
La belle entente cordiale affichée à Biarritz s'effrite face aux évènements...
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Le Président de SNAV, sollicite également Hervé Novelli, afin que ce dernier se fasse l’interprète de notre profession auprès du Secrétaire d’Etat à l’Outre-Mer, Yves Jégo.
Les répercussions du blocage de l’ensemble des infrastructures de ces départements ont des conséquences très lourdes pour les adhérents du SNAV, tant ultramarins que métropolitains, souligne Georges Colson.
Il rappelle également les estimations, à ce jour, des manques à gagner des agences de voyages et tour-opérateurs, à savoir au moins 10 000 clients et 10 millions d’euros causés par les annulations et les reports vers d’autres destinations.
Le Président évoque la problématique du règlement IATA que rencontrent les professionnels : « Enfin, concernant nos collègues Antillais, outre l’arrêt total de leur activité, le blocage du système bancaire rend extrêmement problématique leur capacité à honorer l’échéance mensuelle de règlement des billets d’avion le 17 courant.
Nous nous sommes d’ailleurs ouverts de ce problème auprès de l’association des compagnies aériennes (IATA) afin d’obtenir des reports d’échéance. »
Pour conclure, « Seule une issue rapide sera de nature à permettre la reprise de la commercialisation des Antilles Françaises,… et le sauvetage d’une saison touristique déjà fort compromise. ».
Les répercussions du blocage de l’ensemble des infrastructures de ces départements ont des conséquences très lourdes pour les adhérents du SNAV, tant ultramarins que métropolitains, souligne Georges Colson.
Il rappelle également les estimations, à ce jour, des manques à gagner des agences de voyages et tour-opérateurs, à savoir au moins 10 000 clients et 10 millions d’euros causés par les annulations et les reports vers d’autres destinations.
Le Président évoque la problématique du règlement IATA que rencontrent les professionnels : « Enfin, concernant nos collègues Antillais, outre l’arrêt total de leur activité, le blocage du système bancaire rend extrêmement problématique leur capacité à honorer l’échéance mensuelle de règlement des billets d’avion le 17 courant.
Nous nous sommes d’ailleurs ouverts de ce problème auprès de l’association des compagnies aériennes (IATA) afin d’obtenir des reports d’échéance. »
Pour conclure, « Seule une issue rapide sera de nature à permettre la reprise de la commercialisation des Antilles Françaises,… et le sauvetage d’une saison touristique déjà fort compromise. ».