© Virgin Atlantic Les passagers de la classe Affaires seront accueillis par une hôtesse ultra-connectée.
Les Google Glass ne relèvent plus de la science-fiction !
Après la police de New-York, c’est au tour de Virgin Atlantic, compagnie aérienne britannique, de tester ces lunettes ultra-connectées.
Les Google Glass sont des lunettes qui peuvent être connectées à internet.
Elles possèdent un mini-écran qui affiche une image superposée à ce que voit la personne, mais aussi une caméra, un micro, un pad tactile, un accéléromètre pour mesurer le déplacement.
Ces lunettes connectées sont vouées à devenir le complément du téléphone intelligent et de multiple application devraient venir enrichir les fonctionnalités.
Après la police de New-York, c’est au tour de Virgin Atlantic, compagnie aérienne britannique, de tester ces lunettes ultra-connectées.
Les Google Glass sont des lunettes qui peuvent être connectées à internet.
Elles possèdent un mini-écran qui affiche une image superposée à ce que voit la personne, mais aussi une caméra, un micro, un pad tactile, un accéléromètre pour mesurer le déplacement.
Ces lunettes connectées sont vouées à devenir le complément du téléphone intelligent et de multiple application devraient venir enrichir les fonctionnalités.
La vidéo permet de visualiser comment les Google Glass peuvent interagir avec le monde qui nous entoure et quelle place elles auront dans nos vies.
Un outil de fidélisation client pour Virgin Atlantic
Virgin Atlantic a décidé d’utiliser les lunettes connectées de Google pour améliorer et personnaliser les services proposés aux passagers de sa classe Affaires.
Les passagers de première classe seront accueillis à l'aéroport londonien d'Heathrow par une hôtesse équipée de Google Glass et d’une Smartwatch 2 de Sony.
Ces appareils lui permettront d’accueillir le passager dès sa descente de voiture en l’appelant par son nom, d’accélérer les formalités d’enregistrement et de fournir à ce VIP les dernières informations concernant son vol.
L’hôtesse pourra également l’informer de la météo de sa destination, des événements auxquels il pourra assister et ce dans plusieurs langues.
La compagnie britannique espère qu’à l’avenir les Google Glass pourront également afficher les préférences alimentaires des voyageurs, et plus globalement « contribuer à fournir un meilleur service, plus personnalisé » selon un communiqué de la compagnie.
Si le test est concluant, Virgin Atlantic pourrait équiper les hôtesses d’autres aéroports de ces différents objets connectés.
Les passagers de première classe seront accueillis à l'aéroport londonien d'Heathrow par une hôtesse équipée de Google Glass et d’une Smartwatch 2 de Sony.
Ces appareils lui permettront d’accueillir le passager dès sa descente de voiture en l’appelant par son nom, d’accélérer les formalités d’enregistrement et de fournir à ce VIP les dernières informations concernant son vol.
L’hôtesse pourra également l’informer de la météo de sa destination, des événements auxquels il pourra assister et ce dans plusieurs langues.
La compagnie britannique espère qu’à l’avenir les Google Glass pourront également afficher les préférences alimentaires des voyageurs, et plus globalement « contribuer à fournir un meilleur service, plus personnalisé » selon un communiqué de la compagnie.
Si le test est concluant, Virgin Atlantic pourrait équiper les hôtesses d’autres aéroports de ces différents objets connectés.
"Faire évoluer le transport aérien"
A la suite d’une étude, Virgin Atlantic a pu constater que 42% des voyageurs à travers le monde déclarait que prendre l’avion était beaucoup moins glamour qu’avant.
« Nous voulons inverser cette tendance grâce aux innovations technologiques. L' ensemble de l'industrie a besoin d'écouter ce que les passagers réclament , et continuer d’innover pour un retour à l'âge d'or du transport aérien », affirme Dave Bulman, directeur de l'informatique au sein de la compagnie.
Des plus grandes fenêtres dans leur 787, le déploiement du wifi à bord, Virgin Atlantic travaille à rendre l’expérience des voyageurs en phase avec leurs attentes.
« Et en étant la première compagnie à tester la façon dont les appareils connectés peuvent améliorer l'expérience client, Virgin Atlantic va contribuer à faire évoluer le transport aérien. », conclut-il.
« Nous voulons inverser cette tendance grâce aux innovations technologiques. L' ensemble de l'industrie a besoin d'écouter ce que les passagers réclament , et continuer d’innover pour un retour à l'âge d'or du transport aérien », affirme Dave Bulman, directeur de l'informatique au sein de la compagnie.
Des plus grandes fenêtres dans leur 787, le déploiement du wifi à bord, Virgin Atlantic travaille à rendre l’expérience des voyageurs en phase avec leurs attentes.
« Et en étant la première compagnie à tester la façon dont les appareils connectés peuvent améliorer l'expérience client, Virgin Atlantic va contribuer à faire évoluer le transport aérien. », conclut-il.
Les Objets connectées, un nouvel eldorado ?
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Cette notion regroupe aujourd'hui trois types d'appareils : les objets directement connectés à internet, le Machine-to-Machine dont font partie les wearable devices, soit la communication entre machines et l'accès d'information sans intervention humaine via une technologie Bluetooth, Wi-Fi ou 3/4G, et enfin, les terminaux communicants, que sont les tablettes, smartphones, les ordinateurs portables ou encore les lunettes connectées.
Stéphane Bohbot, directeur général d'Innvov8 et d'Extenso Telecom, met en garde : le marché n’est pas encore totalement mature.
« Les entreprises n'en sont qu'au balbutiement de l'IdO, explique-t-il. Mais nous tentons de répondre à leurs besoins, car les objets connectés représentent un facteur de croissance important pour ces dernières. »
Fin novembre, l’institut G9+, qui représente plus de 50 000 professionnels de l'économie digitale en France et en Europe, a publié un livre Blanc présentant les objets connectés comme un « nouvel eldorado pour l’économie connectée ».
Ce livre blanc met notamment en avant l'urgence de la coordination d'un effort national. Pour Luc Bretones, directeur du Technocentre d'Orange Vallée et vice-président de l'institut G9+, « tout est réuni en France pour que l'IdO fonctionne pour les entreprises : le très haut débit, les datacenters, le Big Data et les smartphones dans les mains de chaque individu. »
Le livre blanc est disponible gratuitement ici :
Par Rodolphe Langlois
Stéphane Bohbot, directeur général d'Innvov8 et d'Extenso Telecom, met en garde : le marché n’est pas encore totalement mature.
« Les entreprises n'en sont qu'au balbutiement de l'IdO, explique-t-il. Mais nous tentons de répondre à leurs besoins, car les objets connectés représentent un facteur de croissance important pour ces dernières. »
Fin novembre, l’institut G9+, qui représente plus de 50 000 professionnels de l'économie digitale en France et en Europe, a publié un livre Blanc présentant les objets connectés comme un « nouvel eldorado pour l’économie connectée ».
Ce livre blanc met notamment en avant l'urgence de la coordination d'un effort national. Pour Luc Bretones, directeur du Technocentre d'Orange Vallée et vice-président de l'institut G9+, « tout est réuni en France pour que l'IdO fonctionne pour les entreprises : le très haut débit, les datacenters, le Big Data et les smartphones dans les mains de chaque individu. »
Le livre blanc est disponible gratuitement ici :
2013-12-G9plus-NouveauxEldorados.pdf
Par Rodolphe Langlois