Une décision qualifiée de "logique" selon Marie Joseph Malé, le PDG d'Air Austral
En mars 2018, suite à la perte de ses droits de vols, Corsair abandonnait alors sa rotation entre Paris-Orly et la capitale malgache via La Réunion.
Une décision des autorités locales qui favorisaient alors grandement la compagnie régionale Air Austral.
Se retrouvant en position favorable, Air Austral attirait alors le regarde de l’Autorité de La Concurrence Française.
L'instance a ouvert début 2018 une enquête en lien avec le dossier de non-reconduction par les autorités malgaches, des droits de trafic temporaires de la compagnie Corsair entre la Réunion et Tananarive.
Une décision des autorités locales qui favorisaient alors grandement la compagnie régionale Air Austral.
Se retrouvant en position favorable, Air Austral attirait alors le regarde de l’Autorité de La Concurrence Française.
L'instance a ouvert début 2018 une enquête en lien avec le dossier de non-reconduction par les autorités malgaches, des droits de trafic temporaires de la compagnie Corsair entre la Réunion et Tananarive.
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Depuis des perquisitions ont eu lieu et l'enquête s'est poursuivi, sans déboucher sur de quelconques indices démontrant une ingérence de la compagnie dans l'obtention des droits de trafic, alors qu'Air Austral était devenue quelques mois plus tôt "partenaire stratégique" d'Air Madagascar.
Le verdict de l'enquête a été rendu courant juillet 2020. L'affaire a été classée par l’Autorité de La Concurrence Française.
"Cette décision est logique et la direction d’Air Austral confirme, si besoin était, la conformité d’un projet de coopération internationale qui a toujours conduit avec rigueur et dans un souci constant de préservation des intérêts de chacune des parties," explique Marie Joseph MALE, le PDG de la compagnie.
"Air Austral a bien évidement la volonté permanente de protéger ses intérêts économiques, mais cela dans le strict respect des règles de l’éthique appliquées aux affaires. Ces principes font partie de mes priorités mais aussi de nos valeurs communes."
Le verdict de l'enquête a été rendu courant juillet 2020. L'affaire a été classée par l’Autorité de La Concurrence Française.
"Cette décision est logique et la direction d’Air Austral confirme, si besoin était, la conformité d’un projet de coopération internationale qui a toujours conduit avec rigueur et dans un souci constant de préservation des intérêts de chacune des parties," explique Marie Joseph MALE, le PDG de la compagnie.
"Air Austral a bien évidement la volonté permanente de protéger ses intérêts économiques, mais cela dans le strict respect des règles de l’éthique appliquées aux affaires. Ces principes font partie de mes priorités mais aussi de nos valeurs communes."