Sur une superficie de 7 hectares, les Puces regroupent près de 2000 marchands dont 1 400 antiquaires. Elles se composent aujourd’hui d’une quinzaine de marchés.
Classées depuis 2001« Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager » elles sont, de fait, le premier site urbain classé pour son ambiance.
Au fil des ans, les marchés se sont organisés pour devenir une référence mondiale de la brocante.
Tels d’immenses et fabuleux cabinets de curiosités, couverts ou à ciel ouvert, les marchés regorgent de marchandises hétéroclites de toutes époques et de tous pays. On y chine des antiquités classiques, des objets insolites, des marchandises haut de gamme restaurées.
En cherchant on trouve de tout.
Les Puces de Saint-Ouen séduisent les visiteurs étrangers et français pour leur atmosphère atypique. Elles font le bonheur des amateurs de brocantes et d’antiquités.
Elles occuperaient une place enviable et méconnue sur l’échiquier des grands sites touristiques les plus visités de France, la 5e, quelque part entre la Tour Eiffel (7,1 millions de visiteurs), le Centre Pompidou et le Musée d’Orsay (3,5 millions).
Classées depuis 2001« Zone de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager » elles sont, de fait, le premier site urbain classé pour son ambiance.
Au fil des ans, les marchés se sont organisés pour devenir une référence mondiale de la brocante.
Tels d’immenses et fabuleux cabinets de curiosités, couverts ou à ciel ouvert, les marchés regorgent de marchandises hétéroclites de toutes époques et de tous pays. On y chine des antiquités classiques, des objets insolites, des marchandises haut de gamme restaurées.
En cherchant on trouve de tout.
Les Puces de Saint-Ouen séduisent les visiteurs étrangers et français pour leur atmosphère atypique. Elles font le bonheur des amateurs de brocantes et d’antiquités.
Elles occuperaient une place enviable et méconnue sur l’échiquier des grands sites touristiques les plus visités de France, la 5e, quelque part entre la Tour Eiffel (7,1 millions de visiteurs), le Centre Pompidou et le Musée d’Orsay (3,5 millions).
Des chiffonniers d’antan au jazz musette
Tout commence après 1870 quand les chiffonniers repoussés hors de Paris par souci d’hygiène s’installent entre les fortifications et les premières maisons du village de Saint-Ouen.
Le déballage se fait alors à même le sol tous les dimanches. En 1908 alors que le métro commence à desservir cette "Foire aux Puces", la foule se presse déjà.
A partir de 1920, les Puces se sédentarisent. Les marchés Vernaison, Malik, Biron puis Vallès sont créés. C’est le temps des gitans rempailleurs de chaises et joueurs de guitare qui s’emparent de la musique afro-américaine et inventent le jazz manouche toujours intimement liés à l’identité des lieux.
Parrainé par le célèbre accordéoniste Marcel Azzola, le festival « Jazz-Musette » attire les foules chaque année davantage (en juin).
Créé en 1920, Vernaison fut le premier marché des Puces. Il se composait d’un ensemble de baraques en bois que Romain Vernaison propriétaire des lieux louait aux brocanteurs et chiffonniers.
Ravis, ces derniers n’avaient plus à déballer et remballer chaque jour leurs marchandises. Ce marché n’a rien perdu de son cachet originel.
Après 1945, les ferrailleurs et chiffonniers laissent peu à peu la place aux brocanteurs, antiquaires et marchandes de vêtements.
De nouveaux marchés vont apparaître : Dauphine, Malassis, Paul Bert, Serpette. Chacun a son identité, son style. Le marché Dauphine est le tout dernier à être sorti de terre en 1991.
Construit dans l’esprit du pavillon Baltard, il s’étale sur deux niveaux.
Au rez-de-chaussée, on retrouve des antiquités classiques datant du XVIIIe et XIXe siècles mais également quelques pièces datant du XXe siècle (art déco, art industriel revisité...)
Au-delà des deux adresses emblématiques que sont le restaurant-guinguette « Chez Louisette » et le bistrot aux habitués « La Péricole », les Puces de Saint-Ouen proposent à leurs visiteurs près de 25 restaurants, bars ou brasseries au style populaire et conviviale souvent animés par des musiciens.
Le déballage se fait alors à même le sol tous les dimanches. En 1908 alors que le métro commence à desservir cette "Foire aux Puces", la foule se presse déjà.
A partir de 1920, les Puces se sédentarisent. Les marchés Vernaison, Malik, Biron puis Vallès sont créés. C’est le temps des gitans rempailleurs de chaises et joueurs de guitare qui s’emparent de la musique afro-américaine et inventent le jazz manouche toujours intimement liés à l’identité des lieux.
Parrainé par le célèbre accordéoniste Marcel Azzola, le festival « Jazz-Musette » attire les foules chaque année davantage (en juin).
Créé en 1920, Vernaison fut le premier marché des Puces. Il se composait d’un ensemble de baraques en bois que Romain Vernaison propriétaire des lieux louait aux brocanteurs et chiffonniers.
Ravis, ces derniers n’avaient plus à déballer et remballer chaque jour leurs marchandises. Ce marché n’a rien perdu de son cachet originel.
Après 1945, les ferrailleurs et chiffonniers laissent peu à peu la place aux brocanteurs, antiquaires et marchandes de vêtements.
De nouveaux marchés vont apparaître : Dauphine, Malassis, Paul Bert, Serpette. Chacun a son identité, son style. Le marché Dauphine est le tout dernier à être sorti de terre en 1991.
Construit dans l’esprit du pavillon Baltard, il s’étale sur deux niveaux.
Au rez-de-chaussée, on retrouve des antiquités classiques datant du XVIIIe et XIXe siècles mais également quelques pièces datant du XXe siècle (art déco, art industriel revisité...)
Au-delà des deux adresses emblématiques que sont le restaurant-guinguette « Chez Louisette » et le bistrot aux habitués « La Péricole », les Puces de Saint-Ouen proposent à leurs visiteurs près de 25 restaurants, bars ou brasseries au style populaire et conviviale souvent animés par des musiciens.
Visites guidées
L’Office de Tourisme Plaine Commune/Grand Paris propose pour la clientèle des groupes des circuits encadrés par des guides-accompagnateur à travers le dédale de ruelles, de patios et de hangars qui constituent les Puces de Saint-Ouen.
Ce circuit permet de découvrir son histoire depuis les « pêcheurs de lune » (qui s’installaient sans payer d’octroi) jusqu’aux brocanteurs et antiquaires d’aujourd’hui.
Certaines thématiques peuvent être réalisées telles, « Design aux Puces », « Surréalisme et Puces », « Vintage » (nouveau).
Réalisable samedi, dimanche, lundi.
A partir de 160 euros pour des groupes de 20 personnes maximum (prix 2016)
Supplément dimanches et jours fériés. Supplément langues étrangères.
Dans le cadre d’une excursion d’une journée avec déjeuner, les Puces peuvent être combinées avec la Visite de la Cité du Cinéma créé par Luc Besson dans une ancienne centrale thermique des années 1930 ou la Basilique cathédrale joyau de l’art gothique ou le Stade de France etc.
Le nord-est parisien offre le grand choix en matière de visites culturelles, historiques, industrielles…
Les marchés sont ouverts :
- Samedi 9h à 18h
- Dimanche 10h à 18h
- Activité réduite du 1er au 15 août
- Lundi 11h à 17h
Métro : Porte de Clignancourt (ligne 4) / Garibaldi (ligne 13)
En savoir plus : servicegroupe@plainecommunetourisme.com
Tel. 01 55 870 876
(1) L’office de Tourisme Plaine Commune/Grand Paris regroupe Aubervilliers, Epinay-sur-Seine, La Courneuve, l’île-Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Villetaneuse.
Ce circuit permet de découvrir son histoire depuis les « pêcheurs de lune » (qui s’installaient sans payer d’octroi) jusqu’aux brocanteurs et antiquaires d’aujourd’hui.
Certaines thématiques peuvent être réalisées telles, « Design aux Puces », « Surréalisme et Puces », « Vintage » (nouveau).
Réalisable samedi, dimanche, lundi.
A partir de 160 euros pour des groupes de 20 personnes maximum (prix 2016)
Supplément dimanches et jours fériés. Supplément langues étrangères.
Dans le cadre d’une excursion d’une journée avec déjeuner, les Puces peuvent être combinées avec la Visite de la Cité du Cinéma créé par Luc Besson dans une ancienne centrale thermique des années 1930 ou la Basilique cathédrale joyau de l’art gothique ou le Stade de France etc.
Le nord-est parisien offre le grand choix en matière de visites culturelles, historiques, industrielles…
Les marchés sont ouverts :
- Samedi 9h à 18h
- Dimanche 10h à 18h
- Activité réduite du 1er au 15 août
- Lundi 11h à 17h
Métro : Porte de Clignancourt (ligne 4) / Garibaldi (ligne 13)
En savoir plus : servicegroupe@plainecommunetourisme.com
Tel. 01 55 870 876
(1) L’office de Tourisme Plaine Commune/Grand Paris regroupe Aubervilliers, Epinay-sur-Seine, La Courneuve, l’île-Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Villetaneuse.