480 offres d'emplois très diversifiées ont ainsi été proposées par une trentaine d'entreprises, réseaux volontaires ou industriels, tour-opérateurs, institutionnels dont l'UNAT (Union Nationale des Association de Tourisme).
Cette dernière proposait à elle seule 163 offres d'emplois réparties à travers la France. Le CETO en proposait 80. On a compté 1 430 visiteurs, un chiffre quasiment identique à celui du premier Rendez-Vous Emploi qui s'était déroulé en 2006 dans les Salons de la Mutualité à Paris.
Ce fut une manifestation bien régulée et Bernard Didelot, président de l'APS l'a reconnu avec plaisir à ce détail près : « C'est une bonne opération, la seule qui mettre vraiment en contact sur une unité de lieu demandeurs d'emplois et employeurs potentiels. Il y a toutefois un problème, elle est un peu chère ».
Il aurait souhaite une participation plus effective des pouvoirs publics ainsi que Léon Bertrand, le Secrétaire d'Etat au Tourisme d'avant les présidentielles en avait fait la promesse. « Cela s'est traduit par une aumône », a regretté le président de l'APS.
Il y a de fortes chances pour que, désormais, ce Rendez-Vous de l'Emploi des Entreprises du Tourisme organisé par l'APS ne se déroule qu'au rythme plus posé d'une année sur deux.
Cette dernière proposait à elle seule 163 offres d'emplois réparties à travers la France. Le CETO en proposait 80. On a compté 1 430 visiteurs, un chiffre quasiment identique à celui du premier Rendez-Vous Emploi qui s'était déroulé en 2006 dans les Salons de la Mutualité à Paris.
Ce fut une manifestation bien régulée et Bernard Didelot, président de l'APS l'a reconnu avec plaisir à ce détail près : « C'est une bonne opération, la seule qui mettre vraiment en contact sur une unité de lieu demandeurs d'emplois et employeurs potentiels. Il y a toutefois un problème, elle est un peu chère ».
Il aurait souhaite une participation plus effective des pouvoirs publics ainsi que Léon Bertrand, le Secrétaire d'Etat au Tourisme d'avant les présidentielles en avait fait la promesse. « Cela s'est traduit par une aumône », a regretté le président de l'APS.
Il y a de fortes chances pour que, désormais, ce Rendez-Vous de l'Emploi des Entreprises du Tourisme organisé par l'APS ne se déroule qu'au rythme plus posé d'une année sur deux.
La perspective des voyages intéresse 87,4 % des sondés
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C'est ce qui ressort de l'étude réalisée en janvier et février 2008 auprès d'un millier d'étudiants en tourisme via leurs écoles et leurs professeurs.
Le secteur du tourisme est perçu par les étudiants comme un secteur de poids dans l'économie française (92 % des réponses), un secteur d'avenir (89 % des réponses) et créateurs d'emplois (76 % des réponses).
En revanche, pour près de quatre étudiants sur dix, il n'est pas reconnu à sa juste valeur au niveau économique.
Quant aux motivations, elles demeurent « classiques ». L'avenir du secteur les retient à 68 %, les possibilités d'évolution de carrière, à 66 %. A propos des salaires, ils se révèlent lucides : 5,2 % seulement ont répondu oui à la question mettant en perspective l'attrait du salaire.
En revanche le contact avec la clientèle les intéresse (82,7 %). Le dernier et pas le moindre des attraits retenus par les étudiants est bien entendu la perspective des voyages (87,4 %). Ils doutent enfin de la sécurité de l'emploi : 12,8 % seulement y croient.
Il semble enfin que l'information sur ces métiers et leurs perspectives de carrière passent mal. 18,7 % seulement ont répondu « oui » à la question « êtiez-vous bien informés sur les différents métiers du tourisme. »
Il ressort, enfin, qu'ils éprouvent de vraies difficultés à trouver des stages qui répondent à leurs attentes et qu'ils souhaiteraient avoir des contacts plus suivis avec les entreprises. Un sur deux voudrait travailler dans un grand groupe. Ils sont autant à opter pour une grande entreprise. Ils ne sont que 45 % à vouloir envisager de créer leur propre entreprise.
Le secteur du tourisme est perçu par les étudiants comme un secteur de poids dans l'économie française (92 % des réponses), un secteur d'avenir (89 % des réponses) et créateurs d'emplois (76 % des réponses).
En revanche, pour près de quatre étudiants sur dix, il n'est pas reconnu à sa juste valeur au niveau économique.
Quant aux motivations, elles demeurent « classiques ». L'avenir du secteur les retient à 68 %, les possibilités d'évolution de carrière, à 66 %. A propos des salaires, ils se révèlent lucides : 5,2 % seulement ont répondu oui à la question mettant en perspective l'attrait du salaire.
En revanche le contact avec la clientèle les intéresse (82,7 %). Le dernier et pas le moindre des attraits retenus par les étudiants est bien entendu la perspective des voyages (87,4 %). Ils doutent enfin de la sécurité de l'emploi : 12,8 % seulement y croient.
Il semble enfin que l'information sur ces métiers et leurs perspectives de carrière passent mal. 18,7 % seulement ont répondu « oui » à la question « êtiez-vous bien informés sur les différents métiers du tourisme. »
Il ressort, enfin, qu'ils éprouvent de vraies difficultés à trouver des stages qui répondent à leurs attentes et qu'ils souhaiteraient avoir des contacts plus suivis avec les entreprises. Un sur deux voudrait travailler dans un grand groupe. Ils sont autant à opter pour une grande entreprise. Ils ne sont que 45 % à vouloir envisager de créer leur propre entreprise.