l faut appeler un chat un chat : sans vaccin dans un délai relativement rapide face à la Convid-19, c’en est fait du tourisme tel que nous le connaissons actuellement.
Après l’enterrement de 1ère classe de l'hydro chloroquine, il faut bien se rendre à l’évidence.
Nous sommes à poil face à ce virus auatnt que l’étaient naguère les générations qui ont eu à subir les ravages de la grippe espagnole.
Certes, dans la guerre que se livrent les laboratoires de la planète, on aurait préféré que messires les Français tirent en premier. Mais on va vite mettre un mouchoir sur la fierté tricolore.
Car l’espoir d’un vaccin venant de Russie et que Poutine soi-même annonce comme imminent, apparaît comme un rai de lumière dans un sombre boisseau.
L’oligarque prétend que sa propre fille fait partie du bataillon et qu’elle était en première ligne des cobayes qui ont testé le vaccin.
Des millions de doses auraient déjà été commandées et une campagne de vaccination généralisée se prépare en Russie où “Spoutnik”, (c’est son petit nom), est officiellement attendu pour début 2021.
Info ou intox ? A-t-on,fondu vitesse et précipitation ? Attendons-nous dans tous les cas aux démentis de toutes parts et en particulier des (nombreuses) officines qui, à l’heure actuelle, rament pour trouver la martingale et le jackpot qui va avec.
Après l’enterrement de 1ère classe de l'hydro chloroquine, il faut bien se rendre à l’évidence.
Nous sommes à poil face à ce virus auatnt que l’étaient naguère les générations qui ont eu à subir les ravages de la grippe espagnole.
Certes, dans la guerre que se livrent les laboratoires de la planète, on aurait préféré que messires les Français tirent en premier. Mais on va vite mettre un mouchoir sur la fierté tricolore.
Car l’espoir d’un vaccin venant de Russie et que Poutine soi-même annonce comme imminent, apparaît comme un rai de lumière dans un sombre boisseau.
L’oligarque prétend que sa propre fille fait partie du bataillon et qu’elle était en première ligne des cobayes qui ont testé le vaccin.
Des millions de doses auraient déjà été commandées et une campagne de vaccination généralisée se prépare en Russie où “Spoutnik”, (c’est son petit nom), est officiellement attendu pour début 2021.
Info ou intox ? A-t-on,fondu vitesse et précipitation ? Attendons-nous dans tous les cas aux démentis de toutes parts et en particulier des (nombreuses) officines qui, à l’heure actuelle, rament pour trouver la martingale et le jackpot qui va avec.
La santé publique n’a ni drapeau ni frontières...
Car ne nous leurrons pas : sous couvert de santé publique c’est aussi un véritable bras de fer qui se joue sur le plan politique et financier.
La “Grande” Russie qui vole dans les plumes de l’aigle US, voilà qui pourrait donner des ailes et faire planer grave Vladimir Poutine, plus Tsar que jamais, sur l’échiquier géopolitique mondial.
Mais ne cachons pas notre joie : les professionnels du tourisme seront les grands gagnants de cette véritable course à l'échalote que se livrent aujourd’hui Français, Britanniques, Chinois, Américains et Russes.
Sans ce sésame, la Covid-19, dont on redoute la 2e vague en France, menace de terrasser l’économie française en général et celle de l’industrie du tourisme en particulier.
Les réservations des earlybirds pour la rentrée ne sont pas vraiment au rendez-vous et les compagnies aériennes, annulent leurs vols à tire d’ailes.
Difficile dans ce contexte de croire à une relance durable du tourisme. Seul le vaccin paraît en mesure de déverrouiller les craintes et les portefeuilles de nos concitoyens.
Car n’oublions pas que les économies des candidats au voyage ont, elles-aussi, été mises à rude épreuve et que certains ont réglé des forfaits et des vols (plusieurs parfois) dont ils ne seront peut-être jamais remboursés…
Alors oui, un vaccin efficace serait le bienvenu, et vite. D’où qu’il vienne d’ailleurs, car la santé publique n’a ni drapeau ni frontières. Et si le “Spoutnik” est en mesure de remettre le tourisme international sur orbite, alors nous ferons abstraction de nos préférences et lui en serons éternellement reconnaissants.
Et tant pis pour Donald Trump !
La “Grande” Russie qui vole dans les plumes de l’aigle US, voilà qui pourrait donner des ailes et faire planer grave Vladimir Poutine, plus Tsar que jamais, sur l’échiquier géopolitique mondial.
Mais ne cachons pas notre joie : les professionnels du tourisme seront les grands gagnants de cette véritable course à l'échalote que se livrent aujourd’hui Français, Britanniques, Chinois, Américains et Russes.
Sans ce sésame, la Covid-19, dont on redoute la 2e vague en France, menace de terrasser l’économie française en général et celle de l’industrie du tourisme en particulier.
Les réservations des earlybirds pour la rentrée ne sont pas vraiment au rendez-vous et les compagnies aériennes, annulent leurs vols à tire d’ailes.
Difficile dans ce contexte de croire à une relance durable du tourisme. Seul le vaccin paraît en mesure de déverrouiller les craintes et les portefeuilles de nos concitoyens.
Car n’oublions pas que les économies des candidats au voyage ont, elles-aussi, été mises à rude épreuve et que certains ont réglé des forfaits et des vols (plusieurs parfois) dont ils ne seront peut-être jamais remboursés…
Alors oui, un vaccin efficace serait le bienvenu, et vite. D’où qu’il vienne d’ailleurs, car la santé publique n’a ni drapeau ni frontières. Et si le “Spoutnik” est en mesure de remettre le tourisme international sur orbite, alors nous ferons abstraction de nos préférences et lui en serons éternellement reconnaissants.
Et tant pis pour Donald Trump !
Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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