En matière de tourisme Mehdi Houas a rappelé son souhait de mettre en place un tourisme plus diversifié afin de sortir d'un tourisme exclusivement balnéaire qui se traduit par des chiffres en stagnation.
Il s'agit même d'encourager les entrepreneurs français à investir et s'établir dans une Tunisie devenue un Etat de Droit.
Sans attendre les élections de l'assemblée constituante programmée pour le dimanche 24 juillet 2011, le gouvernement provisoire s'emploie à relever de nombreux défis.
« Nous avons besoin de relancer notre économie dans tous ses secteurs d'activité, l'entreprise, le commerce, le tourisme.
Nous devons solder le passé et régler de façon pragmatique et efficace la transition» a déclaré Mehdi Houas.
Établir la paix sociale et remettre à niveau le droit des salariés dans les entreprises sans sortir de la zone de compétitivité est l'un des grands défis du gouvernement provisoire.
« Nous voulons que les entreprises françaises puissent prospérer en Tunisie de la façon la plus équitable dans un cadre réglementaire ». Cela sous entend qu'il en sera fini de l'industrie des contrefaçons et du travail au noir.
Sans attendre les élections de l'assemblée constituante programmée pour le dimanche 24 juillet 2011, le gouvernement provisoire s'emploie à relever de nombreux défis.
« Nous avons besoin de relancer notre économie dans tous ses secteurs d'activité, l'entreprise, le commerce, le tourisme.
Nous devons solder le passé et régler de façon pragmatique et efficace la transition» a déclaré Mehdi Houas.
Établir la paix sociale et remettre à niveau le droit des salariés dans les entreprises sans sortir de la zone de compétitivité est l'un des grands défis du gouvernement provisoire.
« Nous voulons que les entreprises françaises puissent prospérer en Tunisie de la façon la plus équitable dans un cadre réglementaire ». Cela sous entend qu'il en sera fini de l'industrie des contrefaçons et du travail au noir.
Couper les cordons capitalistiques des Ben Ali
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Quid de l'insécurité juridique et des innombrables entreprises dans lesquelles les familles Trabelsi/Ben Ali avaient des liens ?
«Cette famille n'était pas très investie dans la gestion. Elle se contentait de toucher les dividendes. Nous avons coupé les cordons capitalistiques et nommé des administrateurs judiciaires sur chacune des participations.
La vie des entreprises et des salariés doit pouvoir continuer dès maintenant dans un cadre de droit ».
Mehdi Houas a ajouté : « Il n'est pas question de nous lancer dans une chasse aux sorcières » tant il est vrai que ne pas toucher à ce qu'a touché cette famille serait faire une croix sur le pays.
«Cette famille n'était pas très investie dans la gestion. Elle se contentait de toucher les dividendes. Nous avons coupé les cordons capitalistiques et nommé des administrateurs judiciaires sur chacune des participations.
La vie des entreprises et des salariés doit pouvoir continuer dès maintenant dans un cadre de droit ».
Mehdi Houas a ajouté : « Il n'est pas question de nous lancer dans une chasse aux sorcières » tant il est vrai que ne pas toucher à ce qu'a touché cette famille serait faire une croix sur le pays.
Tourisme tunisien : des chiffres en stagnation
En matière de tourisme Mehdi Houas a rappelé son souhait de mettre en place un tourisme plus diversifié afin de sortir d'un tourisme exclusivement balnéaire qui se traduit par des chiffres en stagnation. « Le gouvernement ne voulait plus investir ».
Il a donné quelques chiffres faisant le parallèle avec le Maroc : « Il y a 10 ans le Maroc recevait 4 millions de visiteurs. Il en a 10 millions aujourd'hui.
En Tunisie, durant la même période le chiffre est resté à 7 millions de visiteurs. Au Maroc un touriste dépense une moyenne de 950 euros, cette somme est ramenée à 369 euros en Tunisie ».
Les programmes d'échanges et de projets en matière de formation et partenariat vont se poursuivre. Après Christine Lagarde, Laurent Waugiez et Frédéric Lefèbvre, ce sera au tour de Pierre Lellouche de faire le voyage (du 17 au 19 mars).
On annonce aussi les déplacements prochains de Nathalie Kosciusko-Morizet et d'Alain Juppé.
Il a donné quelques chiffres faisant le parallèle avec le Maroc : « Il y a 10 ans le Maroc recevait 4 millions de visiteurs. Il en a 10 millions aujourd'hui.
En Tunisie, durant la même période le chiffre est resté à 7 millions de visiteurs. Au Maroc un touriste dépense une moyenne de 950 euros, cette somme est ramenée à 369 euros en Tunisie ».
Les programmes d'échanges et de projets en matière de formation et partenariat vont se poursuivre. Après Christine Lagarde, Laurent Waugiez et Frédéric Lefèbvre, ce sera au tour de Pierre Lellouche de faire le voyage (du 17 au 19 mars).
On annonce aussi les déplacements prochains de Nathalie Kosciusko-Morizet et d'Alain Juppé.