La start-up Supermood administre des micro-sondages réguliers et anonymes pour connaître l'avis et l'état d'esprit des collaborateurs. - DR
Lancée en 2015 par Kevin Bourgeois et Robin Nicollet, Supermood permet de récolter les avis des collaborateurs et de déterminer leurs réels besoins, afin de mettre en place des actions cohérentes et mesurées.
Pour ce faire, la start-up envoie des micro-sondages réguliers et anonymes aux salariés d’une entreprise avec un objectif : détecter les points faibles et les points forts de la société en temps réel.
Grâce à une expertise en psychologie du travail et à des algorithmes intelligents, la plateforme est en mesure d’identifier les besoins des collaborateurs et de les transmettre aux dirigeants pour résoudre rapidement des problèmes soulevés et de mettre en place des actions destinées à améliorer leur engagement et leur bien-être au sein de l’entreprise.
Des entreprises comme SNCF ont déjà accordé leur confiance à cette jeune pousse !
Dans la même lignée, plusieurs start-up, telles que Glint, Bloom at work et OurCompany proposent de prendre le pouls de vos équipes en temps réel, avec des sondages courts et réguliers et apportent des suggestions d’amélioration.
Pour ce faire, la start-up envoie des micro-sondages réguliers et anonymes aux salariés d’une entreprise avec un objectif : détecter les points faibles et les points forts de la société en temps réel.
Grâce à une expertise en psychologie du travail et à des algorithmes intelligents, la plateforme est en mesure d’identifier les besoins des collaborateurs et de les transmettre aux dirigeants pour résoudre rapidement des problèmes soulevés et de mettre en place des actions destinées à améliorer leur engagement et leur bien-être au sein de l’entreprise.
Des entreprises comme SNCF ont déjà accordé leur confiance à cette jeune pousse !
Dans la même lignée, plusieurs start-up, telles que Glint, Bloom at work et OurCompany proposent de prendre le pouls de vos équipes en temps réel, avec des sondages courts et réguliers et apportent des suggestions d’amélioration.
La reconnaissance au travail avec les « KIFF » de COCOWORKER
Créée par Faustine Duriez en 2016, Cocoworker engage durablement les salariés en créant une culture de la reconnaissance au travail, grâce à son application KIFF.
Concrètement, KIFF offre à chaque collaborateur, quelle que soit sa fonction dans l’entreprise, la possibilité d’attribuer un "kiff" à ses collègues pour reconnaître et valoriser leurs compétences transversales, leurs comportements positifs et leur engagement.
Tous les collaborateurs ont accès à la plateforme, avec un nombre limité de "kiffs" à distribuer par mois.
La solution encourage la collaboration à tous les niveaux et participe entre autres, à créer de nouveaux modèles de réussite accessibles et inspirants pour tous.
L’application enregistre de bons résultats avec un taux d’engagement moyen de 60%. Parmi ses clients, Cocoworker compte l’assureur April.
Concrètement, KIFF offre à chaque collaborateur, quelle que soit sa fonction dans l’entreprise, la possibilité d’attribuer un "kiff" à ses collègues pour reconnaître et valoriser leurs compétences transversales, leurs comportements positifs et leur engagement.
Tous les collaborateurs ont accès à la plateforme, avec un nombre limité de "kiffs" à distribuer par mois.
La solution encourage la collaboration à tous les niveaux et participe entre autres, à créer de nouveaux modèles de réussite accessibles et inspirants pour tous.
L’application enregistre de bons résultats avec un taux d’engagement moyen de 60%. Parmi ses clients, Cocoworker compte l’assureur April.
Un bot pour diffuser ses valeurs avec Yes We share
Le coût du mal-être au travail est de 1 340€ par an et par collaborateur selon les chiffres de Yes We Share.
Pour lutter contre le désengagement, la start-up a développé OSCAR, un chatbot social et collaboratif qui s’insère dans les environnements de travail existants, tel qu’un intranet ou une messagerie instantanée.
Il entre en action après sollicitation de ses utilisateurs ou pousse de lui-même des contenus que l’entreprise souhaite partager : risques professionnels, pratiques addictives, discrimination, sexisme, etc.
Ces thématiques dépendent des métiers, de la culture d’entreprise, des problématiques rencontrées et surtout des valeurs que l’entreprise veut défendre.
Il peut être utilisé pour créer du lien social dans le cadre de l’organisation d’un déjeuner entre collègues, trouver un partenaire avec qui pratiquer une activité sportive, partager des connaissances dans le cadre des apprentissages de pair à pair, faire appel à l’intelligence collective sur un sujet, solliciter des avis, récolter des idées, ou encore soumettre un questionnaire aux collaborateurs.
Pour lutter contre le désengagement, la start-up a développé OSCAR, un chatbot social et collaboratif qui s’insère dans les environnements de travail existants, tel qu’un intranet ou une messagerie instantanée.
Il entre en action après sollicitation de ses utilisateurs ou pousse de lui-même des contenus que l’entreprise souhaite partager : risques professionnels, pratiques addictives, discrimination, sexisme, etc.
Ces thématiques dépendent des métiers, de la culture d’entreprise, des problématiques rencontrées et surtout des valeurs que l’entreprise veut défendre.
Il peut être utilisé pour créer du lien social dans le cadre de l’organisation d’un déjeuner entre collègues, trouver un partenaire avec qui pratiquer une activité sportive, partager des connaissances dans le cadre des apprentissages de pair à pair, faire appel à l’intelligence collective sur un sujet, solliciter des avis, récolter des idées, ou encore soumettre un questionnaire aux collaborateurs.
Comeet, le pro des rencontres
Créée en janvier 2017, Comeet a développé une intelligence artificielle pour favoriser la cohésion en entreprise.
De manière automatisée, elle va organiser des rencontres entre salariés, en fonction de leurs centres d'intérêts et disponibilités.
A partir de l’application mobile, les salariés précisent leurs activités favorites et leurs disponibilités, et peuvent également lier leurs comptes Twitter, LinkedIn et Facebook.
Grâce à ces informations, l’assistant virtuel "matche" des salariés entre eux, et organisent des rencontres : afterworks, déjeuners, sessions de sport...
Un bon moyen également d’élargir son réseau.
Comeet a notamment séduit Airbus et Sodexo.
De manière automatisée, elle va organiser des rencontres entre salariés, en fonction de leurs centres d'intérêts et disponibilités.
A partir de l’application mobile, les salariés précisent leurs activités favorites et leurs disponibilités, et peuvent également lier leurs comptes Twitter, LinkedIn et Facebook.
Grâce à ces informations, l’assistant virtuel "matche" des salariés entre eux, et organisent des rencontres : afterworks, déjeuners, sessions de sport...
Un bon moyen également d’élargir son réseau.
Comeet a notamment séduit Airbus et Sodexo.