Un mode d'emploi qui fait défaut
Pour les 106 places « voyageurs » du pont supérieur, deux seules toilettes -à l'équipement plutôt minimaliste- sont prévues. Manque de chance, l'une d'entre elles a du être condamnée dans la nuit.
La raison ? Un voyant d'alarme s'était allumé. Et le mystère n'a jamais pu être résolu.
Et c'est là que les choses deviennent cocasses. Visiblement, chez Air France, on fait tourner les personnels sur les différents appareils de la flotte.
Or ce soir là, la quasi-totalité du personnel de bord effectuait -comme nous- son premier vol sur l'A 380. D'où certaines difficultés, à éteindre des lumières ou à comprendre les voyants lumineux du tableau installé en fond de cabine.
Devant un steward et une hôtesse qui, perplexes et manuel en mains, s'interrogeaient, nous n'avons pu alors nous empêcher d'espérer qu'il n'en serait pas de même pour le Commandant de bord...
Au bout de dix heures de vol et au terme d'une très rapide descente, l'A 380 d'Air France s'est posé à Johannesbourg. Un atterrissage que l'on peut vivre en live dans son siège puisque des caméras placées en plusieurs endroits (dont l'empennage), permettent de se prendre pour le pilote.
Nonobstant ce petit plaisir, et après avoir souligné à nouveau les indiscutables qualités de cet Airbus, il faut bien reconnaître que dans l'ensemble la prestation s'avère au final quelque peu décevante.
Parmi les nombreux voyageurs de ce vol que nous avons pris soin d'interroger, le sentiment qui prédominait était en résumé : « on s'attendait tout simplement à plus de place, à plus de confort, même dans la classe la plus économique de la compagnie. »
Les multiples sujets diffusés depuis des mois sur les diverses chaines de télévision et montrant des A 380 équipés comme de luxueuses résidences hôtelières, ont pu laisser croire que ce nouvel appareil rimait systématiquement avec nouvelle approche du voyage.
Chez Air France, l'espace mis à disposition a été employé. Mais de façon rationnelle et dans un seul but, celui de rentabiliser.
Certes, par les temps qui courent, on peut le comprendre. Mais il n'est pas interdit de rêver...
La raison ? Un voyant d'alarme s'était allumé. Et le mystère n'a jamais pu être résolu.
Et c'est là que les choses deviennent cocasses. Visiblement, chez Air France, on fait tourner les personnels sur les différents appareils de la flotte.
Or ce soir là, la quasi-totalité du personnel de bord effectuait -comme nous- son premier vol sur l'A 380. D'où certaines difficultés, à éteindre des lumières ou à comprendre les voyants lumineux du tableau installé en fond de cabine.
Devant un steward et une hôtesse qui, perplexes et manuel en mains, s'interrogeaient, nous n'avons pu alors nous empêcher d'espérer qu'il n'en serait pas de même pour le Commandant de bord...
Au bout de dix heures de vol et au terme d'une très rapide descente, l'A 380 d'Air France s'est posé à Johannesbourg. Un atterrissage que l'on peut vivre en live dans son siège puisque des caméras placées en plusieurs endroits (dont l'empennage), permettent de se prendre pour le pilote.
Nonobstant ce petit plaisir, et après avoir souligné à nouveau les indiscutables qualités de cet Airbus, il faut bien reconnaître que dans l'ensemble la prestation s'avère au final quelque peu décevante.
Parmi les nombreux voyageurs de ce vol que nous avons pris soin d'interroger, le sentiment qui prédominait était en résumé : « on s'attendait tout simplement à plus de place, à plus de confort, même dans la classe la plus économique de la compagnie. »
Les multiples sujets diffusés depuis des mois sur les diverses chaines de télévision et montrant des A 380 équipés comme de luxueuses résidences hôtelières, ont pu laisser croire que ce nouvel appareil rimait systématiquement avec nouvelle approche du voyage.
Chez Air France, l'espace mis à disposition a été employé. Mais de façon rationnelle et dans un seul but, celui de rentabiliser.
Certes, par les temps qui courent, on peut le comprendre. Mais il n'est pas interdit de rêver...