Le Jugement rendu hier à Toulouse a débouté les demandeurs de l'ensemble de leurs prétentions. Marie-Christine Chaubet a perdu sur l'ensemble des points demandés. De son côté Georges Colson et l'entreprise ont été déboutés de leur demande de dommages et intérêts.
L’ex-dirigeante du tour opérateur toulousain a intenté une action en justice visant à faire annuler l'acquisition en 2005 de 21% du capital par Georges Colson. Elle conteste la validité de cette transaction qui a permis au président du Snav de reprendre la main et le pouvoir dans l'entreprise.
''Elle a fait croire que je voulais vendre... ''
Georges Colson qui reste le président du Conseil de Surveillance de Fram déclarait hier soir : "Les accusations de Madame Chaubet étaient mensongères. Elle a fait croire que je voulais vendre... C'est d'autant plus faux que je pourrais vendre mes actions, pas l'entreprise. Il en est de même pour elle. Elle m'a accusé de faux et d'usage de faux.
L’ex-dirigeante du tour opérateur toulousain a intenté une action en justice visant à faire annuler l'acquisition en 2005 de 21% du capital par Georges Colson. Elle conteste la validité de cette transaction qui a permis au président du Snav de reprendre la main et le pouvoir dans l'entreprise.
''Elle a fait croire que je voulais vendre... ''
Georges Colson qui reste le président du Conseil de Surveillance de Fram déclarait hier soir : "Les accusations de Madame Chaubet étaient mensongères. Elle a fait croire que je voulais vendre... C'est d'autant plus faux que je pourrais vendre mes actions, pas l'entreprise. Il en est de même pour elle. Elle m'a accusé de faux et d'usage de faux.
Je n'ai jamais voulu alimenter une polémique. J'attendais avec sérénité la décition du Tribunal. Je suis satisfait pour l'entreprise, pour ma famille, pour moi. J'espère que Madame Chaubet retrouvera un peu de raison et de sérénité". Marie-Christine Chaubet décidera dans les prochains jours si elle fait appel.