Le groupe Mona Lisa change d'image !
Nouveau logo, nouveau nom... alors que l'activité touristique reprend, le groupe dirigé par Pierre Brechard, directeur général, souhaite insuffler une nouvel élan.
Noemys, le nouveau nom du groupe mais aussi des résidences de tourisme doit porter cette ambition.
Sur 5 ans, d'ici 2025 à 2026, le groupe souhaite atteindre un parc d'une quarantaine d'établissements à raison de 2 à 3 ouvertures par an, pour atteindre 40 à 45 M€ de chiffre d'affaires.
Dans son viseur notamment la montagne, qui sera une zone de développement privilégiée.
"Nous avons fait le choix d’inscrire notre groupe dans une nouvelle dynamique autour des valeurs d’exigence, de bienveillance et d’agilité. Lorsqu’un client pénètre dans l’un de nos établissements, nous souhaitons qu’il profite d’un moment de détente, de quiétude et de bien-être. L’environnement est également au cœur de notre nouveau positionnement" explique le directeur général.
Nouveau logo, nouveau nom... alors que l'activité touristique reprend, le groupe dirigé par Pierre Brechard, directeur général, souhaite insuffler une nouvel élan.
Noemys, le nouveau nom du groupe mais aussi des résidences de tourisme doit porter cette ambition.
Sur 5 ans, d'ici 2025 à 2026, le groupe souhaite atteindre un parc d'une quarantaine d'établissements à raison de 2 à 3 ouvertures par an, pour atteindre 40 à 45 M€ de chiffre d'affaires.
Dans son viseur notamment la montagne, qui sera une zone de développement privilégiée.
"Nous avons fait le choix d’inscrire notre groupe dans une nouvelle dynamique autour des valeurs d’exigence, de bienveillance et d’agilité. Lorsqu’un client pénètre dans l’un de nos établissements, nous souhaitons qu’il profite d’un moment de détente, de quiétude et de bien-être. L’environnement est également au cœur de notre nouveau positionnement" explique le directeur général.
Plan de formation sur 5 ans
Pour accompagner, ce nouveau positionnement, un plan de formation quinquennal d'un montant de 900 000 € à 1 M € sera déployé pour l'ensemble des collaborateurs en CDI mais aussi une partie des saisonniers. Il comprendra notamment un volet environnemental.
Actuellement, Noemys compte 27 établissements dont 14 résidences de tourisme Mona Lisa à la montagne qui vont porter désormais les nouvelles couleurs, 7 hôtels 2 et 3 étoiles en zone péri-urbaine ainsi que 6 établissements Garrigae pour un chiffre d'affaires hors covid de 23 M€.
La crise liée à la pandémie n'a pas épargné le groupe qui accuse un manque à gagner de 35% du chiffre d'affaires pour 2020 et 2021.
"Les aides de l'Etat, les négociations avec les banques, les exonérations de charges, l'activité partielle ainsi que les actions que nous avons prises... nous ont permis de minorer nos impacts sur le résultat consolidé qui s'est maintenu à un niveau raisonnable. Pierre Gatignol et Frédéric Morin, les deux actionnaires ont également recapitalisé le groupe" explique Pierre Brechard.
La perte s'est établie en 2020 entre 500 000 et 600 000 €, elle devrait être du même ordre entre 400 000 et 600 000 € pour 2021.
Malgré les turbulences, le groupe a gardé l'ensemble de 150 collaborateurs en CDI.
Actuellement, Noemys compte 27 établissements dont 14 résidences de tourisme Mona Lisa à la montagne qui vont porter désormais les nouvelles couleurs, 7 hôtels 2 et 3 étoiles en zone péri-urbaine ainsi que 6 établissements Garrigae pour un chiffre d'affaires hors covid de 23 M€.
La crise liée à la pandémie n'a pas épargné le groupe qui accuse un manque à gagner de 35% du chiffre d'affaires pour 2020 et 2021.
"Les aides de l'Etat, les négociations avec les banques, les exonérations de charges, l'activité partielle ainsi que les actions que nous avons prises... nous ont permis de minorer nos impacts sur le résultat consolidé qui s'est maintenu à un niveau raisonnable. Pierre Gatignol et Frédéric Morin, les deux actionnaires ont également recapitalisé le groupe" explique Pierre Brechard.
La perte s'est établie en 2020 entre 500 000 et 600 000 €, elle devrait être du même ordre entre 400 000 et 600 000 € pour 2021.
Malgré les turbulences, le groupe a gardé l'ensemble de 150 collaborateurs en CDI.