Le fleuron de l’hôtellerie mauricienne depuis plus de vingt ans, le Royal Palm qui a vu défiler tous les plus grands de ce monde, aura dès le dernier trimestre 2009, un établissement jumeau à Marrakech.
Le groupe Beachcomber qui avait déjà essaimé aux Seychelles quitte, pour une fois l’Océan Indien pour remonter vers l’Afrique du Nord.
L’aventure de Marrakech est née de la rencontre de deux hôteliers, Herbert Couacaud, patron de la chaîne Beachcomber et Robert Azoulay qui souhaitait "créer le dernier établissement "de sa longue carrière de développeur hôtelier à Marrakech.
Les deux, à travers leurs groupes respectifs, Beachcomber et CSD, se sont associés pour lancer un projet de 400 millions d’euros le domaine du Royal Palm Marrakech comprenant un parc immobilier de près de 250 villas de grand luxe, réparties dans une oliveraie à 10 kilomètres au sud de Marrakech, « sur la route du barrage » .
Le domaine comprendra également un golf 18 trous privé, un spa , deux piscines « lagons », et l’hôtel Royal Palm de 150 suites dont le « cocooning » des clients sera d’un niveau au moins égal à l’établissement de l’île Maurice.
Le groupe Beachcomber qui avait déjà essaimé aux Seychelles quitte, pour une fois l’Océan Indien pour remonter vers l’Afrique du Nord.
L’aventure de Marrakech est née de la rencontre de deux hôteliers, Herbert Couacaud, patron de la chaîne Beachcomber et Robert Azoulay qui souhaitait "créer le dernier établissement "de sa longue carrière de développeur hôtelier à Marrakech.
Les deux, à travers leurs groupes respectifs, Beachcomber et CSD, se sont associés pour lancer un projet de 400 millions d’euros le domaine du Royal Palm Marrakech comprenant un parc immobilier de près de 250 villas de grand luxe, réparties dans une oliveraie à 10 kilomètres au sud de Marrakech, « sur la route du barrage » .
Le domaine comprendra également un golf 18 trous privé, un spa , deux piscines « lagons », et l’hôtel Royal Palm de 150 suites dont le « cocooning » des clients sera d’un niveau au moins égal à l’établissement de l’île Maurice.
Entre 700 000 et 4 millions d’euros par villa
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« Le projet immobilier servira à financer le développement de l’hôtel », confirme Robert Azoulay qui prévoit de lancer la commercialisation des villas au début de l’année prochaine.
Coût estimé de chaque villa, entre 700 000 et 4 millions d’euros. Pour ce prix, les heureux propriétaires auront droit au concierge et au personnel de maison lorsqu’ils seront présents dans le domaine.
En fait, le projet ouvrira en deux phases : la première, dès le dernier trimestre 2009 comprendra une centaine de villas, le Royal Palm et le golf avec son country club, la deuxième phase au quatrième trimestre 2011 comprendra 50 villas et un hôtel Marriott, à proximité du domaine.
A la question de la surcapacité de l’hôtellerie de luxe à Marrakech avec la Mamounia, l’ouverture future d’un Four Seasons, etc, Rémi Sabarros, le directeur de la chaîne Beachcomber se montre confiant.
« A l’île Maurice, la multiplication des établissements de luxe a tout simplement multiplié le nombre de clients ». Au Royal Palm de Marrakech, l’étude de marché prévoit que 40 % de la clientèle sera anglo-saxonne, 25 % francophone, 20 % marocaine, et le reste réparti en différentes nationalités.
Coût estimé de chaque villa, entre 700 000 et 4 millions d’euros. Pour ce prix, les heureux propriétaires auront droit au concierge et au personnel de maison lorsqu’ils seront présents dans le domaine.
En fait, le projet ouvrira en deux phases : la première, dès le dernier trimestre 2009 comprendra une centaine de villas, le Royal Palm et le golf avec son country club, la deuxième phase au quatrième trimestre 2011 comprendra 50 villas et un hôtel Marriott, à proximité du domaine.
A la question de la surcapacité de l’hôtellerie de luxe à Marrakech avec la Mamounia, l’ouverture future d’un Four Seasons, etc, Rémi Sabarros, le directeur de la chaîne Beachcomber se montre confiant.
« A l’île Maurice, la multiplication des établissements de luxe a tout simplement multiplié le nombre de clients ». Au Royal Palm de Marrakech, l’étude de marché prévoit que 40 % de la clientèle sera anglo-saxonne, 25 % francophone, 20 % marocaine, et le reste réparti en différentes nationalités.