Il y a 25 ans s'effondrait le mur de Berlin, marquant la réunification d'une ville divisée par la Guerre Froide.
Depuis lors, le pays a bien changé et l'Allemagne est devenue l'une des premières destinations touristiques européennes.
En 2013, pour la quatrième année consécutive, elle a battu son propre record, enregistrant 70 millions de nuitées.
La France, le 7ème marché émetteur, contribue à ces excellents chiffres à hauteur de 3,1 millions de nuitées en 2013 (+2,5%).
Une croissance qui se poursuit sur les sept premiers mois de l’année, avec une hausse de 3,1%.
Si Berlin, Munich et Francfort restent les destinations favorites des voyageurs, l'office du tourisme tente depuis quelques années de promouvoir le reste du pays.
Après avoir mis l'accent sur les villes régionales, il souhaite désormais capitaliser sur les coutumes et les traditions.
Certaines sont déjà bien connues, comme la fête de la bière à Munich, ou le carnaval de Cologne. Mais bien d'autres restent encore à découvrir.
"C'est un pays décentralisé qui présente de multiples centres d'intérêts" explique Céline Güntner, chef de produit de Travel Partner, basé en Autriche.
Le DMC vient de lancer une production sur l'Allemagne en avril dernier pour répondre aux nombreuses demandes, notamment des groupes.
Certains réceptifs veulent également développer des produits sur les villes industrielles, dont le patrimoine culturel est en pleine mutation.
Stbreisen souhaite ainsi faire découvrir l'héritage de la Ruhr, mais doit souvent attendre un second voyage avant de le proposer aux clients.
"Pour le premier séjour, ils veulent connaître les grands classiques comme la Forêt Noire, la Bavière ou le Rhin romantique. Mais lorsqu'ils reviennent nous pouvons leur proposer autre chose" précise Caroline Rischmüller, la chef de produits.
Depuis lors, le pays a bien changé et l'Allemagne est devenue l'une des premières destinations touristiques européennes.
En 2013, pour la quatrième année consécutive, elle a battu son propre record, enregistrant 70 millions de nuitées.
La France, le 7ème marché émetteur, contribue à ces excellents chiffres à hauteur de 3,1 millions de nuitées en 2013 (+2,5%).
Une croissance qui se poursuit sur les sept premiers mois de l’année, avec une hausse de 3,1%.
Si Berlin, Munich et Francfort restent les destinations favorites des voyageurs, l'office du tourisme tente depuis quelques années de promouvoir le reste du pays.
Après avoir mis l'accent sur les villes régionales, il souhaite désormais capitaliser sur les coutumes et les traditions.
Certaines sont déjà bien connues, comme la fête de la bière à Munich, ou le carnaval de Cologne. Mais bien d'autres restent encore à découvrir.
"C'est un pays décentralisé qui présente de multiples centres d'intérêts" explique Céline Güntner, chef de produit de Travel Partner, basé en Autriche.
Le DMC vient de lancer une production sur l'Allemagne en avril dernier pour répondre aux nombreuses demandes, notamment des groupes.
Certains réceptifs veulent également développer des produits sur les villes industrielles, dont le patrimoine culturel est en pleine mutation.
Stbreisen souhaite ainsi faire découvrir l'héritage de la Ruhr, mais doit souvent attendre un second voyage avant de le proposer aux clients.
"Pour le premier séjour, ils veulent connaître les grands classiques comme la Forêt Noire, la Bavière ou le Rhin romantique. Mais lorsqu'ils reviennent nous pouvons leur proposer autre chose" précise Caroline Rischmüller, la chef de produits.
Développer le tourisme dans les régions industrielles
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La Ruhr, cœur industriel du pays, est justement une région facilement accessible grâce aux trains de Thalys.
"Elle est encore peu connue des Français mais regorge de musées et de sites culturels en pleine reconversion" explique Camille Portejoie, la responsable des ventes France.
Depuis cette année, la ligne Paris-Düsseldorf propose 3 allers-retours par jour pour 3h40 de trajet.
Thalys parie également sur Cologne, où Air France vient de stopper sa liaison directe, avec 5 trains quotidiens (3h14 de trajet).
Au global, les réservations sont en croissance de 1,6% entre Paris et l'Allemagne sur le premier semestre de l'année.
Les trains de la Deutsch Bahn gagnent eux aussi des parts de marché, notamment sur la voiture, utilisée par seulement la moitié des visiteurs.
Ses ventes en France s'avèrent excellentes avec 10 millions d'euros supplémentaires engrangés sur 2013, soit un chiffre d'affaires en croissance de 15%.
Si la ligne Paris-Berlin va fermer, faute de rentabilité, la compagnie souhaite en revanche développer sa desserte de Stuttgart qui, grâce à l'arrivée du TGV Est d'ici 2016, ne sera plus qu'à 3 heures de Paris, contre 3h40 aujourd'hui.
"Nous avons déjà 60% de parts de marché sur ce tronçon et espérons en gagner davantage" explique Daniel Beutler, le directeur Europe.
Les agences de voyages sont d'ailleurs plus nombreuses à vendre ses produits grâce au DB Rail Client, une interface plus facile à utiliser qu'un GDS, mise en place l'an passé. Il suffit de s'enregistrer directement en ligne pour avoir accès aux stocks.
Quant à l'avion, les Français continuent bien entendu de l'utiliser à 21%. Air Berlin était présent au workshop pour tenter de mieux faire connaître son positionnement
"Bien peu de gens savent que nous offrons deux vols par jour ainsi qu'une collation à bord. Nous ne sommes pas une low-cost" s'exclame Rémi de Fumichon, le responsable du marché France.
Désormais dans le giron d'Ethiad, la compagnie vient de signer un partenariat avec Alitalia, qui viendra peut-être compenser la réduction de 5% de ses capacités.
"Elle est encore peu connue des Français mais regorge de musées et de sites culturels en pleine reconversion" explique Camille Portejoie, la responsable des ventes France.
Depuis cette année, la ligne Paris-Düsseldorf propose 3 allers-retours par jour pour 3h40 de trajet.
Thalys parie également sur Cologne, où Air France vient de stopper sa liaison directe, avec 5 trains quotidiens (3h14 de trajet).
Au global, les réservations sont en croissance de 1,6% entre Paris et l'Allemagne sur le premier semestre de l'année.
Les trains de la Deutsch Bahn gagnent eux aussi des parts de marché, notamment sur la voiture, utilisée par seulement la moitié des visiteurs.
Ses ventes en France s'avèrent excellentes avec 10 millions d'euros supplémentaires engrangés sur 2013, soit un chiffre d'affaires en croissance de 15%.
Si la ligne Paris-Berlin va fermer, faute de rentabilité, la compagnie souhaite en revanche développer sa desserte de Stuttgart qui, grâce à l'arrivée du TGV Est d'ici 2016, ne sera plus qu'à 3 heures de Paris, contre 3h40 aujourd'hui.
"Nous avons déjà 60% de parts de marché sur ce tronçon et espérons en gagner davantage" explique Daniel Beutler, le directeur Europe.
Les agences de voyages sont d'ailleurs plus nombreuses à vendre ses produits grâce au DB Rail Client, une interface plus facile à utiliser qu'un GDS, mise en place l'an passé. Il suffit de s'enregistrer directement en ligne pour avoir accès aux stocks.
Quant à l'avion, les Français continuent bien entendu de l'utiliser à 21%. Air Berlin était présent au workshop pour tenter de mieux faire connaître son positionnement
"Bien peu de gens savent que nous offrons deux vols par jour ainsi qu'une collation à bord. Nous ne sommes pas une low-cost" s'exclame Rémi de Fumichon, le responsable du marché France.
Désormais dans le giron d'Ethiad, la compagnie vient de signer un partenariat avec Alitalia, qui viendra peut-être compenser la réduction de 5% de ses capacités.