La BPI poursuit son travail d’accompagnement des entreprises du tourisme.
Elle vient d’investir 600 000 euros dans le capital de Bustronome, une start-up parisienne lancée en 2014, qui propose des repas à bord d’un bus panoramique, qui sillonne les grandes rues de la capitale.
L’investissement de la BPI va lui permettre d’étoffer sa flotte et de conquérir de nouveaux marchés.
L’entreprise vise tout d’abord Londres au second semestre 2017, puis New York aux Etats-Unis. Elle est en pourparlers pour vendre sa franchise à des investisseurs japonais, et possède plusieurs pistes en Europe ainsi qu’en Afrique du Sud.
En seulement deux ans d’existence, Bustronome a séduit près de 20 000 clients pour un chiffre d’affaires de 1.4 millions d’euros en 2016, contre 850 000 euros en 2015.
Elle emploie aujourd’hui 13 salariés.
Elle vient d’investir 600 000 euros dans le capital de Bustronome, une start-up parisienne lancée en 2014, qui propose des repas à bord d’un bus panoramique, qui sillonne les grandes rues de la capitale.
L’investissement de la BPI va lui permettre d’étoffer sa flotte et de conquérir de nouveaux marchés.
L’entreprise vise tout d’abord Londres au second semestre 2017, puis New York aux Etats-Unis. Elle est en pourparlers pour vendre sa franchise à des investisseurs japonais, et possède plusieurs pistes en Europe ainsi qu’en Afrique du Sud.
En seulement deux ans d’existence, Bustronome a séduit près de 20 000 clients pour un chiffre d’affaires de 1.4 millions d’euros en 2016, contre 850 000 euros en 2015.
Elle emploie aujourd’hui 13 salariés.
La BPI attend 50 millions d'euros supplémentaires
Au printemps 2017, Bustronome exploitera deux bus supplémentaires, soit un total de 4 véhicules, qu’il va falloir aménager, pour un budget de 500 000 euros par bus.
La moitié de ses ventes se fait via les professionnels du tourisme.
Avant les attentats du 13 novembre, sa clientèle se répartissait équitablement entre Français et étrangers. Mais depuis, nos compatriotes sont majoritaires. Cette chute de la fréquentation ne freine pas ses ambitions : l’entreprise espère, à terme, opérer 5 bus à Paris.
BPI France avait déjà aidé Bustronome à se lancer en contre garantissant son prêt d’amorçage à la Banque Populaire. « Nous n’agissons jamais seul. Nous avons souvent un effet de levier avec d’autres investisseurs », explique Serge Mesguich, le directeur chez Bpifrance Investissement.
Avec une quinzaine d’opérations, la BPI a déjà dépensé 80% des 50 millions d’euros dont disposait son fonds dédié au tourisme. Elle espère être rapidement réapprovisionnée de 50 millions supplémentaires.
Elle soutient à la fois les start-up mais également les entreprises plus classiques, pour un ticket d’intervention de 500 000 à 5 millions d’euros.
« Malgré le contexte, le tourisme continue de se développer en France, nous avons de nombreuses entreprises qui viennent nous voir. Cela donne envie d’aller de l’avant», se réjouit Serge Mesguich.
Un discours positif et rafraîchissant aux antipodes de la sinistrose actuelle.
La moitié de ses ventes se fait via les professionnels du tourisme.
Avant les attentats du 13 novembre, sa clientèle se répartissait équitablement entre Français et étrangers. Mais depuis, nos compatriotes sont majoritaires. Cette chute de la fréquentation ne freine pas ses ambitions : l’entreprise espère, à terme, opérer 5 bus à Paris.
BPI France avait déjà aidé Bustronome à se lancer en contre garantissant son prêt d’amorçage à la Banque Populaire. « Nous n’agissons jamais seul. Nous avons souvent un effet de levier avec d’autres investisseurs », explique Serge Mesguich, le directeur chez Bpifrance Investissement.
Avec une quinzaine d’opérations, la BPI a déjà dépensé 80% des 50 millions d’euros dont disposait son fonds dédié au tourisme. Elle espère être rapidement réapprovisionnée de 50 millions supplémentaires.
Elle soutient à la fois les start-up mais également les entreprises plus classiques, pour un ticket d’intervention de 500 000 à 5 millions d’euros.
« Malgré le contexte, le tourisme continue de se développer en France, nous avons de nombreuses entreprises qui viennent nous voir. Cela donne envie d’aller de l’avant», se réjouit Serge Mesguich.
Un discours positif et rafraîchissant aux antipodes de la sinistrose actuelle.