Yannis Vasiliakopoulos, P.D.G. de CroisiFrance
La France, on le sait, est le pays des paradoxes. Alors qu’un Français sur deux se déclare prêt à partir en croisière, les ventes de croisière ne décollent pas avec seulement 220.000 croisiéristes enregistrés en 2004.
En Espagne, la progression a été fulgurante en l’espace de 5 ans (de 50.000 à 300.000), l’Allemagne et l’Angleterre culminent avec des chiffres respectifs de 600.000 et 900.000 passagers.
Les raisons de ces succès ? Une meilleure segmentation du marché et des produits d’entrée de gamme qui permettent à de nouveaux clients de mettre un premier pas à l’étrier. En Espagne, le T.O. Pullmantur est le premier opérateur et en Angleterre My Travel et Thomson réalisent plus de la moitié des ventes.
Des tarifs particulièrement attractifs...
Le groupe gréco-chypriote Louis qui affrète la plupart de ses navires au marché anglais compte bien devenir l’un des initiateurs du boom de la croisière française. Pour Yannis Vasiliakopoulos, P.D.G. de CroisiFrance, filiale à 100% du groupe Louis « ce ne sont pas les 1,4% de vacanciers qui choisissent actuellement la croisière qui représentent notre cible mais les 98,6% restant ».
Et pour conquérir ce vaste marché la recette paraît simple. Tout d’abord des tarifs particulièrement attractifs (100 € par jour en pension complète). Des tarifs que peut se permettre le groupe Louis compte tenu de l’âge de ses navires (en moyenne 30 ans) et qui sont donc largement amortis.
Ensuite une qualité de service irréprochable pour un rapport qualité prix supérieur à n’importe quel autre service terrestre. Enfin des itinéraires ou des circuits combinés irrésistibles avec l’avantage suprême d’un départ de Marseille.
En 2004 CroisiFrance proposait seulement 12 départs de Marseille avec The Sapphyre. La compagnie réalisant ainsi 4.800 passagers soit 60% d’occupation du navire. L’année 2005 devrait, quant à elle, marquer une étape prédominante.
L’arrivée de l’Aquamarine (ex Carousel et ex Nordic Prince de RCI) d’une capacité de 1.158 passagers va proposer 20 nouveaux départs de Marseille portant ainsi la capacité pour le marché français à 36.000 embarquements !
En Espagne, la progression a été fulgurante en l’espace de 5 ans (de 50.000 à 300.000), l’Allemagne et l’Angleterre culminent avec des chiffres respectifs de 600.000 et 900.000 passagers.
Les raisons de ces succès ? Une meilleure segmentation du marché et des produits d’entrée de gamme qui permettent à de nouveaux clients de mettre un premier pas à l’étrier. En Espagne, le T.O. Pullmantur est le premier opérateur et en Angleterre My Travel et Thomson réalisent plus de la moitié des ventes.
Des tarifs particulièrement attractifs...
Le groupe gréco-chypriote Louis qui affrète la plupart de ses navires au marché anglais compte bien devenir l’un des initiateurs du boom de la croisière française. Pour Yannis Vasiliakopoulos, P.D.G. de CroisiFrance, filiale à 100% du groupe Louis « ce ne sont pas les 1,4% de vacanciers qui choisissent actuellement la croisière qui représentent notre cible mais les 98,6% restant ».
Et pour conquérir ce vaste marché la recette paraît simple. Tout d’abord des tarifs particulièrement attractifs (100 € par jour en pension complète). Des tarifs que peut se permettre le groupe Louis compte tenu de l’âge de ses navires (en moyenne 30 ans) et qui sont donc largement amortis.
Ensuite une qualité de service irréprochable pour un rapport qualité prix supérieur à n’importe quel autre service terrestre. Enfin des itinéraires ou des circuits combinés irrésistibles avec l’avantage suprême d’un départ de Marseille.
En 2004 CroisiFrance proposait seulement 12 départs de Marseille avec The Sapphyre. La compagnie réalisant ainsi 4.800 passagers soit 60% d’occupation du navire. L’année 2005 devrait, quant à elle, marquer une étape prédominante.
L’arrivée de l’Aquamarine (ex Carousel et ex Nordic Prince de RCI) d’une capacité de 1.158 passagers va proposer 20 nouveaux départs de Marseille portant ainsi la capacité pour le marché français à 36.000 embarquements !
la nouvelle brochure CroisiFrance
Marseille : un potentiel de 36.000 embarquements
Un challenge qui ne semble pas effrayer l’ancien président de l’association CroisiMer, Yannis Vasiliakopoulos. « Nous sommes dores et déjà programmé parmi les plus grands TO (Jet tours, CIC, Fram, Héliades, Austro Pauli…) qui reconnaissent la qualité de nos produits et de nos itinéraires particulièrement attractifs ».
En effet, CroisiFrance présente des croisières de 7 jours vers les îles grecques au départ de Marseille, des week-ends croisières au départ d’Athènes ou des combinés séjours/croisières qui devraient remporter un franc succès.
Avec la publication d’une nouvelle brochure et une équipe renforcée, CroisiFrance, devrait enfin permettre d’atteindre en France une progression à deux chiffres et peut-être espérer, en 2005, dépasser le cap des 300.000 passagers !
Jean-François GOURDON - redaction@tourmag.com
Un challenge qui ne semble pas effrayer l’ancien président de l’association CroisiMer, Yannis Vasiliakopoulos. « Nous sommes dores et déjà programmé parmi les plus grands TO (Jet tours, CIC, Fram, Héliades, Austro Pauli…) qui reconnaissent la qualité de nos produits et de nos itinéraires particulièrement attractifs ».
En effet, CroisiFrance présente des croisières de 7 jours vers les îles grecques au départ de Marseille, des week-ends croisières au départ d’Athènes ou des combinés séjours/croisières qui devraient remporter un franc succès.
Avec la publication d’une nouvelle brochure et une équipe renforcée, CroisiFrance, devrait enfin permettre d’atteindre en France une progression à deux chiffres et peut-être espérer, en 2005, dépasser le cap des 300.000 passagers !
Jean-François GOURDON - redaction@tourmag.com
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
