Beaucoup de sièges et peu d'espace
Bénéficiaire d'une place au pont supérieur, j'ai donc dû emprunter un escalator pour rejoindre l'une des portes de l'avion. Au passage, un étal bien fourni de journaux français et étrangers est à disposition.
Plus tard, nous trouverons un assortiment de revues et magazines disponible au fond de notre cabine. Mais pour l'heure, il convient de regagner notre siège pour les opérations de départ.
Les sièges, justement, parlons-en. A l'étage, pour la classe « Voyageurs », il y en a 8 par rangée, avec -côtés hublots- de larges et profonds coffres de rangements.
En bas, au pont principal, on en compte 10. On ne saurait donc trop vous conseiller, lors de votre réservation, de demander la cabine supérieure.
Visiblement les sièges ont été conçus pour gagner du poids et de l'espace. Mais rien ne les différencie vraiment de fauteuils de classe équivalente équipant les autres avions de la flotte.
L'espace dévolu à l'assise est de 46 cm et si l'inclinaison s'avère somme toute convenable, nous nous apercevrons vite, au fil des heures qui s'écoulent, que la place pour les jambes est plutôt limitée, même avec le repose pieds.
C'est là qu'entre en scène le contorsionniste qui sommeille en chacun de nous... Les plus malins, ou les initiés, penseront à demander une rangée de sièges se situant au niveau des nombreuses portes de l'A 380.
Bien joué, le dégagement est remarquable. Mais à l'enregistrement on vous demandera alors une petite rallonge de … 50 euros. Soit 25 pour chaque jambe allongée. Chez Air France, il n'y a plus de petits profits !
Comme d'habitude, rien à redire sur les annonces faites à bord. Français et Anglais, on ne déroge pas à la règle.
Le choix des langues est même beaucoup plus important lorsqu'il s'agit de choisir l'un des nombreux films proposés. L'écran vidéo tactile individuel, encastré dans les dossiers des sièges, offre également une belle variétés de jeux, musiques, documentaires.
Plus tard, nous trouverons un assortiment de revues et magazines disponible au fond de notre cabine. Mais pour l'heure, il convient de regagner notre siège pour les opérations de départ.
Les sièges, justement, parlons-en. A l'étage, pour la classe « Voyageurs », il y en a 8 par rangée, avec -côtés hublots- de larges et profonds coffres de rangements.
En bas, au pont principal, on en compte 10. On ne saurait donc trop vous conseiller, lors de votre réservation, de demander la cabine supérieure.
Visiblement les sièges ont été conçus pour gagner du poids et de l'espace. Mais rien ne les différencie vraiment de fauteuils de classe équivalente équipant les autres avions de la flotte.
L'espace dévolu à l'assise est de 46 cm et si l'inclinaison s'avère somme toute convenable, nous nous apercevrons vite, au fil des heures qui s'écoulent, que la place pour les jambes est plutôt limitée, même avec le repose pieds.
C'est là qu'entre en scène le contorsionniste qui sommeille en chacun de nous... Les plus malins, ou les initiés, penseront à demander une rangée de sièges se situant au niveau des nombreuses portes de l'A 380.
Bien joué, le dégagement est remarquable. Mais à l'enregistrement on vous demandera alors une petite rallonge de … 50 euros. Soit 25 pour chaque jambe allongée. Chez Air France, il n'y a plus de petits profits !
Comme d'habitude, rien à redire sur les annonces faites à bord. Français et Anglais, on ne déroge pas à la règle.
Le choix des langues est même beaucoup plus important lorsqu'il s'agit de choisir l'un des nombreux films proposés. L'écran vidéo tactile individuel, encastré dans les dossiers des sièges, offre également une belle variétés de jeux, musiques, documentaires.