C'est un coup de tonnerre dans le secteur du tourisme.
"Dans le cadre de son enquête portant sur la demande et la perception d'indemnités de chômage partiel en lien avec la pandémie de Covid-19 chez Lastminute Group, le ministère public du canton du Tessin a ordonné des mesures de détention préventive à l'encontre de cinq dirigeants du spécialiste des voyages en ligne," précisent nos confrères de Boursorama.
Et les personnes placées en détention ne sont autres que le fondateur et PDG Fabio Cannavale b(et le directeur des opérations Andrea Bertoli.]b
L'agence de voyages en ligne dont le siège est basé en Suisse à Chiasso est soupçonnée par les autorités suisses de fraude, de perception indue de prestations d'assurances ou d'aide sociales et de violation de la loi sur l'assurance-chômage.
Ces accusations portent sur la période de la pandémie.
Des perquisitions ont eu lieu dans les locaux de différentes filiales suisses et conduit à l'interpellation de 7 personnes. La justice tessinoise a aussi ordonné le blocage d'une somme de 7,18 millions d'euros.
"Dans le cadre de son enquête portant sur la demande et la perception d'indemnités de chômage partiel en lien avec la pandémie de Covid-19 chez Lastminute Group, le ministère public du canton du Tessin a ordonné des mesures de détention préventive à l'encontre de cinq dirigeants du spécialiste des voyages en ligne," précisent nos confrères de Boursorama.
Et les personnes placées en détention ne sont autres que le fondateur et PDG Fabio Cannavale b(et le directeur des opérations Andrea Bertoli.]b
L'agence de voyages en ligne dont le siège est basé en Suisse à Chiasso est soupçonnée par les autorités suisses de fraude, de perception indue de prestations d'assurances ou d'aide sociales et de violation de la loi sur l'assurance-chômage.
Ces accusations portent sur la période de la pandémie.
Des perquisitions ont eu lieu dans les locaux de différentes filiales suisses et conduit à l'interpellation de 7 personnes. La justice tessinoise a aussi ordonné le blocage d'une somme de 7,18 millions d'euros.
Lastminute : Laura Amoretti a été nommée au poste de PDG
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Dans le même temps, Lastminute.com s'est assuré de pouvoir poursuivre la pleine exploitation de son activité.
Laura Amoretti a été nommée au poste de PDG par intérim. Elle occupait le poste de responsable clientèle au sein du groupe depuis 2019.
"Avec effet immédiat, Laura Amoretti assume les fonctions initialement attribuées aux administrateurs Fabio Cannavale (PDG) et Andrea Bertoli (COO) dans la société.
Le conseil d'administration a décidé de suspendre les pouvoirs délégués à ces deux personnes pour une période de trois mois en raison de l'enquête en cours du Ministère public du canton du Tessin," annonce le communiqué de Lastminute.com.
Le Conseil d'administration s'est également mis à la recherche d'un PDG permanent.
Suite à ces annonces, l'action en bourse a totalement dévissé passant de 28 francs suisses à 20, en l'espace de 5 jours.
Pour rappel, en février 2020, Lastminute se rêvait en 1ère agence de voyages en ligne française, souhaitant même dépasser Expedia. Reste à savoir si la descente aux enfers de son PDG et fondateur aura un impact sur l'activité de l'entreprise.
Laura Amoretti a été nommée au poste de PDG par intérim. Elle occupait le poste de responsable clientèle au sein du groupe depuis 2019.
"Avec effet immédiat, Laura Amoretti assume les fonctions initialement attribuées aux administrateurs Fabio Cannavale (PDG) et Andrea Bertoli (COO) dans la société.
Le conseil d'administration a décidé de suspendre les pouvoirs délégués à ces deux personnes pour une période de trois mois en raison de l'enquête en cours du Ministère public du canton du Tessin," annonce le communiqué de Lastminute.com.
Le Conseil d'administration s'est également mis à la recherche d'un PDG permanent.
Suite à ces annonces, l'action en bourse a totalement dévissé passant de 28 francs suisses à 20, en l'espace de 5 jours.
Pour rappel, en février 2020, Lastminute se rêvait en 1ère agence de voyages en ligne française, souhaitant même dépasser Expedia. Reste à savoir si la descente aux enfers de son PDG et fondateur aura un impact sur l'activité de l'entreprise.