Comme l’a souligné Marc Thépot, le président de l’OMTMM, “Cet été, le soleil a brillé pour Marseille qui a fait partie des destinations privilégiées et qui s’est définitivement installée comme une destination touristique à part entière :originale, diverse, attachante, canaille parfois. En tout cas définitivement en ligne avec son époque…”
Et force est de constater que ces qualités réussissent plutôt bien à Marseille, authentique, et qui dispose d’atouts nombreux pour réussir.
Bien entendu, cette année on “jouait” à domicile et presque à guichets fermés, avec le yoyo des destinations qui ouvraient pour refermer peu après et vice-versa.
Autant dire que la région Sud en général et Marseille en particulier, ont profité à fond de cette manne, encore renforcée par les vacanciers échaudés par les vacances reportées de 2020. Cependant, quelques pays européens (Grèce, Espagne, Portugal...) ont permis d'éviter que le couvercle ne saute.
Last but not least, le soleil a aussi brillé par sa présence cet été, attirant des estivants qui le cherchaient vainement chez eux. Toutes les fées s'étaient penchées cette année sur le berceau du Lacydon, et même le pass sanitaire n’a pas réussi à gâcher la fête, c’est dire…
Au niveau des visiteurs, les Français ont très largement dominé les débats avec une clientèle majoritairement en provenance d’Ile de France, Auvergne-Rhône Alpes et PACA qui ont représenté… 80% (!)
La pandémie n’a pas pour autant découragé les visiteurs étrangers, principalement présents du 15 juillet au 15 août, avec une prédominance, des Allemands, Belges et Espagnols, comme l’a indiqué Maxime Tissot.
Et force est de constater que ces qualités réussissent plutôt bien à Marseille, authentique, et qui dispose d’atouts nombreux pour réussir.
Bien entendu, cette année on “jouait” à domicile et presque à guichets fermés, avec le yoyo des destinations qui ouvraient pour refermer peu après et vice-versa.
Autant dire que la région Sud en général et Marseille en particulier, ont profité à fond de cette manne, encore renforcée par les vacanciers échaudés par les vacances reportées de 2020. Cependant, quelques pays européens (Grèce, Espagne, Portugal...) ont permis d'éviter que le couvercle ne saute.
Last but not least, le soleil a aussi brillé par sa présence cet été, attirant des estivants qui le cherchaient vainement chez eux. Toutes les fées s'étaient penchées cette année sur le berceau du Lacydon, et même le pass sanitaire n’a pas réussi à gâcher la fête, c’est dire…
Au niveau des visiteurs, les Français ont très largement dominé les débats avec une clientèle majoritairement en provenance d’Ile de France, Auvergne-Rhône Alpes et PACA qui ont représenté… 80% (!)
La pandémie n’a pas pour autant découragé les visiteurs étrangers, principalement présents du 15 juillet au 15 août, avec une prédominance, des Allemands, Belges et Espagnols, comme l’a indiqué Maxime Tissot.
Des perspectives automne et hiver plutôt engageantes
A noter que le phénomène de dernière minute s’est encore renforcé cette année, avec les facilités d’annulation sans frais.
Et si l’heure du bilan estival est venue, les perspectives pour l’automne et l’hiver sont aussi plutôt engageantes, avec des ailes de saison prometteuses et l'avènement du “tourisme d’affaires” qui prendra le relais.
A noter aussi quelques manifestations significatives comme de l’UNICN avec la venue d’Emmanuel Macron ou encore les Journées Européennes du Patrimoine le week-end prochain (18-19 septembre).
Du côté de l'hôtellerie-restauration, le bilan est plus mitigé, comme l’a souligné Bernard Marty. En effet, si le littoral a “cartonné” à l’intérieur on comptait parfois les clients. “Nous ne sommes pas sortis d’affaire”, a-t-il ajouté en expliquant que tous les secteurs devaient s’accorder pour “jouer collectif” et éviter des décisions parfois à l’emporte-pièce.
On avait le moral aussi du côté de l’aéroport, où près de 70% du trafic par rapport à 2019 a été enregistré. Philippe Bernand a bon espoir de refaire son retard et de revenir à la normale peut-être plus vite que prévu.
Enfin, les croisières, malgré un démarrage tardif dans la saison "pour voir", se sont rassurées : les clients sont au rendez-vous et la nave va !
Et si l’heure du bilan estival est venue, les perspectives pour l’automne et l’hiver sont aussi plutôt engageantes, avec des ailes de saison prometteuses et l'avènement du “tourisme d’affaires” qui prendra le relais.
A noter aussi quelques manifestations significatives comme de l’UNICN avec la venue d’Emmanuel Macron ou encore les Journées Européennes du Patrimoine le week-end prochain (18-19 septembre).
Du côté de l'hôtellerie-restauration, le bilan est plus mitigé, comme l’a souligné Bernard Marty. En effet, si le littoral a “cartonné” à l’intérieur on comptait parfois les clients. “Nous ne sommes pas sortis d’affaire”, a-t-il ajouté en expliquant que tous les secteurs devaient s’accorder pour “jouer collectif” et éviter des décisions parfois à l’emporte-pièce.
On avait le moral aussi du côté de l’aéroport, où près de 70% du trafic par rapport à 2019 a été enregistré. Philippe Bernand a bon espoir de refaire son retard et de revenir à la normale peut-être plus vite que prévu.
Enfin, les croisières, malgré un démarrage tardif dans la saison "pour voir", se sont rassurées : les clients sont au rendez-vous et la nave va !
Bernard Marty, président de l’UMIH (Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie), Philippe Bernand, président de l’aéroport, Guillaume Sicard, président de la fédération Marseille centre, pour parler des commerces, Hélène Lebas, représentante du Club de la Croisière.