Ajka en bas à gauche, ville d'origine de cet accident industriel. Google Maps
Que les voyageurs qui ont réservé une croisière sur le Danube se rassurent.
D’après les dernières informations du ministère, la pollution est maîtrisée et le fleuve ne devrait pas trop souffrir.
« Le Danube n’a reçu qu’une toute petite quantité de polluants » assure-t-on à l’office du tourisme.
En effet, l’épicentre de la catastrophe se trouve Ajka, une ville industrielle située à 160 km à l’ouest de Budapest. C’est un des affluents du Danube, la rivière Raba qui a été le plus touchée par les boues toxiques.
Avec les courants, la boue et les poissons morts ce sont ensuite retrouvés dans le Danube. Mais les autorités hongroises font leur maximum pour effacer toute trace de cette catastrophe.
Chez Croisitours, un des leaders du marché, aucune annulation n’est à déplorer. «Nous avons eu quelques appels de clients inquiets » avoue Axel AraszKiewicz l’attachée de presse du croisiériste.
Mais d’après les deniers relevés des scientifiques, le PH du fleuve était légèrement supérieur à la normale, sans être inquiétant. « Le plus dur est derrière nous » rassure Axel AraszKiewicz.
D’après les dernières informations du ministère, la pollution est maîtrisée et le fleuve ne devrait pas trop souffrir.
« Le Danube n’a reçu qu’une toute petite quantité de polluants » assure-t-on à l’office du tourisme.
En effet, l’épicentre de la catastrophe se trouve Ajka, une ville industrielle située à 160 km à l’ouest de Budapest. C’est un des affluents du Danube, la rivière Raba qui a été le plus touchée par les boues toxiques.
Avec les courants, la boue et les poissons morts ce sont ensuite retrouvés dans le Danube. Mais les autorités hongroises font leur maximum pour effacer toute trace de cette catastrophe.
Chez Croisitours, un des leaders du marché, aucune annulation n’est à déplorer. «Nous avons eu quelques appels de clients inquiets » avoue Axel AraszKiewicz l’attachée de presse du croisiériste.
Mais d’après les deniers relevés des scientifiques, le PH du fleuve était légèrement supérieur à la normale, sans être inquiétant. « Le plus dur est derrière nous » rassure Axel AraszKiewicz.
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