Beaucoup de réceptifs dans la région de Cancun (Mexique) proposent des excursions pour aller nager avec les requins-baleines.
La proposition est alléchante même si cela reste onéreux. Il faut compter environ 250 euros par personne, transport compris. Mais ce n’est pas tout...
Chaque jour vers 6h45 tapantes, Ingrid (Suisse d’origine zurichoise), polyglotte et pointilleuse sur l'horaire comme il se doit, vient chercher ses clients dans la zone hôtelière dans un petit van, plutôt confortable, d’une dizaine de places.
Pendant le trajet jusqu’au môle de Cancun, elle détaille en plusieurs langues les recommandations et donne des conseils pour profiter au mieux de l’excursion.
Les requins-baleines sont garantis sur facture du 1er juin au 31 août, car la région au large de Isla Mujeres, est particulièrement riche en plancton. On peut vraiment bien les voir et quasiment les toucher... si cela n’était pas interdit.
Pour des raisons environnementales et pour respecter aussi les consignes de la Réserve maritime, les crèmes solaires sont interdites. Bien entendu, c’est dommage de l’apprendre à posteriori, mais bon…
Pour y pallier, Ingrid conseille fortement l’achat (20 à 25 euros) d’un tee shirt manches longues qui protégera bien mieux les nageurs qu’une quelconque crème. Là encore, si on l’avait su avant, n’importe quel vieux tee shirt aurait fait l’affaire.
La proposition est alléchante même si cela reste onéreux. Il faut compter environ 250 euros par personne, transport compris. Mais ce n’est pas tout...
Chaque jour vers 6h45 tapantes, Ingrid (Suisse d’origine zurichoise), polyglotte et pointilleuse sur l'horaire comme il se doit, vient chercher ses clients dans la zone hôtelière dans un petit van, plutôt confortable, d’une dizaine de places.
Pendant le trajet jusqu’au môle de Cancun, elle détaille en plusieurs langues les recommandations et donne des conseils pour profiter au mieux de l’excursion.
Les requins-baleines sont garantis sur facture du 1er juin au 31 août, car la région au large de Isla Mujeres, est particulièrement riche en plancton. On peut vraiment bien les voir et quasiment les toucher... si cela n’était pas interdit.
Pour des raisons environnementales et pour respecter aussi les consignes de la Réserve maritime, les crèmes solaires sont interdites. Bien entendu, c’est dommage de l’apprendre à posteriori, mais bon…
Pour y pallier, Ingrid conseille fortement l’achat (20 à 25 euros) d’un tee shirt manches longues qui protégera bien mieux les nageurs qu’une quelconque crème. Là encore, si on l’avait su avant, n’importe quel vieux tee shirt aurait fait l’affaire.
Une quinzaine d’embarcations remplies de touristes...
Il faudra ajouter aussi au tarif la cotisation prévue pour le Parc et la réserve naturelle. Bien entendu, on ne saurait oublier le pourboire du Guide et du chauffeur, quasiment “obligatoires”.
Bref, quand vous avez fait le total, il faut compter plutôt un budget de 300 euros environ par personne, surtout si le petit dernier se laisse séduire par les peluches et autres goodies proposés sur le stand du Parc.
Le petit-déjeuner, compris dans le forfait, se prend sur le môle avant le départ. Il est relativement frugal : café, lait, quelques viennoiseries et des fruits.
Pour les consignes techniques, les plongées se feront par “palanquées” de deux.
Au total, une fois sur site, l’observation et le snorkelling ne devraient pas dépasser 40 minutes, car les autorités maritimes veillent au grain pour éviter de traumatiser ces magnifiques créatures.
En fonction du nombre de personnes à bord, vous aurez peut-être la chance de replonger une troisième fois. Dès qu’un spécimen est aperçu, on vous encourage à nager très vite pour vous en approcher le plus possible.
Car, il faut le savoir, vous n’êtes pas seul, loin s’en faut…
Une fois arrivés sur le site, nous découvrons, ébahis, une quinzaine d’embarcations remplies de touristes qui forment un cercle très rapproché au milieu duquel les nageurs se déplacent en essayant, tant bien que mal, de suivre les animaux.
Bref, quand vous avez fait le total, il faut compter plutôt un budget de 300 euros environ par personne, surtout si le petit dernier se laisse séduire par les peluches et autres goodies proposés sur le stand du Parc.
Le petit-déjeuner, compris dans le forfait, se prend sur le môle avant le départ. Il est relativement frugal : café, lait, quelques viennoiseries et des fruits.
Pour les consignes techniques, les plongées se feront par “palanquées” de deux.
Au total, une fois sur site, l’observation et le snorkelling ne devraient pas dépasser 40 minutes, car les autorités maritimes veillent au grain pour éviter de traumatiser ces magnifiques créatures.
En fonction du nombre de personnes à bord, vous aurez peut-être la chance de replonger une troisième fois. Dès qu’un spécimen est aperçu, on vous encourage à nager très vite pour vous en approcher le plus possible.
Car, il faut le savoir, vous n’êtes pas seul, loin s’en faut…
Une fois arrivés sur le site, nous découvrons, ébahis, une quinzaine d’embarcations remplies de touristes qui forment un cercle très rapproché au milieu duquel les nageurs se déplacent en essayant, tant bien que mal, de suivre les animaux.
Une course à l'échalote non dépourvue de danger...
C’est une sorte de course à l'échalote où les bateaux, proue contre proue quasiment, doivent gérer à la fois les déplacements des requins-baleines et ceux des nageurs dans l’eau pour éviter de les étriper (l’un et l’autre) d’un coup d’hélice maladroit.
“C’est vrai que c’est impressionnant, rassure (?) Ingrid, mais les pilotes sont d’une habileté à toute épreuve et jusqu’ici il n’y a jamais eu d’accident…” (sic)
En effet, une fois dans l’eau, un plongeur (le second) vous accompagne pendant la durée (une dizaine de minutes en moyenne) de la sortie. On oublie la ronde des embarcations pour se concentrer sur l’objectif.
Ingrid disait vrai : il faut pousser ferme sur les palmes parce que les requins-baleines, malgré toute leur bonne volonté, ne vous attendent pas.
Mais la promesse est tenue. Ils nagent autour de nous, nous frôlent parfois avec leur formidable masse et sans agressivité aucune, la gueule grande ouverte pouvant mesurer jusqu'à deux mètres de large, et filtrant jusqu’à 2 000 tonnes d’eau par heure.
Une expérience incroyable et inoubliable !
Dommage quand même pour la quantité de bateaux qui débarquent une quantité de personnes excessive, selon moi, et dont la proximité et la poursuite des animaux s’apparente à une sorte de curée.
J'ai une suggestion pour les autorités mexicaines : revoir à la baisse les quotas, car il serait dommage qu’un jour on déplore des victimes de l’exploitation à outrance du produit.
“C’est vrai que c’est impressionnant, rassure (?) Ingrid, mais les pilotes sont d’une habileté à toute épreuve et jusqu’ici il n’y a jamais eu d’accident…” (sic)
En effet, une fois dans l’eau, un plongeur (le second) vous accompagne pendant la durée (une dizaine de minutes en moyenne) de la sortie. On oublie la ronde des embarcations pour se concentrer sur l’objectif.
Ingrid disait vrai : il faut pousser ferme sur les palmes parce que les requins-baleines, malgré toute leur bonne volonté, ne vous attendent pas.
Mais la promesse est tenue. Ils nagent autour de nous, nous frôlent parfois avec leur formidable masse et sans agressivité aucune, la gueule grande ouverte pouvant mesurer jusqu'à deux mètres de large, et filtrant jusqu’à 2 000 tonnes d’eau par heure.
Une expérience incroyable et inoubliable !
Dommage quand même pour la quantité de bateaux qui débarquent une quantité de personnes excessive, selon moi, et dont la proximité et la poursuite des animaux s’apparente à une sorte de curée.
J'ai une suggestion pour les autorités mexicaines : revoir à la baisse les quotas, car il serait dommage qu’un jour on déplore des victimes de l’exploitation à outrance du produit.
Le requin-baleine (Rhincodon typus)
Le requin-baleine (Rhincodon typus) est une espèce de poissons cartilagineux, seul membre du genre Rhincodon et seule espèce actuelle de la famille des Rhincodontidae. Pouvant exceptionnellement atteindre 20 mètres de long, pour une masse de 34 tonnes, ce requin est considéré comme le plus grand poisson vivant actuellement sur Terre. Cependant, sa taille observable est en pratique généralement comprise entre 4 et 14 mètres.
Massif, se déplaçant assez lentement et dénué d'agressivité, ce requin est parfaitement inoffensif pour l'homme. À l'image de la baleine bleue, son équivalent chez les mammifères de la mégafaune maritime, ce géant des mers se nourrit principalement de plancton, d'algues et d'animaux microscopiques, qu'il absorbe par sa large bouche.
Facilement reconnaissable avec sa livrée en damier, le requin-baleine se rencontre dans les mers ouvertes et les océans tropicaux et chauds. Sa durée de vie est estimée entre 100 et 150 ans, même si le plus vieux spécimen recueilli était âgé d'environ 70 ans. Bien qu'il n'y ait aucune donnée précise sur sa population totale, l'espèce est considérée comme en danger.(source Wikipedia)
Massif, se déplaçant assez lentement et dénué d'agressivité, ce requin est parfaitement inoffensif pour l'homme. À l'image de la baleine bleue, son équivalent chez les mammifères de la mégafaune maritime, ce géant des mers se nourrit principalement de plancton, d'algues et d'animaux microscopiques, qu'il absorbe par sa large bouche.
Facilement reconnaissable avec sa livrée en damier, le requin-baleine se rencontre dans les mers ouvertes et les océans tropicaux et chauds. Sa durée de vie est estimée entre 100 et 150 ans, même si le plus vieux spécimen recueilli était âgé d'environ 70 ans. Bien qu'il n'y ait aucune donnée précise sur sa population totale, l'espèce est considérée comme en danger.(source Wikipedia)
Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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