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Malgré la diversité de ses destinations, seule 3 à 4% de la clientèle d’Anantara est française. Une faible proportion que Marisa Aranha, vice-présidente des ventes souhaite rapidement voir augmenter
« Dès janvier 2010, nous allons lancer une démarche commerciale à destination du marché français en faisant appel à une agence représentative ».
Si les Maldives et Abu Dhabi sont pour l’instant assez bien distribués sur le marché français, les autres destinations sont à faire connaître.
« Nous allons chercher des nouveaux partenariats avec les tours opérateurs français pour être présents très vite dans les brochures, dès 2010 si c’est possible. »
Au vu de toutes ces opérations commerciales, on imagine qu’Anantara n’a pas beaucoup souffert de la crise.
« Les autres activités du groupe auquel appartient Ananatara ont apporté du cash dans la trésorerie » avoue Marisa Aranha « De plus, tous les contrats d’ouverture ont été signés avant la crise.» Pas de changement donc dans le programme d’ouverture, avec en 2011 une implantation au Maroc, au Vietnam, en Inde et à Oman.
« Dès janvier 2010, nous allons lancer une démarche commerciale à destination du marché français en faisant appel à une agence représentative ».
Si les Maldives et Abu Dhabi sont pour l’instant assez bien distribués sur le marché français, les autres destinations sont à faire connaître.
« Nous allons chercher des nouveaux partenariats avec les tours opérateurs français pour être présents très vite dans les brochures, dès 2010 si c’est possible. »
Au vu de toutes ces opérations commerciales, on imagine qu’Anantara n’a pas beaucoup souffert de la crise.
« Les autres activités du groupe auquel appartient Ananatara ont apporté du cash dans la trésorerie » avoue Marisa Aranha « De plus, tous les contrats d’ouverture ont été signés avant la crise.» Pas de changement donc dans le programme d’ouverture, avec en 2011 une implantation au Maroc, au Vietnam, en Inde et à Oman.
Nouvel hôtel à Abou Dhabi
Le petit dernier d’Anantara, le Qasr Al Sarab Desert Resort s’est ouvert le mois dernier à Abou Dhabi, au cœur du désert de Liwa.
Son architecture typique reprend celle des forteresses de l’émirat. A l’intérieur, des peintures et des antiquités tentent de faire revivre le mode de vie des populations bédouines.
« Tous nos établissements sont parfaitement intégrés à leur environnement » explique Marion Walsh, directrice des relations publiques « Chacun tente de restituer et de faire partager la culture et les traditions locales ».
Une philosophie qui devrait sans doute plaire au public français, toujours enclin à distiller un peu de culturel dans ses vacances.
Son architecture typique reprend celle des forteresses de l’émirat. A l’intérieur, des peintures et des antiquités tentent de faire revivre le mode de vie des populations bédouines.
« Tous nos établissements sont parfaitement intégrés à leur environnement » explique Marion Walsh, directrice des relations publiques « Chacun tente de restituer et de faire partager la culture et les traditions locales ».
Une philosophie qui devrait sans doute plaire au public français, toujours enclin à distiller un peu de culturel dans ses vacances.