Le charme indicible de la Cité des Doges, au cœur de laquelle Ponant peut toujours accoster, compte tenu de la taille réduite de ses unités. /crédit JDL
Après un vol sans histoire et n'excédant guère 60 minutes, nous débarquons à l'aéroport Marco Polo.
Le transfert vers le Port n'est pas très compliqué et des taxis vous prendront en charge, moyennant une cinquantaine d'euros et moins de 30' de trajet.
L'embarquement est prévu de 15h30 à 16h30. Le bagage est pris rapidement en charge dès l'arrivée et ensuite on se dirige vers le terminal pour l'enregistrement.
Une soixantaine de passagers patiente dans la salle pour embarquer. Il y a 200 passagers à bord, soit 83% de remplissage environ pour 132 cabines et 147 membres d’équipage.
Dès l'arrivée, des hôtesses vous proposent de l'eau minérale, ce qui n'est pas vraiment du luxe compte tenu de la chappe de plomb qui s'est abattue sur la Sérénissime. Quarante-cinq minutes environ seront nécessaires pour expédier les formalités et accéder au navire.
Il ne reste plus qu'à laisser une empreinte de carte de crédit et à remettre son passeport qui sera conservé jusqu'à la fin de la croisière. Rappelons que celle-ci est en mode tout inclus (nourriture et boissons) et que seuls les extras (vins et alcools particuliers, Spa, cocktails spéciaux...) seront facturés.
Le transfert vers le Port n'est pas très compliqué et des taxis vous prendront en charge, moyennant une cinquantaine d'euros et moins de 30' de trajet.
L'embarquement est prévu de 15h30 à 16h30. Le bagage est pris rapidement en charge dès l'arrivée et ensuite on se dirige vers le terminal pour l'enregistrement.
Une soixantaine de passagers patiente dans la salle pour embarquer. Il y a 200 passagers à bord, soit 83% de remplissage environ pour 132 cabines et 147 membres d’équipage.
Dès l'arrivée, des hôtesses vous proposent de l'eau minérale, ce qui n'est pas vraiment du luxe compte tenu de la chappe de plomb qui s'est abattue sur la Sérénissime. Quarante-cinq minutes environ seront nécessaires pour expédier les formalités et accéder au navire.
Il ne reste plus qu'à laisser une empreinte de carte de crédit et à remettre son passeport qui sera conservé jusqu'à la fin de la croisière. Rappelons que celle-ci est en mode tout inclus (nourriture et boissons) et que seuls les extras (vins et alcools particuliers, Spa, cocktails spéciaux...) seront facturés.
L’exercice d’abandon du navire c'est du sérieux...
Mon bagage m'attend à l'accueil et on m'accompagne jusqu'à ma cabine située au 5e niveau. Elle est spacieuse, élégante et décorée avec goût. Deux fauteuils et une petite table sur le balcon, complètent cette impression.
Bien entendu, elle est aussi parfaitement équipée avec des "plus", tels une Nespresso ou encore une mini-enceinte Bose. Question sanitaire, un kit avec du gel et plusieurs masques chirurgicaux, rassurera les plus distraits.
Attention cependant : il n'y a plus aucune obligation de port du masque à bord où que ce soit, même s'il reste recommandé. Seul le personnel de bord le porte encore dans les rapports avec les passagers. Rappelons néanmoins que le protocole de la Compagnie continue d'exiger un PCR de moins de 72h ou un Antigénique de moins de 24h, au niveau des formalités.
A peine installés, les passagers sont invités à une réunion d'information suivie, quelques minutes plus tard, du traditionnel exercice de sécurité. Chez Ponant ce n'est pas vraiment une formalité : l’exercice d’abandon du navire est sérieux et tout l'équipage est mobilisé pour vous le faire comprendre.
Important : ne pas oublier de mettre son portable en mode avion dès l'appareillage pour éviter que l'appareil n'accroche des réseaux satellitaires dont les tarifs sont tout aussi hauts placés.
Bien entendu, elle est aussi parfaitement équipée avec des "plus", tels une Nespresso ou encore une mini-enceinte Bose. Question sanitaire, un kit avec du gel et plusieurs masques chirurgicaux, rassurera les plus distraits.
Attention cependant : il n'y a plus aucune obligation de port du masque à bord où que ce soit, même s'il reste recommandé. Seul le personnel de bord le porte encore dans les rapports avec les passagers. Rappelons néanmoins que le protocole de la Compagnie continue d'exiger un PCR de moins de 72h ou un Antigénique de moins de 24h, au niveau des formalités.
A peine installés, les passagers sont invités à une réunion d'information suivie, quelques minutes plus tard, du traditionnel exercice de sécurité. Chez Ponant ce n'est pas vraiment une formalité : l’exercice d’abandon du navire est sérieux et tout l'équipage est mobilisé pour vous le faire comprendre.
Important : ne pas oublier de mettre son portable en mode avion dès l'appareillage pour éviter que l'appareil n'accroche des réseaux satellitaires dont les tarifs sont tout aussi hauts placés.
Venise, musique grand siècle et champagne...
L'appareillage au couchant, musique grand siècle, mannequins masqués et coupe de champagne à la main, c'est une expérience magique./crédit JDL
En revanche, mis à part au Monténégro (Kotor), le roaming européen est valable de partout et utilisable à toutes les escales, comme en France, sans supplément.
Et puisqu'on évoque ce chapitre, last but not least, notez que la connexion internet est également comprise dans le package. Bien entendu, comme sur tous les bateaux, il ne faut pas en attendre des miracles... surtout quand tout le monde se connecte en même temps.
Depuis le balcon de ma cabine, le soleil décline doucement. Je suis déjà sous le charme indicible de la Cité des Doges, au cœur de laquelle Ponant peut toujours accoster, compte tenu de la taille réduite de ses unités. L'appareillage au couchant, musique grand siècle, mannequins masqués et coupe de champagne à la main, est une expérience magique.
Le long du grand canale on en voit défiler les monuments emblématiques. Voilà un voyage qui s'annonce sous les meilleurs auspices.
Compte tenu de l'itinéraire port-port, nous allons naviguer toute la nuit et tirer une grande ligne droite sur les deux tiers du trajet, jusqu'à Korcula où nous arriverons samedi en début d'après-midi.
Ensuite nous ferons des sauts de puce en remontant vers Šibenik, redescendrons à Dubrovnik avant de faire un crochet par Kotor (Monténégro). On remontera de nouveau vers Hvar, avant d'emprunter résolument le chemin de retour le long de la somptueuse côte dalmate.
Et puisqu'on évoque ce chapitre, last but not least, notez que la connexion internet est également comprise dans le package. Bien entendu, comme sur tous les bateaux, il ne faut pas en attendre des miracles... surtout quand tout le monde se connecte en même temps.
Depuis le balcon de ma cabine, le soleil décline doucement. Je suis déjà sous le charme indicible de la Cité des Doges, au cœur de laquelle Ponant peut toujours accoster, compte tenu de la taille réduite de ses unités. L'appareillage au couchant, musique grand siècle, mannequins masqués et coupe de champagne à la main, est une expérience magique.
Le long du grand canale on en voit défiler les monuments emblématiques. Voilà un voyage qui s'annonce sous les meilleurs auspices.
Compte tenu de l'itinéraire port-port, nous allons naviguer toute la nuit et tirer une grande ligne droite sur les deux tiers du trajet, jusqu'à Korcula où nous arriverons samedi en début d'après-midi.
Ensuite nous ferons des sauts de puce en remontant vers Šibenik, redescendrons à Dubrovnik avant de faire un crochet par Kotor (Monténégro). On remontera de nouveau vers Hvar, avant d'emprunter résolument le chemin de retour le long de la somptueuse côte dalmate.
Deux restaurants, double expérience gastronomique
Rovinj sera le point d'orgue de notre périple, sachant que le bateau est à quai et l'escale hyper accessible. A ce propos,e Lyrial sera au mouillage la plupart du temps. Une navette (tender) aussi précise qu'un coucou suisse, opérera les transferts de et vers le bateau.
La fréquence est en moyenne d'une demi-heure. La carte d'embarquement est le sésame absolu : tout à la fois carte de crédit, pièce d'identité et moyen indispensable d'accès à bord. Elle permet aussi de vérifier avant l'appareillage que vous êtes revenu(e) sain(e) et sauf(ve) de vos balades, si vous n'êtes pas parti(e) en excursion.
Compte tenu de la période estivale et du secteur géographique, ces dernières sont de deux genres : visites culturelles et tours de ville avec un guide ou circonstanciées (chutes de Kra, balade en kayak...), avec déjeuner inclus parfois.
Si elles n'ont pas été réservées auparavant, cela peut-être fait le jour même sur place. Les tarifs sont raisonnables, compte tenu de la typologie de clientèle. La plus chère (Iles Elafite) ne dépasse pas 170 euros pour une visite de 6h en bateau, repas compris.
A bord des navires Ponant, la grande majorité de la clientèle est française. Aussi, la compagnie attache-t-elle une grande importance à la gastronomie et à la qualité des vins servis : deux atouts très appréciés des afficionados.
Deux restaurants sont là pour les satisfaire : le Céleste au pont 2 et La Comète au pont 6. Dans le premier on y mange à la carte, au rythme compassé d'un grand restaurant. Il convient davantage aux groupes et aux tête à tête en amoureux. Réservation obligatoire, sauf pour les deux soirées de gala.
La fréquence est en moyenne d'une demi-heure. La carte d'embarquement est le sésame absolu : tout à la fois carte de crédit, pièce d'identité et moyen indispensable d'accès à bord. Elle permet aussi de vérifier avant l'appareillage que vous êtes revenu(e) sain(e) et sauf(ve) de vos balades, si vous n'êtes pas parti(e) en excursion.
Compte tenu de la période estivale et du secteur géographique, ces dernières sont de deux genres : visites culturelles et tours de ville avec un guide ou circonstanciées (chutes de Kra, balade en kayak...), avec déjeuner inclus parfois.
Si elles n'ont pas été réservées auparavant, cela peut-être fait le jour même sur place. Les tarifs sont raisonnables, compte tenu de la typologie de clientèle. La plus chère (Iles Elafite) ne dépasse pas 170 euros pour une visite de 6h en bateau, repas compris.
A bord des navires Ponant, la grande majorité de la clientèle est française. Aussi, la compagnie attache-t-elle une grande importance à la gastronomie et à la qualité des vins servis : deux atouts très appréciés des afficionados.
Deux restaurants sont là pour les satisfaire : le Céleste au pont 2 et La Comète au pont 6. Dans le premier on y mange à la carte, au rythme compassé d'un grand restaurant. Il convient davantage aux groupes et aux tête à tête en amoureux. Réservation obligatoire, sauf pour les deux soirées de gala.
Une clientèle aisée mais pas guindée...
Une clientèle aisée avec un échantillon générationnel et beaucoup de primo-croisiéristes /crédit JDL
Le second est une formule buffet. C’est excellent aussi mais ça permet d’aller beaucoup plus vite et de profiter de l'air du grand large sur le pont 6. A vous de voir... si vous êtes pressés ou pas. Là aussi il faut réserver car la demande dépasse souvent la capacité.
Dans les deux cas, le service, la prévenance, la gentillesse et la qualité du service, sont juste exceptionnels. Cela vaut également pour l'ensemble de l'équipage où la tenue sourire et l'écoute sont de rigueur. A noter aussi l'ambiance très sympa du bar au 7e niveau, lieu de rendez-vous très prisé où Alex, le facétieux mais terriblement efficace barman, vous concocte de délicieux cocktails.
Pour éviter les kilos superflus, la salle de sport située au pont 5, très bien équipée pour une unité de cette taille, attend les plus motivés : 3 tapis, 4 vélos, une machine de musculation et des tapis assurent l'essentiel. Le tout avec un superbe point de vue lors des escales.
La première a lieu à Korcula, charmante petite île où Marco Polo serait né et où il fait bon se perdre dans les ruelles ombragées du quartier médiéval. Ici pas de plages de sable blanc mais baignade possible tout le long de la côte. Ce sera d'ailleurs le cas dans la quasi-totalité des arrêts prévus.
La clientèle du Lyrial lors de ce voyage est composée en majorité de primo croisiéristes, de toutes les générations et plutôt internationale, avec des Américains, des Anglais et même un australien.
La clientèle variée et éclectique est aisée mais pas trop guindée, même si le dress code (pas de shorts au restaurant) oblige à une certaine tenue, chic mais décontractée. Un Kids Club occupera vos têtes blondes pendant la croisière.
Les animations et les spectacles en général, même si certaines soirées peuvent être débridées, sont le point faible de la programmation. La musique live fait défaut et, en particulier, un ensemble pour redonner du dynamisme. Il en va de même pour les conférences, dont les thématiques gagneraient à être mieux travaillées.
En revanche, l'équipage met un point d'honneur à organiser presque quotidiennement des rendez-vous événementiels : dégustation de fromages, de caviar, de macarons, d'antipasti ou plus sportifs, comme une baignade en plein Adriatique depuis la marina du navire... Des animations plébiscitées par la clientèle.
Dans les deux cas, le service, la prévenance, la gentillesse et la qualité du service, sont juste exceptionnels. Cela vaut également pour l'ensemble de l'équipage où la tenue sourire et l'écoute sont de rigueur. A noter aussi l'ambiance très sympa du bar au 7e niveau, lieu de rendez-vous très prisé où Alex, le facétieux mais terriblement efficace barman, vous concocte de délicieux cocktails.
Pour éviter les kilos superflus, la salle de sport située au pont 5, très bien équipée pour une unité de cette taille, attend les plus motivés : 3 tapis, 4 vélos, une machine de musculation et des tapis assurent l'essentiel. Le tout avec un superbe point de vue lors des escales.
La première a lieu à Korcula, charmante petite île où Marco Polo serait né et où il fait bon se perdre dans les ruelles ombragées du quartier médiéval. Ici pas de plages de sable blanc mais baignade possible tout le long de la côte. Ce sera d'ailleurs le cas dans la quasi-totalité des arrêts prévus.
La clientèle du Lyrial lors de ce voyage est composée en majorité de primo croisiéristes, de toutes les générations et plutôt internationale, avec des Américains, des Anglais et même un australien.
La clientèle variée et éclectique est aisée mais pas trop guindée, même si le dress code (pas de shorts au restaurant) oblige à une certaine tenue, chic mais décontractée. Un Kids Club occupera vos têtes blondes pendant la croisière.
Les animations et les spectacles en général, même si certaines soirées peuvent être débridées, sont le point faible de la programmation. La musique live fait défaut et, en particulier, un ensemble pour redonner du dynamisme. Il en va de même pour les conférences, dont les thématiques gagneraient à être mieux travaillées.
En revanche, l'équipage met un point d'honneur à organiser presque quotidiennement des rendez-vous événementiels : dégustation de fromages, de caviar, de macarons, d'antipasti ou plus sportifs, comme une baignade en plein Adriatique depuis la marina du navire... Des animations plébiscitées par la clientèle.
Frédéric Guilmin, un champion de voile à la tête du Lyrial
Frédéric Guilmin a "débarqué" il y a quelques semaines à peine chez Ponant. Ce champion de la course à la voile au palmarès impressionnant, affiche notamment 3 participations olympiques (excusez du peu...) et quelques victoires de Tours de France.
Le marin a décidé de poser son sac et de se ranger (ou presque) des voiliers. Coïncidence : le Ponant, bateau pionnier de l'armateur où il avait fait ses débuts, mouillait le 11 août dernier à Dubrovnik, à quelques encâblures du Lyrial...
Bon sang ne saurait mentir, Frédéric Guilmin est Breton même si les pérégrinations paternelles l'ont fait naître à... Lausanne ! Mais le Léman n'était sans doute pas en mesure de contenir ni son talent ni sa rage de vaincre.
Huit années plus tard, retour au bercail. Les choses sérieuses commencent pour le jeune compétiteur. Après l'incontournable Sport et Etudes à La Baule et une intense carrière sportive jalonnée de trophées, il achève un DUT à Saint Nazaire en 1994 avant d'attaquer l'école de la Marine marchande (ENMM) à Nantes, dont il sort frais émoulu en 1998.
Il faut alors songer à la reconversion professionnelle. Il naviguera 18 ans avec Britanny Ferries, dont il gravira les échelons, fait du tramping avec un vraquier et prend ensuite le commandement du yacht d'un richissime hommes d'affaires. Le quinquagénaire est désormais à la barre du Lyrial.
Vous pouvez écouter l'intégralité de l'interview en bas de chapitre
PALMARES
2015 :
- Vainqueur du Grand Prix Guyader en Diam 24
- 3ème du Championnat de France du Grand Prix de l’Ecole Navale
- 3ème du Spi Ouest-France en Diam 24
- 3ème du Tour de France à la voile
- 4 participations à l’America’s Cup en tant que stratégiste, tacticien, analyste départs, régleur GV (2010, 2009, 2007, 2002)
- 8 Tour de France à la Voile dont deux victoires (2003 et 1998)
- Tacticien avec Peter Gilmour et 5ème du World Match Racing Tour (2012)
- Tacticien avec Damien Iehl de 2007 à 2011 et 2ème du World Match Racing Tour (2010)
- Tacticien avec Philippe Presti de 2004 à2006 et 5ème du World Match Racing Tour (2006)
- Tacticien avec Luc Pillot de 1996 à 2001 et 2ème du World Match Racing Tour (2001)
- 4ème sur la Route des Princes sur le MOD70 VIRBAC/PAPREC et saison en tant que barreur, régleur et tacticien sur les inshores (2012)
- Participation aux JO de Barcelone, Atlanta et Sydney
Le marin a décidé de poser son sac et de se ranger (ou presque) des voiliers. Coïncidence : le Ponant, bateau pionnier de l'armateur où il avait fait ses débuts, mouillait le 11 août dernier à Dubrovnik, à quelques encâblures du Lyrial...
Bon sang ne saurait mentir, Frédéric Guilmin est Breton même si les pérégrinations paternelles l'ont fait naître à... Lausanne ! Mais le Léman n'était sans doute pas en mesure de contenir ni son talent ni sa rage de vaincre.
Huit années plus tard, retour au bercail. Les choses sérieuses commencent pour le jeune compétiteur. Après l'incontournable Sport et Etudes à La Baule et une intense carrière sportive jalonnée de trophées, il achève un DUT à Saint Nazaire en 1994 avant d'attaquer l'école de la Marine marchande (ENMM) à Nantes, dont il sort frais émoulu en 1998.
Il faut alors songer à la reconversion professionnelle. Il naviguera 18 ans avec Britanny Ferries, dont il gravira les échelons, fait du tramping avec un vraquier et prend ensuite le commandement du yacht d'un richissime hommes d'affaires. Le quinquagénaire est désormais à la barre du Lyrial.
Vous pouvez écouter l'intégralité de l'interview en bas de chapitre
PALMARES
2015 :
- Vainqueur du Grand Prix Guyader en Diam 24
- 3ème du Championnat de France du Grand Prix de l’Ecole Navale
- 3ème du Spi Ouest-France en Diam 24
- 3ème du Tour de France à la voile
- 4 participations à l’America’s Cup en tant que stratégiste, tacticien, analyste départs, régleur GV (2010, 2009, 2007, 2002)
- 8 Tour de France à la Voile dont deux victoires (2003 et 1998)
- Tacticien avec Peter Gilmour et 5ème du World Match Racing Tour (2012)
- Tacticien avec Damien Iehl de 2007 à 2011 et 2ème du World Match Racing Tour (2010)
- Tacticien avec Philippe Presti de 2004 à2006 et 5ème du World Match Racing Tour (2006)
- Tacticien avec Luc Pillot de 1996 à 2001 et 2ème du World Match Racing Tour (2001)
- 4ème sur la Route des Princes sur le MOD70 VIRBAC/PAPREC et saison en tant que barreur, régleur et tacticien sur les inshores (2012)
- Participation aux JO de Barcelone, Atlanta et Sydney
L'interview de F. Guilmin à écouter (10.28 Mo)
FICHE TECHNIQUE
Le Lyrial, sister-ship du Boréal, est un navire de 132 cabines et suites pouvant transporter jusqu'à 264 passagers et 139 membres d'équipage.
Longueur : 142 m
Largeur : 18 m
Tirant d'eau : 4,7 m
Vitesse moyenne de croisière : 14 noeuds
Classe glace 1 C
Classification Bureau Veritas
Pavillon Français
Nombre de ponts passagers : 6
Nombre de passagers : jusqu’à 244
Zodiacs : 11
Jauge brute : 10 944 UMS
Moteurs électriques : 2 x 2300 KW
Puissance électrique installée : 6 400 KW
Construction : Fincantieri-Ancône-Italie
Longueur : 142 m
Largeur : 18 m
Tirant d'eau : 4,7 m
Vitesse moyenne de croisière : 14 noeuds
Classe glace 1 C
Classification Bureau Veritas
Pavillon Français
Nombre de ponts passagers : 6
Nombre de passagers : jusqu’à 244
Zodiacs : 11
Jauge brute : 10 944 UMS
Moteurs électriques : 2 x 2300 KW
Puissance électrique installée : 6 400 KW
Construction : Fincantieri-Ancône-Italie
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