En 2013-2014, MSC Croisières opérera dans les Antilles à bord du Musica - Photo MSC Croisières
TourMaG.com – Quel bilan tirez-vous de vos activités dans les Antilles pour l'exercice 2012-2013 ?
Erminio Eschena : "Il s'agit de notre première saison pleine à Fort-de-France et à Pointe-à-Pitre. Nous y avions basé le MSC Lirica.
Cela s'est soldé par un exploit commercial et opérationnel. Je dirais que nous avons connu un parcours sans faute pour notre première année dans les Antilles françaises.
Nous avons enregistré un vrai engouement de la part de la clientèle. Tout d'abord avec les Antillais à qui nous avions permis de réserver avant les passagers hexagonaux. C'était une mesure que j'ai souhaité leur dédier pour notre première saison.
Et puis, le succès s'est confirmé avec l'ouverture des réservations en Métropole. En fin de compte, cette première saison nous a conduit à confirmer une deuxième."
TourMaG.com – Au total, combien de croisièristes ont embarqué sur le Lirica à Fort-de-France ou Pointe-à-Pitre ?
E.E. : "L'année dernière nous y avons embarqué environ 15 000 passagers.
Et pour 2013-2014, sur les réservations, nous avons déjà dépassé ces performances, à date. Le succès se confirme."
TourMaG.com – Justement, quelles seront les nouveautés pour MSC dans les Antilles en 2013-2014 ?
E.E. : "Face à ce succès, nous avons donc décidé de reconduire notre présence dans la région pour l'année prochaine.
Nous y opérerons à bord du MSC Musica, un navire de classe supérieure, plus grand et pouvant accueillir davantage de passagers. De plus, nous y resterons plus longtemps : de novembre 2013 jusqu'à mi-mars 2014.
Non seulement, nous avons une cadence plus importante en termes de rotations mais également en termes de capacité. Ce qui nous permettra de subvenir à la fois aux exigences de la clientèle hexagonale et de la clientèle antillaise."
Erminio Eschena : "Il s'agit de notre première saison pleine à Fort-de-France et à Pointe-à-Pitre. Nous y avions basé le MSC Lirica.
Cela s'est soldé par un exploit commercial et opérationnel. Je dirais que nous avons connu un parcours sans faute pour notre première année dans les Antilles françaises.
Nous avons enregistré un vrai engouement de la part de la clientèle. Tout d'abord avec les Antillais à qui nous avions permis de réserver avant les passagers hexagonaux. C'était une mesure que j'ai souhaité leur dédier pour notre première saison.
Et puis, le succès s'est confirmé avec l'ouverture des réservations en Métropole. En fin de compte, cette première saison nous a conduit à confirmer une deuxième."
TourMaG.com – Au total, combien de croisièristes ont embarqué sur le Lirica à Fort-de-France ou Pointe-à-Pitre ?
E.E. : "L'année dernière nous y avons embarqué environ 15 000 passagers.
Et pour 2013-2014, sur les réservations, nous avons déjà dépassé ces performances, à date. Le succès se confirme."
TourMaG.com – Justement, quelles seront les nouveautés pour MSC dans les Antilles en 2013-2014 ?
E.E. : "Face à ce succès, nous avons donc décidé de reconduire notre présence dans la région pour l'année prochaine.
Nous y opérerons à bord du MSC Musica, un navire de classe supérieure, plus grand et pouvant accueillir davantage de passagers. De plus, nous y resterons plus longtemps : de novembre 2013 jusqu'à mi-mars 2014.
Non seulement, nous avons une cadence plus importante en termes de rotations mais également en termes de capacité. Ce qui nous permettra de subvenir à la fois aux exigences de la clientèle hexagonale et de la clientèle antillaise."
Dépaysement sans effort
Erminio Eschena est le Directeur général de MSC Croisières pour la France et le Benelux - Photo DR
TourMaG.com – Selon vous, quels sont les atouts des destinations françaises dans les Caraïbes ?
E.E. : "Ce sont des escales d'une grande beauté. De plus, elles offrent l'avantage de s'y rendre avec plusieurs vols directs puisque désormais quatre compagnies desservent Fort-de-France depuis la France métropolitaine.
Par ailleurs, la Martinique et la Guadeloupe offrent des avantages administratifs : en y allant vous pouvez voyager outre-Atlantique sans autre document qu'un passeport ou une carte d'identité française.
MSC a la volonté de s'affirmer encore plus en France. Et Fort-de-France comme Pointe-à-Pitre sont des ports d'embarquement français où nous nous devons d'être présents. Je viens d'ailleurs d'y confirmer notre présence pour l'Hiver 2014-2015."
TourMaG.com – Est-ce que vos activités dans les Antilles vous permettent de toucher des profils de clients auxquels vous n'avez pas accès sur d'autres destinations ?
E.E. : "Oui, c'est un moyen de proposer une offre à nos clients qui cherchent une alternative à la Méditerranée en hiver pour recherche le soleil. Cela leur permet de se dépayser totalement sans trop d'efforts."
TourMaG.com – MSC Croisières a mené une campagne de recrutement en Martinique. En quoi est-il important, pour vous, d'employer des personnels locaux ?
E.E. : "C'est important, mais c'est surtout inédit. Au niveau de MSC et aussi, et surtout, pour une compagnie de croisière où la représentation commerciale, au sens large du terme, et les équipages ont réuni leurs efforts pour recruter du personnel sur place.
C'est quelque chose à laquelle je tenais beaucoup parce que nos réservations montrent bien qu'il y aura une importante présence francophone à bord de notre bateau.
Par ailleurs, cela témoigne de l'engagement pérenne voulu par MSC Croisières dans les Antilles françaises.
Nous avons embauché une centaine de personnes, tous métiers confondus. Certains viendront faire leurs armes en Méditerranée et en Europe dès le mois de juillet 2013. Ils pourront ainsi embarquer à bord du Lirica pour l'hiver 2013-2014."
TourMaG.com – Êtes-vous toujours satisfait de votre partenariat avec Selectour Afat, notamment via le Top 14 + ?
E.E. : "Absolument et au-delà des formules plus ou moins chiffrées. Pour moi, la commission n'a pas d'importance du moment que la relation commerciale est solide et que les deux entreprises trouvent suffisamment de leviers de développement communs."
E.E. : "Ce sont des escales d'une grande beauté. De plus, elles offrent l'avantage de s'y rendre avec plusieurs vols directs puisque désormais quatre compagnies desservent Fort-de-France depuis la France métropolitaine.
Par ailleurs, la Martinique et la Guadeloupe offrent des avantages administratifs : en y allant vous pouvez voyager outre-Atlantique sans autre document qu'un passeport ou une carte d'identité française.
MSC a la volonté de s'affirmer encore plus en France. Et Fort-de-France comme Pointe-à-Pitre sont des ports d'embarquement français où nous nous devons d'être présents. Je viens d'ailleurs d'y confirmer notre présence pour l'Hiver 2014-2015."
TourMaG.com – Est-ce que vos activités dans les Antilles vous permettent de toucher des profils de clients auxquels vous n'avez pas accès sur d'autres destinations ?
E.E. : "Oui, c'est un moyen de proposer une offre à nos clients qui cherchent une alternative à la Méditerranée en hiver pour recherche le soleil. Cela leur permet de se dépayser totalement sans trop d'efforts."
TourMaG.com – MSC Croisières a mené une campagne de recrutement en Martinique. En quoi est-il important, pour vous, d'employer des personnels locaux ?
E.E. : "C'est important, mais c'est surtout inédit. Au niveau de MSC et aussi, et surtout, pour une compagnie de croisière où la représentation commerciale, au sens large du terme, et les équipages ont réuni leurs efforts pour recruter du personnel sur place.
C'est quelque chose à laquelle je tenais beaucoup parce que nos réservations montrent bien qu'il y aura une importante présence francophone à bord de notre bateau.
Par ailleurs, cela témoigne de l'engagement pérenne voulu par MSC Croisières dans les Antilles françaises.
Nous avons embauché une centaine de personnes, tous métiers confondus. Certains viendront faire leurs armes en Méditerranée et en Europe dès le mois de juillet 2013. Ils pourront ainsi embarquer à bord du Lirica pour l'hiver 2013-2014."
TourMaG.com – Êtes-vous toujours satisfait de votre partenariat avec Selectour Afat, notamment via le Top 14 + ?
E.E. : "Absolument et au-delà des formules plus ou moins chiffrées. Pour moi, la commission n'a pas d'importance du moment que la relation commerciale est solide et que les deux entreprises trouvent suffisamment de leviers de développement communs."
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