L'Assemblée générale de l'APS se déroulera le 8 avril. Mais d'ores et déjà ça "grenouille" pas mal du côté de ceux qui convoitent le fauteuil occupé par Bernard Didelot.
Un fauteuil qu'il ne briguera pas une 2e fois. Pour autant, la place ne devrait pas refroidir longtemps puisque certaines intentions de candidature ont déjà fait leur "coming out".
C'est le cas de Richard Vainopoulos, patron de TourCom, qui n'est pas anglais mais n'a pas hésité à dégainer le premier.
On évoque aussi celle (logique) de Michèle Laget, vice-présidente, "Dauphine" quasi désignée.
D'autres sont plus "rentrées" mais ne demandent qu'à sortir : Raoul Nabet ou Gérard La Rocca, par exemple ?
Le regain d'intérêt pour la fonction s'explique. Tout d'abord l'Association est, incontestablement, une belle réussite.
Ensuite, la rémunération présidentielle (84 000 euros 06/07) n'est pas à négliger.
Enfin, il s'agit d'un poste clé, car le rôle de l'APS est névralgique dans le contexte actuel et son influence devrait aller croissante.
Un fauteuil qu'il ne briguera pas une 2e fois. Pour autant, la place ne devrait pas refroidir longtemps puisque certaines intentions de candidature ont déjà fait leur "coming out".
C'est le cas de Richard Vainopoulos, patron de TourCom, qui n'est pas anglais mais n'a pas hésité à dégainer le premier.
On évoque aussi celle (logique) de Michèle Laget, vice-présidente, "Dauphine" quasi désignée.
D'autres sont plus "rentrées" mais ne demandent qu'à sortir : Raoul Nabet ou Gérard La Rocca, par exemple ?
Le regain d'intérêt pour la fonction s'explique. Tout d'abord l'Association est, incontestablement, une belle réussite.
Ensuite, la rémunération présidentielle (84 000 euros 06/07) n'est pas à négliger.
Enfin, il s'agit d'un poste clé, car le rôle de l'APS est névralgique dans le contexte actuel et son influence devrait aller croissante.