Après un exercice 2020 désastreux d'un point de vue financier, mais comme pour l'ensemble du secteur, Rayanair redresse la barre en 2021.
La low cost a réussi l'exploit de diviser ses pertes par 3, pour un résultat annuel négatif de 355 millions d'euros pour l'ensemble de l'année (avant éléments exceptionnels), contre une perte de 1 015 millions d'euros pour l'année précédente.
Un résultat en nette ammélioration qui s'explique par une forte hausse du nombre de passagers, passant de 27,5 millions à 97,1 millions (+253 %).
Dans le même temps les recettes ont suivi cette dynamique, mais à un degrés moindre, car pour relancer la machine, les compagnies ont dû revoir leurs prix à la baisse.
Les recettes totales ont augmenté de plus de 190 % pour atteindre 4,80 milliards d'euros. L'exercice a été marqué par une baisse de 27% des tarifs moyens, qui ont atteint 27 euros seulement.
La guerre en Ukraine et le variant omicron explique cette chute du billet.
La low cost a réussi l'exploit de diviser ses pertes par 3, pour un résultat annuel négatif de 355 millions d'euros pour l'ensemble de l'année (avant éléments exceptionnels), contre une perte de 1 015 millions d'euros pour l'année précédente.
Un résultat en nette ammélioration qui s'explique par une forte hausse du nombre de passagers, passant de 27,5 millions à 97,1 millions (+253 %).
Dans le même temps les recettes ont suivi cette dynamique, mais à un degrés moindre, car pour relancer la machine, les compagnies ont dû revoir leurs prix à la baisse.
Les recettes totales ont augmenté de plus de 190 % pour atteindre 4,80 milliards d'euros. L'exercice a été marqué par une baisse de 27% des tarifs moyens, qui ont atteint 27 euros seulement.
La guerre en Ukraine et le variant omicron explique cette chute du billet.
Ryanair : une reprise fragile pour 2022
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Après donc une année chaotique, Ryanair estime la reprise comme "fragile" , en raison des incertitudes qui pèsent sur le marché et de la hausse du prix du baril.
"Nos besoins en carburant pour l'exercice 23 sont couverts à environ 80 % (65 % de swaps de jet à environ 63 milliards de dollars et 15 % de caps à environ 78 milliards de dollars)," explique le communiqué de presse.
Malgré tout, les capacités seront en forte hausse équivalente à environ 115% des niveaux de 2019.
Une reprise timide qui s'explique par un manque d'anticipation des clients.
La courbe des réservations reste beaucoup plus étroite que ce qui était typique (avant Covid) à cette période de l'année.
"Nous sommes prudemment optimistes quant au fait que les tarifs de pointe de l'exercice 2022 seront légèrement supérieurs aux niveaux de pointe de ceux d'avant crise."
En pour l'exercice 2023, la low cost espère enregistrer 165 millions de passagers (contre 97 millions pour l'exercice 2022, soit 2021, et 149 millions avant Covid).
"Nos besoins en carburant pour l'exercice 23 sont couverts à environ 80 % (65 % de swaps de jet à environ 63 milliards de dollars et 15 % de caps à environ 78 milliards de dollars)," explique le communiqué de presse.
Malgré tout, les capacités seront en forte hausse équivalente à environ 115% des niveaux de 2019.
Une reprise timide qui s'explique par un manque d'anticipation des clients.
La courbe des réservations reste beaucoup plus étroite que ce qui était typique (avant Covid) à cette période de l'année.
"Nous sommes prudemment optimistes quant au fait que les tarifs de pointe de l'exercice 2022 seront légèrement supérieurs aux niveaux de pointe de ceux d'avant crise."
En pour l'exercice 2023, la low cost espère enregistrer 165 millions de passagers (contre 97 millions pour l'exercice 2022, soit 2021, et 149 millions avant Covid).