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"Il existe plusieurs façons de pratiquer le journalisme. Une d’elles consiste à écouter aux portes et à récupérer dans les caniveaux des bribes d’informations, à ne surtout pas les recouper et encore moins les valider. Puis à les rabouter tans bien que mal et, pour que ça tienne, à les coiffer d’un titre accrocheur.
Quelques uns ont construit leur fortune sur ces procédés. Ils n’ont pas beaucoup contribué à la respectabilité du métier de journaliste.
Jean Da Luz a pris le parti de s’inscrire dans la lignée de la presse à scandale. C’est un choix.
Il m’oblige, par respect pour les lecteurs de Tourmag, et les adhérents d’AFAT Voyages, à lui répondre, alors que le bons sens devrait me conduire à traiter ses propos par le mépris.
Deux titres tout d’abord illustrent sa conception « déviante » du métier de journaliste :
1° - Mardi : « Afat Voyages : Assemblée Générale sous haute tension ».
Par une accroche pernicieusement agressive, le journaliste espère influer sur le cours des évènements, mettre la pression, peut-être déstabiliser. Il va au-delà de son rôle d’informateur et d’analyste de l’information. Sa déception doit être vive aujourd’hui : l’Assemblée Générale s’est déroulé dans une ambiance particulièrement sereine avec des échanges et un débat largement ouverts, dans la culture d’Afat Voyages.
2° - Mercredi : «Les SAS filiales ont perdu 200 000 euros ».
C’est un peu comme si dans la présentation du bilan d’un groupe on ne parlait que des charges en occultant les produits. Le fait de tronquer une information, de n’en communiquer qu’un aspect justifie le qualificatif de « manipulation »!
Par ailleurs, ce « papier » de mercredi est truffé d’âneries : Les capitaux propres du réseau ne sont pas de 550 000 € mais de 1 970 000 € (une paille !). Le chiffre de 1,2 millions d’euros n’a jamais été évoqué pour évaluer le réseau, mais le seul patrimoine immobilier du réseau est lui estimé à un minimum de 1,5 millions d’euros (pour 344 000 euros d’endettement). Les résultats de la Cofat ne sont pas de 600 000 euros…
Le fait de publier sur la base de rumeurs et sans validation des informations financières s’apparente au mieux à la fainéantise, au pire à l’intention de nuire.
N’en déplaise à Jean Da Luz, non seulement la santé financière du groupe est bonne, mais elle a été confortée par les résultats positifs de 2005.
Quant aux « promesses non tenues d’Assouan », je laisse les membres d’Afat Voyages apprécier la pertinence des propos de Jean Da Luz :
-La simplification juridique du groupe est entérinée avec effet rétroactif au 1° novembre 2005.
-Les recrutements annoncés sont en cours.
-La question des télécoms a été réglée avec le déploiement du RIA2 d’Amadeus et l’offre d’une solution alternative pour les agences faiblement emétrices ou non équipées d’Amadeus.
-Le choix de l’opérateur du « portail loisir » et du dynamic packaging est fait
-le déploiement des sites agences est en cours (prix forfaitaire de 250 €) et le choix du moteur de vente en ligne Expedia a été annoncé en janvier.
-L’installation de la première tranche d’écrans vitrines est sur le point d’être achevée.
-Les plans de déploiement d’Afat Gestion et du SBT sont mis en œuvre.
Je suis conscient que le parfum du scandale capte temporairement le lecteur, mais la désinformation discrédite durablement l’auteur.
Jean-Pierre Mas"
Quelques uns ont construit leur fortune sur ces procédés. Ils n’ont pas beaucoup contribué à la respectabilité du métier de journaliste.
Jean Da Luz a pris le parti de s’inscrire dans la lignée de la presse à scandale. C’est un choix.
Il m’oblige, par respect pour les lecteurs de Tourmag, et les adhérents d’AFAT Voyages, à lui répondre, alors que le bons sens devrait me conduire à traiter ses propos par le mépris.
Deux titres tout d’abord illustrent sa conception « déviante » du métier de journaliste :
1° - Mardi : « Afat Voyages : Assemblée Générale sous haute tension ».
Par une accroche pernicieusement agressive, le journaliste espère influer sur le cours des évènements, mettre la pression, peut-être déstabiliser. Il va au-delà de son rôle d’informateur et d’analyste de l’information. Sa déception doit être vive aujourd’hui : l’Assemblée Générale s’est déroulé dans une ambiance particulièrement sereine avec des échanges et un débat largement ouverts, dans la culture d’Afat Voyages.
2° - Mercredi : «Les SAS filiales ont perdu 200 000 euros ».
C’est un peu comme si dans la présentation du bilan d’un groupe on ne parlait que des charges en occultant les produits. Le fait de tronquer une information, de n’en communiquer qu’un aspect justifie le qualificatif de « manipulation »!
Par ailleurs, ce « papier » de mercredi est truffé d’âneries : Les capitaux propres du réseau ne sont pas de 550 000 € mais de 1 970 000 € (une paille !). Le chiffre de 1,2 millions d’euros n’a jamais été évoqué pour évaluer le réseau, mais le seul patrimoine immobilier du réseau est lui estimé à un minimum de 1,5 millions d’euros (pour 344 000 euros d’endettement). Les résultats de la Cofat ne sont pas de 600 000 euros…
Le fait de publier sur la base de rumeurs et sans validation des informations financières s’apparente au mieux à la fainéantise, au pire à l’intention de nuire.
N’en déplaise à Jean Da Luz, non seulement la santé financière du groupe est bonne, mais elle a été confortée par les résultats positifs de 2005.
Quant aux « promesses non tenues d’Assouan », je laisse les membres d’Afat Voyages apprécier la pertinence des propos de Jean Da Luz :
-La simplification juridique du groupe est entérinée avec effet rétroactif au 1° novembre 2005.
-Les recrutements annoncés sont en cours.
-La question des télécoms a été réglée avec le déploiement du RIA2 d’Amadeus et l’offre d’une solution alternative pour les agences faiblement emétrices ou non équipées d’Amadeus.
-Le choix de l’opérateur du « portail loisir » et du dynamic packaging est fait
-le déploiement des sites agences est en cours (prix forfaitaire de 250 €) et le choix du moteur de vente en ligne Expedia a été annoncé en janvier.
-L’installation de la première tranche d’écrans vitrines est sur le point d’être achevée.
-Les plans de déploiement d’Afat Gestion et du SBT sont mis en œuvre.
Je suis conscient que le parfum du scandale capte temporairement le lecteur, mais la désinformation discrédite durablement l’auteur.
Jean-Pierre Mas"