"Carole Pellicer, récemment élue présidente du SNAV Côte d’Azur, a lancé ses premières initiatives.
Elle m’a confié l’animation, le 20 juin, d’une table ronde permettant aux dirigeants d’Air France et à ceux des Aéroports de la Côte d’Azur d’exposer leurs projets, et aux agents de voyages, adhérents ou non du SNAV, de préciser leurs besoins.
Excellente réunion, très concrète et franche mais sans agressivité, avec une assistance nombreuse, relevée et très participative.
Après l’agréable dîner, partagé avec tous les participants, le SNAV m’avait réservé une chambre au Park Inn, 4 étoiles, près de l’aéroport.
Avisé comme l’est un voyageur fréquent (!), j’avais pris la précaution de prévenir l’hôtel, vers 12h le jour de mon arrivée, que je ne pourrais me présenter que vers 23h.
La réceptionniste, après vérification, m’a alors assuré que ce ne serait pas un problème, le paiement de ma chambre étant garanti !
Effectivement, j’arrivais à l’hôtel à 23h05, pour apprendre… que je n’avais plus de chambre, l’hôtel étant en surbooking.
La réceptionniste m’indiqua qu’une chambre avait été réservée à mon nom dans un hôtel proche et que la navette pouvait m’y déposer.
Elle m’a confié l’animation, le 20 juin, d’une table ronde permettant aux dirigeants d’Air France et à ceux des Aéroports de la Côte d’Azur d’exposer leurs projets, et aux agents de voyages, adhérents ou non du SNAV, de préciser leurs besoins.
Excellente réunion, très concrète et franche mais sans agressivité, avec une assistance nombreuse, relevée et très participative.
Après l’agréable dîner, partagé avec tous les participants, le SNAV m’avait réservé une chambre au Park Inn, 4 étoiles, près de l’aéroport.
Avisé comme l’est un voyageur fréquent (!), j’avais pris la précaution de prévenir l’hôtel, vers 12h le jour de mon arrivée, que je ne pourrais me présenter que vers 23h.
La réceptionniste, après vérification, m’a alors assuré que ce ne serait pas un problème, le paiement de ma chambre étant garanti !
Effectivement, j’arrivais à l’hôtel à 23h05, pour apprendre… que je n’avais plus de chambre, l’hôtel étant en surbooking.
La réceptionniste m’indiqua qu’une chambre avait été réservée à mon nom dans un hôtel proche et que la navette pouvait m’y déposer.
Transferts nocturnes fréquents malgré les résa confirmées
J’acceptais à contre cœur. Et la navette tenta de me déposer dans un Campanile, 2 étoiles.
Évidemment, je refusais, retournais au Park Inn et exigeais un 4 étoiles, catégorie qui avait été retenue et payée pour moi.
Après plusieurs tentatives, une chambre fut trouvée au Novotel Acropolis. La navette m’y conduisit… en 25 mn. Il était déjà 01h15 quand nous y arrivons pour entendre le réceptionniste me dire que le fax de confirmation de prise en charge par le Park Inn ne lui était pas encore parvenu ! J’avoue avoir failli péter les plombs…
Le lendemain matin, après une très courte nuit, perturbée par la colère que je ressentais, je suis retourné au Park Inn pour y récupérer ma voiture et interviewer quelques résidents.
Résumé des confidences recueillies : le directeur en place depuis deux ans (qui ne serait pas un professionnel de la gestion hôtelière mais ancien commercial chez Radisson) pratiquerait assidument le surbooking… et transfèrerait fréquemment les derniers clients arrivant dans la nuit malgré leur réservation confirmée !
Il choisit un 2 étoiles, pour gagner quelques dizaines d’euros sur les chambres vendues ! Il privilégie la rentabilité, le coefficient d’occupation, à la satisfaction client ; tout se dégrade : le service, l’ambiance, les repas, etc.
Je conseille aux agences de voyages et aux TO qui lui confient des groupes (autour de 50 euros la nuit m’a-t-on dit pour les groupes) de lui mesurer leur confiance…
J’espère leur être utile avec ce témoignage."
Pierre Amalou, Stratégos
Évidemment, je refusais, retournais au Park Inn et exigeais un 4 étoiles, catégorie qui avait été retenue et payée pour moi.
Après plusieurs tentatives, une chambre fut trouvée au Novotel Acropolis. La navette m’y conduisit… en 25 mn. Il était déjà 01h15 quand nous y arrivons pour entendre le réceptionniste me dire que le fax de confirmation de prise en charge par le Park Inn ne lui était pas encore parvenu ! J’avoue avoir failli péter les plombs…
Le lendemain matin, après une très courte nuit, perturbée par la colère que je ressentais, je suis retourné au Park Inn pour y récupérer ma voiture et interviewer quelques résidents.
Résumé des confidences recueillies : le directeur en place depuis deux ans (qui ne serait pas un professionnel de la gestion hôtelière mais ancien commercial chez Radisson) pratiquerait assidument le surbooking… et transfèrerait fréquemment les derniers clients arrivant dans la nuit malgré leur réservation confirmée !
Il choisit un 2 étoiles, pour gagner quelques dizaines d’euros sur les chambres vendues ! Il privilégie la rentabilité, le coefficient d’occupation, à la satisfaction client ; tout se dégrade : le service, l’ambiance, les repas, etc.
Je conseille aux agences de voyages et aux TO qui lui confient des groupes (autour de 50 euros la nuit m’a-t-on dit pour les groupes) de lui mesurer leur confiance…
J’espère leur être utile avec ce témoignage."
Pierre Amalou, Stratégos