Un site communautaire uniquement conçu pour des professionnels et nourri des avis de professionnels, cela donne des résultats intéressants : des comptes-rendus différents, plus pratiques que ceux que l’on peut trouver sur les sites grand public, plus nourris aussi.
Les avis sont authentifiés pour ne pas laisser l’espace à de la publicité cachée. Et du côté de la consultation, le temps de lecture est également plus long que sur les sites communautaires grand public : environ six minutes.
La période test va s’étendre jusqu’à la fin de l’année et seuls les hôtels sont jugés et jaugés par les pros mais si la « brique » est adoptée, elle pourrait s’ouvrir sur les compagnies aériennes et les tour-opérateurs.
Pour le Gds, c’est une façon de souder les utilisateurs. Jérôme Moisan émet même l’hypothèse d’ouvrir le site aux utilisateurs d’autres GDS, éventuellement…Ce qui serait une première, et, pour le challenger d’Amadeus, une ouverture assez exceptionnelle.
Même si en France, Travelport annonce une part de marché non négligeable, avec un volume de segments se rapprochant « plus près de 20 que de 10% ». D’ailleurs, d’après Jérôme Moisan, la France est de loin le marché le plus ouvert à la concurrence des GDS de tous les pays où Amadeus est dominant.
Les avis sont authentifiés pour ne pas laisser l’espace à de la publicité cachée. Et du côté de la consultation, le temps de lecture est également plus long que sur les sites communautaires grand public : environ six minutes.
La période test va s’étendre jusqu’à la fin de l’année et seuls les hôtels sont jugés et jaugés par les pros mais si la « brique » est adoptée, elle pourrait s’ouvrir sur les compagnies aériennes et les tour-opérateurs.
Pour le Gds, c’est une façon de souder les utilisateurs. Jérôme Moisan émet même l’hypothèse d’ouvrir le site aux utilisateurs d’autres GDS, éventuellement…Ce qui serait une première, et, pour le challenger d’Amadeus, une ouverture assez exceptionnelle.
Même si en France, Travelport annonce une part de marché non négligeable, avec un volume de segments se rapprochant « plus près de 20 que de 10% ». D’ailleurs, d’après Jérôme Moisan, la France est de loin le marché le plus ouvert à la concurrence des GDS de tous les pays où Amadeus est dominant.
Les vrais challenges se jouent sur la course à la technologie
Une ouverture suffisante qui permet encore de décrocher de nouveaux clients même si les vrais challenges se jouent toujours sur la course à la technologie. « Les compagnies aériennes sont en train de changer de modèle économique.
Aujourd’hui les majors américaines font de l’argent sur les services payants comme les repas à bord, le check in, les bagages, etc. Les low cost. européennes ont adopté ce modèle mais les autres compagnies vont également s’y mettre », prévient Jérôme Moisan.
Ces services qui sont déjà disponibles sur les sites des compagnies doivent impérativement entrer dans le contenu des gds.
La pression est d’autant plus forte pour Travelport en France que ses premiers clients sont des agences en ligne. En Amérique du Nord, Galileo travaille sur ce sujet avec Air Canada, et en Europe avec Easyjet.
Autre challenge à venir : la distribution des produits loisirs en France. Galileo travaille avec le Ceto à la mise en place d’un outil de shopping multi-TO qui sera, à terme, rajouté à la plate-forme. La phase devrait débuter vers la fin de l’année mais aucune date n’est encore prévue pour son lancement officiel.
Aujourd’hui les majors américaines font de l’argent sur les services payants comme les repas à bord, le check in, les bagages, etc. Les low cost. européennes ont adopté ce modèle mais les autres compagnies vont également s’y mettre », prévient Jérôme Moisan.
Ces services qui sont déjà disponibles sur les sites des compagnies doivent impérativement entrer dans le contenu des gds.
La pression est d’autant plus forte pour Travelport en France que ses premiers clients sont des agences en ligne. En Amérique du Nord, Galileo travaille sur ce sujet avec Air Canada, et en Europe avec Easyjet.
Autre challenge à venir : la distribution des produits loisirs en France. Galileo travaille avec le Ceto à la mise en place d’un outil de shopping multi-TO qui sera, à terme, rajouté à la plate-forme. La phase devrait débuter vers la fin de l’année mais aucune date n’est encore prévue pour son lancement officiel.