Rappel des faits : Les Connaisseurs du voyage se fait redresser d’un total de 40 000 euros d’ADM sur une centaine de dossiers de billets tour du monde émis entre avril et octobre 2006. La faute, d’après British Airways, c’est que l’agence a émis en France des billets dont les tarifs étaient uniquement valables au départ de Grande-Bretagne.
« Il y a une réglementation particulière pour les billets tours du monde sur le pays d’émission du billet. Allez voir sur Amadeus, c’est la même réglementation pour Air France », explique Patrick Malval, directeur de BA pour la France.
« Cette agence qui est spécialisée sur les tours du monde connaît forcément les règles tarifaires. Elle a passé outre, elle se fait redresser, point final ».
« Il y a une réglementation particulière pour les billets tours du monde sur le pays d’émission du billet. Allez voir sur Amadeus, c’est la même réglementation pour Air France », explique Patrick Malval, directeur de BA pour la France.
« Cette agence qui est spécialisée sur les tours du monde connaît forcément les règles tarifaires. Elle a passé outre, elle se fait redresser, point final ».
BA sûre de son bon droit
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Il faut savoir que l’intégralité de la billetterie de British Airways est auditée. Soit 40 millions de billets par an. Cela coûte cher mais les agences ne peuvent pas tricher avec nous. Ce qui n’est pas le cas de toutes les compagnies.
Certaines d’entre elles n’auditent qu’une partie de leurs billetteries. Les erreurs, volontaires ou non, peuvent dans ce cas-là passer à travers les mailles du filet. »
Pour Michel Deparis, le patron des Connaisseurs du voyage, il ne s’agit pas de tricher mais de respecter les règles européennes du marché unique.
« Ce n’est pas parce que c’est dans Amadeus que c’est légal ! », s'emporte-t-il en ajoutant qu'iIl entend donc porter l’affaire dans un premier temps devant le tribunal de commerce et plus loin si nécessaire, devant les hautes instances européennes.
En attendant, il continue de vendre les tours du monde oneworld... en évitant BA !
Certaines d’entre elles n’auditent qu’une partie de leurs billetteries. Les erreurs, volontaires ou non, peuvent dans ce cas-là passer à travers les mailles du filet. »
Pour Michel Deparis, le patron des Connaisseurs du voyage, il ne s’agit pas de tricher mais de respecter les règles européennes du marché unique.
« Ce n’est pas parce que c’est dans Amadeus que c’est légal ! », s'emporte-t-il en ajoutant qu'iIl entend donc porter l’affaire dans un premier temps devant le tribunal de commerce et plus loin si nécessaire, devant les hautes instances européennes.
En attendant, il continue de vendre les tours du monde oneworld... en évitant BA !