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La chasse est ouverte !
TUI, Thomas Cook / Jet tours, Look Voyages, Carrefour Voyages, Havas, Promovacances, Asia, Selectour Afat ou encore Prêt-à-Partir… pour les agences qui souhaitent changer d’enseignes, c’est le moment.
Car les lignes sont en train de bouger : mise en place du nouveau contrat Thomas Cook / Jet tours, déploiement des TUI Store, rachat d’Havas par le groupe Marietton, acquisition à venir de Look Voyages par TUI France… et flottement autour des nouveaux contrats Ambassades Fram.
La période est propice au changement. TUI France souhaite recruter 50 nouveaux partenaires sur les deux prochaines années avec la mise en place d’un contrat d’enseigne en complément du modèle mandataire. (TUI France compte un réseau de 156 agences mandataires)
Carrefour Voyages compte conquérir les centres-villes, Thomas Cook booster Jet tours, Promovacances a l'ambition d'atteindre 35 à 40 agences sous franchise d'ici 3 au 4 ans et Asia devrait compter 50 agences enseignes à la fin 2017, contre 36 actuellement.
"Aujourd’hui il y a de la concurrence, confirme un directeur général de mini-réseau. Mais j’ai l’impression de jouer aux courses. Il ne faut pas se tromper. C’est une période de choix et de réflexion…"
"J’ai choisi de passer une de mes agence sous la marque Look Voyages et un mois plus tard nous apprenons que TUI va mettre la main sur Transat France...", poursuit-il.
Un manque de visibilité que regrettent certains porteurs de l'enseigne Look Voyages. Cependant, 3 nouveaux points de vente vont ce mois-ci grossir les rangs des Look Enseignes : depuis le 19 septembre, deux agences VPM Voyages à Béziers (34) et Celtea à Rennes (35) affichent les couleurs de la marque ainsi que l’agence Vanille Voyages, à Vienne (38) dès le 30 septembre prochain.
Pour rappel, le contrat enseigne est conclu pour une durée de 3 ans minimum et prévoit une clause de dénonciation avec préavis de 9 mois.
D'autres interrogations portent sur les nouveaux contrats Ambassade FRAM.
TUI, Thomas Cook / Jet tours, Look Voyages, Carrefour Voyages, Havas, Promovacances, Asia, Selectour Afat ou encore Prêt-à-Partir… pour les agences qui souhaitent changer d’enseignes, c’est le moment.
Car les lignes sont en train de bouger : mise en place du nouveau contrat Thomas Cook / Jet tours, déploiement des TUI Store, rachat d’Havas par le groupe Marietton, acquisition à venir de Look Voyages par TUI France… et flottement autour des nouveaux contrats Ambassades Fram.
La période est propice au changement. TUI France souhaite recruter 50 nouveaux partenaires sur les deux prochaines années avec la mise en place d’un contrat d’enseigne en complément du modèle mandataire. (TUI France compte un réseau de 156 agences mandataires)
Carrefour Voyages compte conquérir les centres-villes, Thomas Cook booster Jet tours, Promovacances a l'ambition d'atteindre 35 à 40 agences sous franchise d'ici 3 au 4 ans et Asia devrait compter 50 agences enseignes à la fin 2017, contre 36 actuellement.
"Aujourd’hui il y a de la concurrence, confirme un directeur général de mini-réseau. Mais j’ai l’impression de jouer aux courses. Il ne faut pas se tromper. C’est une période de choix et de réflexion…"
"J’ai choisi de passer une de mes agence sous la marque Look Voyages et un mois plus tard nous apprenons que TUI va mettre la main sur Transat France...", poursuit-il.
Un manque de visibilité que regrettent certains porteurs de l'enseigne Look Voyages. Cependant, 3 nouveaux points de vente vont ce mois-ci grossir les rangs des Look Enseignes : depuis le 19 septembre, deux agences VPM Voyages à Béziers (34) et Celtea à Rennes (35) affichent les couleurs de la marque ainsi que l’agence Vanille Voyages, à Vienne (38) dès le 30 septembre prochain.
Pour rappel, le contrat enseigne est conclu pour une durée de 3 ans minimum et prévoit une clause de dénonciation avec préavis de 9 mois.
D'autres interrogations portent sur les nouveaux contrats Ambassade FRAM.
Interrogations autour des Ambassades Fram
Le retard pris dans la mise en place du nouveau contrat suite à la reprise de FRAM par LBO France n’arrange pas la situation.
Plusieurs distributeurs, et pas des moindres, ont décidé de mettre en veille leur partenariat avec FRAM. Selon nos informations, au moins une trentaine de points de ventes Ambassades FRAM seraient concernés.
Le TO a réuni des partenaires Ambassades en marge de l’IFTM. Mais les participants sont restés sur leur faim : "C’est une belle marque nous voulons soutenir, mais il n’y a rien eu… Nous n’avons eu aucune info", nous confie l’un des participants.
Patrick Milharo, le directeur des Ambassades a informé lundi 26 septembre 2016 par email que des informations concrètes seront données d’ici la fin de la semaine.
Contacté par nos soins il assure que "les interrogations portaient notamment sur l'offre. Quant au contrat, nous n'allons pas réinventer la roue, nous sommes dans les normes de ce qui se fait avec des services en plus. Nous avons commencé à travailler dans le dur, avec certains".
Un séminaire dédié aux Ambassades FRAM se tiendra courant novembre 2016.
En attendant, les enseignes concurrentes placent leurs pions. Mais pas que. Certains distributeurs ont engagé une réflexion globale et choisit de mettre à l’honneur leur marque maison, notamment ceux qui ont une implantation régionale forte.
"Les nouveaux contrats en circulation, la reprise de FRAM… Tout ceci nous amène à nous interroger sur la pertinence de lancer notre propre marque", nous explique un représentant d’un autre mini-réseau.
Plusieurs distributeurs, et pas des moindres, ont décidé de mettre en veille leur partenariat avec FRAM. Selon nos informations, au moins une trentaine de points de ventes Ambassades FRAM seraient concernés.
Le TO a réuni des partenaires Ambassades en marge de l’IFTM. Mais les participants sont restés sur leur faim : "C’est une belle marque nous voulons soutenir, mais il n’y a rien eu… Nous n’avons eu aucune info", nous confie l’un des participants.
Patrick Milharo, le directeur des Ambassades a informé lundi 26 septembre 2016 par email que des informations concrètes seront données d’ici la fin de la semaine.
Contacté par nos soins il assure que "les interrogations portaient notamment sur l'offre. Quant au contrat, nous n'allons pas réinventer la roue, nous sommes dans les normes de ce qui se fait avec des services en plus. Nous avons commencé à travailler dans le dur, avec certains".
Un séminaire dédié aux Ambassades FRAM se tiendra courant novembre 2016.
En attendant, les enseignes concurrentes placent leurs pions. Mais pas que. Certains distributeurs ont engagé une réflexion globale et choisit de mettre à l’honneur leur marque maison, notamment ceux qui ont une implantation régionale forte.
"Les nouveaux contrats en circulation, la reprise de FRAM… Tout ceci nous amène à nous interroger sur la pertinence de lancer notre propre marque", nous explique un représentant d’un autre mini-réseau.
Plusieurs marques pour maîtriser la concurrence
Pour certains, la solution réside dans un mélange des marques en fonction des zones géographiques et de la typologie des clients.
Didier Munin, patron de Boiloris s’était un temps posé la question de déployer sa propre marque : "Cette stratégie n’est efficace que si toutes les agences passent sous le même nom. Pour moi l’avantage de disposer de plusieurs marques, c’est de pouvoir maîtriser à 100% l’offre et la concurrence sur une même zone avec différents points de vente, et de s’adapter aux clients".
La vision de François Piot, président de Prêt-à-Partir, est plus tranchée : "Si un indépendant attend d’une marque qu’elle amène le client, ce n’est pas gagné.
A part le Club Med, aucune marque n’est capable de le faire. L’intérêt d’adhérer à un réseau et à une enseigne est d’améliorer les conditions d’achats et de permettre un meilleur maillage pour déployer une plus large stratégie en web to store. C'est le cas avec Prêt-à-Partir".
En attendant le bal des enseignes est ouvert !
Didier Munin, patron de Boiloris s’était un temps posé la question de déployer sa propre marque : "Cette stratégie n’est efficace que si toutes les agences passent sous le même nom. Pour moi l’avantage de disposer de plusieurs marques, c’est de pouvoir maîtriser à 100% l’offre et la concurrence sur une même zone avec différents points de vente, et de s’adapter aux clients".
La vision de François Piot, président de Prêt-à-Partir, est plus tranchée : "Si un indépendant attend d’une marque qu’elle amène le client, ce n’est pas gagné.
A part le Club Med, aucune marque n’est capable de le faire. L’intérêt d’adhérer à un réseau et à une enseigne est d’améliorer les conditions d’achats et de permettre un meilleur maillage pour déployer une plus large stratégie en web to store. C'est le cas avec Prêt-à-Partir".
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