Alors que les USA font les gros titres, avec le boycott diplomatique des Jeux Olympiques de Pékin, une nouvelle décision est passée inaperçue.
Ce n'est pas une décision diplomatique ou politique, mais bien sanitaire à l'encontre de la France.
La principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique, à savoir les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont décidé d'augmenter son niveau d'alerte sur... la destination France.
Après avoir déjà opéré cet ajustement pour l'Allemagne, le Danemark ou encore la Croatie, il y a 15 jours, c'est à la France d'entrer dans l'oeil du cyclone.
En effet, les CDC ont placé l'Hexagone au niveau de vigilance le plus haut à savoir "très élevé".
Il existe 4 niveaux d'alerte.
Jusqu'à maintenant, l'Hexagone se situait au niveau 3, c'est-à-dire "élevé".
Ce n'est pas une décision diplomatique ou politique, mais bien sanitaire à l'encontre de la France.
La principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique, à savoir les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont décidé d'augmenter son niveau d'alerte sur... la destination France.
Après avoir déjà opéré cet ajustement pour l'Allemagne, le Danemark ou encore la Croatie, il y a 15 jours, c'est à la France d'entrer dans l'oeil du cyclone.
En effet, les CDC ont placé l'Hexagone au niveau de vigilance le plus haut à savoir "très élevé".
Il existe 4 niveaux d'alerte.
Jusqu'à maintenant, l'Hexagone se situait au niveau 3, c'est-à-dire "élevé".
USA : quelles sont les conséquences de l'alerte de niveau très élevé ?
Les destinations évoluent en fonction des seuils de taux d'incidence ou de nombre de cas, des outils d'observation de l'épidémie adoptés par les autorités sanitaires des Etats.
Concrètement, en passant au niveau maximal d'alerte, les autorités américaines conseillent à leurs ressortissants "d'éviter les voyages en France".
Les CDC expliquent aussi que "du fait de la situation en France, même les voyageurs entièrement vaccinés peuvent courir le risque d'attraper et de propager les variants."
Un climat anxiogène qui ne va pas favoriser la reprise des voyages entre les USA et la destination France.
Malgré tout, il n'est pour l'heure pas interdit de se rendre à Paris, Marseille ou Nice depuis les Etats-unis. C'est un simple conseil à l'image des pays placés sur la liste rouge, par le gouvernement français.
Dans le même temps, les voyages de l'autre côté de l'Atlantique sont toujours possibles depuis la France.
Un nouveau protocole a été mis en place par les autorités américaines, ce lundi 6 décembre 2021.
Pour rappel, l'épidémie a repris de façon fulgurante aux six coins de l'Hexagone, avec plus de 40 000 journaliers la semaine dernière. Le taux d'incidence dépasse d'ores et déjà, celui de la 4 vague.
Il est même à son plus haut niveau (430 pour 100 000 habitants) depuis novembre 2020 et le 2e confinement.
Les cas du variant omicron se multiplient, avec pour l'heure 25 contaminations sur le territoire national.
Concrètement, en passant au niveau maximal d'alerte, les autorités américaines conseillent à leurs ressortissants "d'éviter les voyages en France".
Les CDC expliquent aussi que "du fait de la situation en France, même les voyageurs entièrement vaccinés peuvent courir le risque d'attraper et de propager les variants."
Un climat anxiogène qui ne va pas favoriser la reprise des voyages entre les USA et la destination France.
Malgré tout, il n'est pour l'heure pas interdit de se rendre à Paris, Marseille ou Nice depuis les Etats-unis. C'est un simple conseil à l'image des pays placés sur la liste rouge, par le gouvernement français.
Dans le même temps, les voyages de l'autre côté de l'Atlantique sont toujours possibles depuis la France.
Un nouveau protocole a été mis en place par les autorités américaines, ce lundi 6 décembre 2021.
Pour rappel, l'épidémie a repris de façon fulgurante aux six coins de l'Hexagone, avec plus de 40 000 journaliers la semaine dernière. Le taux d'incidence dépasse d'ores et déjà, celui de la 4 vague.
Il est même à son plus haut niveau (430 pour 100 000 habitants) depuis novembre 2020 et le 2e confinement.
Les cas du variant omicron se multiplient, avec pour l'heure 25 contaminations sur le territoire national.