Les arrivées internationales augmenteront de 162 % en 2022 au Qatar grace à la coupe du monde - Compte Facebook @VisitQatar
Les polémiques ne s'arrêtent pas au coup de sifflet final de matchs qui se jouent dans des stades (trop) climatisés, lors de cette Coupe du Monde au Qatar.
En effet, nombre d'articles reviennent inlassablement sur une manifestation aux conditions hors normes qui laissera une trace au niveau de son impact carbone et aussi auprès des supporters.
Malgré tout, les audiences sont au rendez-vous et nul ne dit que le Qatar ne remplira pas son objectif de briller aux yeux du monde. Il suffit d'ailleurs de voir les audiences des matchs en France, pour se rendre compte que le boycotte est loin d'avoir des répercussions notables.
En attendant pour GlobalData, l'année devrait être économiquement bonne pour ce grand producteur de gaz.
"La Coupe du monde de la FIFA et l'augmentation des exportations de combustibles fossiles feront progresser l'économie du Qatar de 4,6 % en 2022, contre 1,5 % en 2021," selon les prévisions de GlobalData, une société de données et d'analyse de premier plan.
Il faut dire que cette croissance aura été chèrement payée, puisque l'Emirat aurait déboursé près de 200 milliards d'euros dans la construction des infrastructures servant à accueillir la compétition.
En effet, nombre d'articles reviennent inlassablement sur une manifestation aux conditions hors normes qui laissera une trace au niveau de son impact carbone et aussi auprès des supporters.
Malgré tout, les audiences sont au rendez-vous et nul ne dit que le Qatar ne remplira pas son objectif de briller aux yeux du monde. Il suffit d'ailleurs de voir les audiences des matchs en France, pour se rendre compte que le boycotte est loin d'avoir des répercussions notables.
En attendant pour GlobalData, l'année devrait être économiquement bonne pour ce grand producteur de gaz.
"La Coupe du monde de la FIFA et l'augmentation des exportations de combustibles fossiles feront progresser l'économie du Qatar de 4,6 % en 2022, contre 1,5 % en 2021," selon les prévisions de GlobalData, une société de données et d'analyse de premier plan.
Il faut dire que cette croissance aura été chèrement payée, puisque l'Emirat aurait déboursé près de 200 milliards d'euros dans la construction des infrastructures servant à accueillir la compétition.
Coupe du Monde au Qatar : des recettes de plus de 2 milliards contre 200 milliards de dépenses
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"Le tournoi de football tant attendu devrait non seulement placer le Qatar sur la carte mondiale en tant qu'épicentre du tourisme international et des activités commerciales, mais aussi donner un coup de fouet à l'économie.
Elle ne sera pas seulement portée par les investissements et l'augmentation des flux touristiques pendant la Coupe du monde, mais aussi par la hausse des exportations de combustibles fossiles dans un contexte de demande croissante des nations européennes," estime Bindi Patel, analyste de recherche économique chez GlobalData.
Il faut dire que la destination prévoit que le nombre d'arrivées internationales dans le pays augmentera de 162 % par rapport à l'année dernière pour atteindre 2,2 millions en 2022.
Derrière de nombreux secteurs en bénéficieront.
La croissance dans le secteur du commerce de gros et de détail atteindra 7,6 %, tandis que les investissements visant à améliorer les routes, les chemins de fer et les aéroports devraient stimuler le secteur de la construction de 7,3 % en 2022.
Par contre les retombées directement liées à la Coupe du Monde seront très loin d'éponger les sommes dépensées.
"Les recettes potentielles de billetterie généreront 360,3 millions de dollars pour le Qatar sur les 64 matchs joués. De plus, le total des recettes de parrainage provenant de 27 partenariats actifs entre la FIFA et la Coupe du monde du Qatar, est estimé à 1,7 milliard de dollars," poursuit l'analyste.
Dans un pays ayant un fort besoin en main-d'oeuvre, le chômage continue de baisser, en passant d'un anecdotique 1,8% en 2021 à 0,7% en 2022. Pour finir, cette compétition va booster la consommation des ménages (+6,3%).
La compétition ne fera pas oublier les limites mises en avant par les médias.
"Plusieurs préoccupations, notamment les scandales de corruption, le financement du terrorisme et les violations des droits de l'homme, continuent de peser sur le développement global de l'économie," conclut Bindi Patel, analyste de recherche économique chez GlobalData.
Elle ne sera pas seulement portée par les investissements et l'augmentation des flux touristiques pendant la Coupe du monde, mais aussi par la hausse des exportations de combustibles fossiles dans un contexte de demande croissante des nations européennes," estime Bindi Patel, analyste de recherche économique chez GlobalData.
Il faut dire que la destination prévoit que le nombre d'arrivées internationales dans le pays augmentera de 162 % par rapport à l'année dernière pour atteindre 2,2 millions en 2022.
Derrière de nombreux secteurs en bénéficieront.
La croissance dans le secteur du commerce de gros et de détail atteindra 7,6 %, tandis que les investissements visant à améliorer les routes, les chemins de fer et les aéroports devraient stimuler le secteur de la construction de 7,3 % en 2022.
Par contre les retombées directement liées à la Coupe du Monde seront très loin d'éponger les sommes dépensées.
"Les recettes potentielles de billetterie généreront 360,3 millions de dollars pour le Qatar sur les 64 matchs joués. De plus, le total des recettes de parrainage provenant de 27 partenariats actifs entre la FIFA et la Coupe du monde du Qatar, est estimé à 1,7 milliard de dollars," poursuit l'analyste.
Dans un pays ayant un fort besoin en main-d'oeuvre, le chômage continue de baisser, en passant d'un anecdotique 1,8% en 2021 à 0,7% en 2022. Pour finir, cette compétition va booster la consommation des ménages (+6,3%).
La compétition ne fera pas oublier les limites mises en avant par les médias.
"Plusieurs préoccupations, notamment les scandales de corruption, le financement du terrorisme et les violations des droits de l'homme, continuent de peser sur le développement global de l'économie," conclut Bindi Patel, analyste de recherche économique chez GlobalData.