Malgré la crise et la guerre des prix, Beachcomber a maintenu ses tarifs sans faire une seule offre promotionnelle supplémentaire.
Dans un marché très concurrentiel, le groupe hôtelier Beachcomber a réussi cette année encore à tirer son épingle du jeu.
Avec un chiffre d'affaires de 34 millions d'euros en hausse de 5%, le taux de remplissage de ses établissements d'octobre à septembre s'établit à 66%.
Malgré la crise et la guerre des prix, Beachcomber a maintenu ses tarifs sans faire une seule offre promotionnelle supplémentaire.
« Notre politique tarifaire reste constante, pour éviter la confusion et la dévaluation des prestations » explique Rémi Sabarros, le directeur. Il estime en effet que sa marque est devenue une référence, une valeur refuge en ces temps mouvementés.
Sur le marché français, le nombre de nuitées est de 114 000 pour 30 000 clients, en légère baisse de 1%. Mais le panier moyen est en hausse de 6%. Une différence due à l'augmentation de la capacité avec la réouverture du Trou Aux Biches, mais aussi par une meilleure vente des catégories de chambres supérieures.
L'hôtelier parie en effet plus que jamais sur son positionnement luxe. Ce qui semble lui réussir. Les réservations sur les groupes sont en progression de 5% sur les six prochains mois, 3% pour les Français.
Avec un chiffre d'affaires de 34 millions d'euros en hausse de 5%, le taux de remplissage de ses établissements d'octobre à septembre s'établit à 66%.
Malgré la crise et la guerre des prix, Beachcomber a maintenu ses tarifs sans faire une seule offre promotionnelle supplémentaire.
« Notre politique tarifaire reste constante, pour éviter la confusion et la dévaluation des prestations » explique Rémi Sabarros, le directeur. Il estime en effet que sa marque est devenue une référence, une valeur refuge en ces temps mouvementés.
Sur le marché français, le nombre de nuitées est de 114 000 pour 30 000 clients, en légère baisse de 1%. Mais le panier moyen est en hausse de 6%. Une différence due à l'augmentation de la capacité avec la réouverture du Trou Aux Biches, mais aussi par une meilleure vente des catégories de chambres supérieures.
L'hôtelier parie en effet plus que jamais sur son positionnement luxe. Ce qui semble lui réussir. Les réservations sur les groupes sont en progression de 5% sur les six prochains mois, 3% pour les Français.
Besoin du soutien des transporteurs
Afin de poursuivre sa croissance, notamment à Maurice, il aura besoin du soutien des transporteurs. « Il faut revoir la politique d'accès aérien » plaide Rémi Sabarros. Par exemple, en mai dernier, tous les vols Paris-île Maurice étaient complets, alors que certains hôtels restaient désespérément vides.
Autre actualité, le passage en tout compris pour le Sainte-Anne des Seychelles. Déjà testé en basse saison, ce tout inclus de luxe plait beaucoup aux clients. Les restaurants gastronomiques, le champagne au verre à partir de 17 heures et le mini-bar sont inclus.
Une formule d'autant plus appréciable que l'hôtel est le seul sur l'île. « Résultat, le temps de séjour augmente, passant de 6 à 7 nuits au lieu de 3 » confirme Gaëlle Perrin, la responsable de la communication.
Autre projet, la reprise de la construction du domaine Royal Palm Marrakech au Maroc qui devrait ouvrir à l'automne 2013 « Nous exportons le concept du Royal Palm hors de l'Océan Indien » précise Rémi Sabarros, le directeur.
Des villas à vendre, un golf, et un hôtel, voici un nouveau défi à relever pour le groupe hôtelier.
Autre actualité, le passage en tout compris pour le Sainte-Anne des Seychelles. Déjà testé en basse saison, ce tout inclus de luxe plait beaucoup aux clients. Les restaurants gastronomiques, le champagne au verre à partir de 17 heures et le mini-bar sont inclus.
Une formule d'autant plus appréciable que l'hôtel est le seul sur l'île. « Résultat, le temps de séjour augmente, passant de 6 à 7 nuits au lieu de 3 » confirme Gaëlle Perrin, la responsable de la communication.
Autre projet, la reprise de la construction du domaine Royal Palm Marrakech au Maroc qui devrait ouvrir à l'automne 2013 « Nous exportons le concept du Royal Palm hors de l'Océan Indien » précise Rémi Sabarros, le directeur.
Des villas à vendre, un golf, et un hôtel, voici un nouveau défi à relever pour le groupe hôtelier.