Selon Jean-Baptiste Djebbari le trafic aérien a chuté de 70% - Crédit photo : Les îles de Guadeloupe
Pour lutter contre la propagation de l'épidémie et surtout des variants, le gouvernement a mis un sacré tour de vis, à l'encontre du voyage.
D'après les premiers retours, la stratégie de l'exécutif semble fonctionner, à commencer par les outre-mer.
En effet, selon les confidences de Jean-Baptiste Djebbari, le ministre des Transports, à nos confrères de LCI, le trafic à destination des Antilles "a diminué de 70%", depuis la mise en place des motifs impérieux.
Ce n'est sans doute pas le pire dans tout ça, puisque les contrôles ont eux aussi été accentués dans les aéroports et plus de "700 personnes ont été refusées à l'embarquement".
Ces dernières ne pouvaient pas fournir de justificatifs prouvant que le déplacement était impérieux.
Outre la présentaiton d'un document attestant de l'impériosité du déplacement, les voyageurs doivent présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures et observer obligatoirement une septaine sur place.
Dans ces conditions, le tourisme n'existe plus ou presque, que ce soit en Guadeloupe ou en Martinique.
D'après les premiers retours, la stratégie de l'exécutif semble fonctionner, à commencer par les outre-mer.
En effet, selon les confidences de Jean-Baptiste Djebbari, le ministre des Transports, à nos confrères de LCI, le trafic à destination des Antilles "a diminué de 70%", depuis la mise en place des motifs impérieux.
Ce n'est sans doute pas le pire dans tout ça, puisque les contrôles ont eux aussi été accentués dans les aéroports et plus de "700 personnes ont été refusées à l'embarquement".
Ces dernières ne pouvaient pas fournir de justificatifs prouvant que le déplacement était impérieux.
Outre la présentaiton d'un document attestant de l'impériosité du déplacement, les voyageurs doivent présenter un test PCR négatif de moins de 72 heures et observer obligatoirement une septaine sur place.
Dans ces conditions, le tourisme n'existe plus ou presque, que ce soit en Guadeloupe ou en Martinique.
Quid des vacances de février ?
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Alors que 2020 fut catastrophique, avec un trafic aérien qui a connu une embellie à l'été avec un trafic de 85% par rapport à une saison estivale normale, le ministre s'attend à une énième contraction des lignes dans les semaines à venir.
"On sait très bien qu'on fera encore 30% de moins pour les vacances de février, comparé à Noël, en nombre de passagers," a confié Jean-Baptiste Djebarri.
A noter, que lors des précédentes vacances des fêtes de fin d'année, le trafic représentait environ 70% de celui constaté l'année précédente.
Dans le même temps, l'exécutif s'attend à ce que 75% des trains circulent, avec un taux de remplissage de 60%.
"Ce sont des vacances qui commencent de façon assez calme, ce qui traduit aussi le fait que les Français vont plutôt en famille, plutôt pas très loin on retrouve les destinations habituelles, côté atlantique, sud-est de la France," a conclu le ministre des Transports.
La reprise ce n'est pas pour maintenant...
"On sait très bien qu'on fera encore 30% de moins pour les vacances de février, comparé à Noël, en nombre de passagers," a confié Jean-Baptiste Djebarri.
A noter, que lors des précédentes vacances des fêtes de fin d'année, le trafic représentait environ 70% de celui constaté l'année précédente.
Dans le même temps, l'exécutif s'attend à ce que 75% des trains circulent, avec un taux de remplissage de 60%.
"Ce sont des vacances qui commencent de façon assez calme, ce qui traduit aussi le fait que les Français vont plutôt en famille, plutôt pas très loin on retrouve les destinations habituelles, côté atlantique, sud-est de la France," a conclu le ministre des Transports.
La reprise ce n'est pas pour maintenant...