Des croisières thématiques se développent pour une clientèle plus jeune : rando ou cyclo.
L'histoire commence en 1976 à Strasbourg. Gérard Schmitter est un jeune homme déterminé à la volonté farouche. Restaurateur, notre jeune Alsacien en dehors de ses fourneaux ne cesse d'observer le Rhin qui coule devant ses yeux.
L'idée de repas et thés dansants sur l'eau fait rapidement son chemin. Le concept séduit les strasbourgeois et se développe au-delà de la citée médiévale.
En 1982, Gérard Schmitter réalise son premier rêve, il acquiert un bateau : l'Alsace 1. L'histoire va s'accélérer et des acquisitions de navires de deuxièmes mains, la société, qui porte désormais le nom de CroisiEurope, construit ses propres navires.
Aujourd'hui la flotte est composée de 25 navires et embarque chaque année 170.000 passagers. Un chiffre considérable qui place la société au 17e rang des tours opérateurs français.
Des bateaux conçus maison
Avec 88 millions d'Euros de chiffre d'affaires, 800 employés, il est loin le temps où Gérard Schmitter s'affairait en cuisine. Pourtant l'esprit n'a pas changé.
Et c'est certainement aussi les raisons de ce succès à l'Alsacienne. En effet Gérard Schmitter à toujours souhaité tout réaliser lui-même.
Ainsi, c'est un architecte maison qui conçoit les plans des navires et lorsque CroisiEurope décide de s'aventurer en pleine mer elle conçoit un navire innovant, fluvio-maritime pour passer du Quadalquivir en Espagne au Guadiana au Portugal.
Les enfants ont désormais repris la relève et poursuivent l'ouvre de papa Schmitter. Les idées fourmillent toujours et tout semble leurs réussir.
Après le Douro au Portugal, l'Elbe, le Danube, la Seine, le Pô, le Rhône, le Rhin... la compagnie fluviale entreprend un régime plus salé en s'implantant (en 2007) en Croatie pour des croisières côtières.
Port sur le Niger
Des croisières thématiques se développent pour une clientèle plus jeune : rando ou cyclo
pour les sportifs, Sport & Santé pour les quadras.
En marge de cette fulgurante progression, la famille Schmitter veut désormais être reconnue d'une autre manière.
En versant 1 euro par passager à l'Unesco, elle compte bien apporter une aide substantielle dans la restauration d'un port sur le fleuve Niger en Afrique.
Qui a dit que la vie des Schmitter était un long fleuve tranquille ?
L'idée de repas et thés dansants sur l'eau fait rapidement son chemin. Le concept séduit les strasbourgeois et se développe au-delà de la citée médiévale.
En 1982, Gérard Schmitter réalise son premier rêve, il acquiert un bateau : l'Alsace 1. L'histoire va s'accélérer et des acquisitions de navires de deuxièmes mains, la société, qui porte désormais le nom de CroisiEurope, construit ses propres navires.
Aujourd'hui la flotte est composée de 25 navires et embarque chaque année 170.000 passagers. Un chiffre considérable qui place la société au 17e rang des tours opérateurs français.
Des bateaux conçus maison
Avec 88 millions d'Euros de chiffre d'affaires, 800 employés, il est loin le temps où Gérard Schmitter s'affairait en cuisine. Pourtant l'esprit n'a pas changé.
Et c'est certainement aussi les raisons de ce succès à l'Alsacienne. En effet Gérard Schmitter à toujours souhaité tout réaliser lui-même.
Ainsi, c'est un architecte maison qui conçoit les plans des navires et lorsque CroisiEurope décide de s'aventurer en pleine mer elle conçoit un navire innovant, fluvio-maritime pour passer du Quadalquivir en Espagne au Guadiana au Portugal.
Les enfants ont désormais repris la relève et poursuivent l'ouvre de papa Schmitter. Les idées fourmillent toujours et tout semble leurs réussir.
Après le Douro au Portugal, l'Elbe, le Danube, la Seine, le Pô, le Rhône, le Rhin... la compagnie fluviale entreprend un régime plus salé en s'implantant (en 2007) en Croatie pour des croisières côtières.
Port sur le Niger
Des croisières thématiques se développent pour une clientèle plus jeune : rando ou cyclo
pour les sportifs, Sport & Santé pour les quadras.
En marge de cette fulgurante progression, la famille Schmitter veut désormais être reconnue d'une autre manière.
En versant 1 euro par passager à l'Unesco, elle compte bien apporter une aide substantielle dans la restauration d'un port sur le fleuve Niger en Afrique.
Qui a dit que la vie des Schmitter était un long fleuve tranquille ?