Un embarquement très folklorique
Premier point, l'embarquement. On aurait pu légitimement penser qu'Air France avait longuement mûri son affaire et pris toutes les dispositions pour que les 538 passagers appelés à monter à bord le fassent dans de bonnes conditions.
Et ce d'autant plus qu'à Paris, comme dans les autres cités qui accueillent l'A 380, des installations aéroportuaires spécifiques ont été spécialement construites !
Et bien non ! Comme au comptoir d'enregistrement, quelques instants auparavant, les longues files d'attente n'ont pas tardé à fleurir.
Il y a bien de larges bandeaux affichant le plan des cabines et des deux niveaux, mais pour canaliser les passagers on n' a pas trouvé d'autre solutions que de ressortir de bons vieux écriteaux.
D'où la scène, quelque peu surréaliste, de personnels au sol se baladant en tenant, tels des écoliers, des ardoises où figurent les numéros des rangs autorisés à monter !
A l'heure de l'informatique, au pied d'un avion bourré de merveilles technologiques, on se croirait revenu au siècle dernier. Voire...
Et ce d'autant plus qu'à Paris, comme dans les autres cités qui accueillent l'A 380, des installations aéroportuaires spécifiques ont été spécialement construites !
Et bien non ! Comme au comptoir d'enregistrement, quelques instants auparavant, les longues files d'attente n'ont pas tardé à fleurir.
Il y a bien de larges bandeaux affichant le plan des cabines et des deux niveaux, mais pour canaliser les passagers on n' a pas trouvé d'autre solutions que de ressortir de bons vieux écriteaux.
D'où la scène, quelque peu surréaliste, de personnels au sol se baladant en tenant, tels des écoliers, des ardoises où figurent les numéros des rangs autorisés à monter !
A l'heure de l'informatique, au pied d'un avion bourré de merveilles technologiques, on se croirait revenu au siècle dernier. Voire...