On s’attendait à l’entendre un peu fatiguée, comme on l’imagine après avoir cédé Vaovert, sa start-up créée il y a cinq ans et passée par une phase de cessation de paiement très rapide - trop rapide. Mais au téléphone, c’est une voix enjouée qu’on retrouve.
Mélanie Mambré est heureuse, malgré tout ça, et c’est sincère. Il parait que ses amis le lui disent : « On ne te reconnaît pas, tu es détendue : on retrouve la Mélanie d’il y a cinq ans » ! Il faut dire que la gestion d’une entreprise est prenante et que, selon ses dires, le petit projet d’une backpackeuse lui avait un peu échappé.
C’est donc joyeuse, pleine d’entrain et bien dans sa nouvelle vie qu’on a retrouvé Mélanie.
Mélanie Mambré est heureuse, malgré tout ça, et c’est sincère. Il parait que ses amis le lui disent : « On ne te reconnaît pas, tu es détendue : on retrouve la Mélanie d’il y a cinq ans » ! Il faut dire que la gestion d’une entreprise est prenante et que, selon ses dires, le petit projet d’une backpackeuse lui avait un peu échappé.
C’est donc joyeuse, pleine d’entrain et bien dans sa nouvelle vie qu’on a retrouvé Mélanie.
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TourMaG.com - Vous avez l’air d’aller super bien ! Vous ouvrez une nouvelle porte avec Vaolo ?
Mélanie Mambré : Oui, je suis hyper heureuse de la suite, et de la forme que prend la suite pour moi. Vaolo c’est une belle entité, dont je partage les valeurs.
C’est la fondation Village Monde qui est derrière. Elle a été créée par Charles Mony, un Canadien qui a fait deux ans d'expédition sur un voilier. Il y a découvert plein d'endroits magiques qu'il a voulu faire connaître en passant par le tourisme et il a créé la fondation Village Monde.
De là est née Vaolo, une plateforme qui valorise les endroits hors des sentiers battus tels que ceux qu’on soutenait à Vaovert, avec en plus la proposition d’une activité, et un volet collaboratif : les voyageurs valident les hébergements et les activités.
Mélanie Mambré : Oui, je suis hyper heureuse de la suite, et de la forme que prend la suite pour moi. Vaolo c’est une belle entité, dont je partage les valeurs.
C’est la fondation Village Monde qui est derrière. Elle a été créée par Charles Mony, un Canadien qui a fait deux ans d'expédition sur un voilier. Il y a découvert plein d'endroits magiques qu'il a voulu faire connaître en passant par le tourisme et il a créé la fondation Village Monde.
De là est née Vaolo, une plateforme qui valorise les endroits hors des sentiers battus tels que ceux qu’on soutenait à Vaovert, avec en plus la proposition d’une activité, et un volet collaboratif : les voyageurs valident les hébergements et les activités.
TourMaG.com - Vous connaissiez Vaolo ?
Mélanie Mambré : Vaolo est né en 2019. Je les ai découverts en 2020, un an après leur création quand ils sont devenus partenaires d’Alentour m’a interrogé, je me suis renseignée sur leur financement, à la fois public et privé, leur fonctionnement et j’ai adoré l’idée d’intégrer une activité.
Naturellement, je voyage comme ça, et ça fait encore plus sens pour moi que ce qu’on faisait à Vaovert : on dépasse la pression du format OTA. Bref, je suis déjà dans l’après !
Mélanie Mambré : Vaolo est né en 2019. Je les ai découverts en 2020, un an après leur création quand ils sont devenus partenaires d’Alentour m’a interrogé, je me suis renseignée sur leur financement, à la fois public et privé, leur fonctionnement et j’ai adoré l’idée d’intégrer une activité.
Naturellement, je voyage comme ça, et ça fait encore plus sens pour moi que ce qu’on faisait à Vaovert : on dépasse la pression du format OTA. Bref, je suis déjà dans l’après !
TourMaG.com - L’année dernière, vous parliez de vous ouvrir à l’Europe, puis de la création d’une application... Tout semblait aller, que s’est il passé ?
Mélanie Mambré : C'est sûr, on avait des projets ! En fait, des financements très solides étaient prévus, mais ils ne sont jamais venus.
On a été pris au dépourvu, c’était très violent et très rapide.
J’ai demandé à mes investisseurs, mais c’est arrivé pile au moment où démarrait la guerre en Ukraine, on ne savait pas ce qu'il allait se passer pour le tourisme… Ils n’ont pas suivi : on est passés en cessation de paiement, puis un mois après en redressement judiciaire et, avec la pression du conflit ukrainien, très vite est arrivé le dépôt de bilan.
Mais je suis dans l'acceptation, je ne regrette rien, au contraire !
Mélanie Mambré : C'est sûr, on avait des projets ! En fait, des financements très solides étaient prévus, mais ils ne sont jamais venus.
On a été pris au dépourvu, c’était très violent et très rapide.
J’ai demandé à mes investisseurs, mais c’est arrivé pile au moment où démarrait la guerre en Ukraine, on ne savait pas ce qu'il allait se passer pour le tourisme… Ils n’ont pas suivi : on est passés en cessation de paiement, puis un mois après en redressement judiciaire et, avec la pression du conflit ukrainien, très vite est arrivé le dépôt de bilan.
Mais je suis dans l'acceptation, je ne regrette rien, au contraire !
TourMaG.com - Comment le conflit en Ukraine a pu avoir une influence sur l’avenir de Vaovert ?
Mélanie Mambré : Certes, Vaovert proposait des hébergements franco-français, mais comme vous le disiez, nous avions un plan de développement qui ouvrait sur l'Europe et notamment vers le nord et l'est.
Mais au-delà de ça, c'était un trop-plein. Après deux ans de covid, où les investisseurs ont été d'un grand soutien, où l'équipe a tout donné, on ne se sentait pas capable de dépasser encore cette épreuve.
Deux ans de survie et puis cette guerre qui arrive, on ne savait pas ce qu'il allait se passer, on se demandait si le conflit pouvait venir jusqu'ici… C'est devenu trop lourd à porter pour tout le monde.
Mélanie Mambré : Certes, Vaovert proposait des hébergements franco-français, mais comme vous le disiez, nous avions un plan de développement qui ouvrait sur l'Europe et notamment vers le nord et l'est.
Mais au-delà de ça, c'était un trop-plein. Après deux ans de covid, où les investisseurs ont été d'un grand soutien, où l'équipe a tout donné, on ne se sentait pas capable de dépasser encore cette épreuve.
Deux ans de survie et puis cette guerre qui arrive, on ne savait pas ce qu'il allait se passer, on se demandait si le conflit pouvait venir jusqu'ici… C'est devenu trop lourd à porter pour tout le monde.
TourMaG.com - Désormais, Vaovert a trouvé de nouveaux repreneurs, est-ce que vous aurez toujours un pied dedans ?
Mélanie Mambré : Ah ça on verra, j'aimerais bien, c'est entre les mains du repreneur désormais ! Je ne peux pas dévoiler son nom, il l'annoncera très bientôt. Mais je suis vraiment contente que ce soit cet acteur-là, vraiment.
Je ne m'étais pas rendu compte de la résonance de Vaovert, mais à l'ouverture de l'offre, j'ai découvert une dizaine de propositions ! Avec des candidats parfois très surprenants, d'autres dont je n'avais pas idée qui nous connaissaient… Et dans ces 10 offres, celui qui fait la meilleure offre est justement un acteur du tourisme durable.
Ça nous a tous beaucoup rassurés quant à l'avenir possible de Vaovert.
Je ressors endettée, il faut rembourser la caution solidaire et l'APST, je ne me paie plus depuis décembre, je n'y gagne absolument rien, et je suis un peu dépossédée.
Il faut accepter de n'avoir plus aucun droit sur l'entreprise qu'on a créé, plus le droit de parler en son nom. J'avais peur que Vaovert soit utilisé pour faire du greenwashing, qu'on traite mal mes partenaires. C'était dur, mais là je suis rassurée, j'ai totale confiance.
Mélanie Mambré : Ah ça on verra, j'aimerais bien, c'est entre les mains du repreneur désormais ! Je ne peux pas dévoiler son nom, il l'annoncera très bientôt. Mais je suis vraiment contente que ce soit cet acteur-là, vraiment.
Je ne m'étais pas rendu compte de la résonance de Vaovert, mais à l'ouverture de l'offre, j'ai découvert une dizaine de propositions ! Avec des candidats parfois très surprenants, d'autres dont je n'avais pas idée qui nous connaissaient… Et dans ces 10 offres, celui qui fait la meilleure offre est justement un acteur du tourisme durable.
Ça nous a tous beaucoup rassurés quant à l'avenir possible de Vaovert.
Je ressors endettée, il faut rembourser la caution solidaire et l'APST, je ne me paie plus depuis décembre, je n'y gagne absolument rien, et je suis un peu dépossédée.
Il faut accepter de n'avoir plus aucun droit sur l'entreprise qu'on a créé, plus le droit de parler en son nom. J'avais peur que Vaovert soit utilisé pour faire du greenwashing, qu'on traite mal mes partenaires. C'était dur, mais là je suis rassurée, j'ai totale confiance.
TourMaG.com - Vous avez posté un message d’adieu à Vaovert sur Linkedin et on pouvait sentir une vraie aventure humaine derrière Vaovert...
Mélanie Mambré : L'humain, c'est ce qui a été le plus riche pour moi dans Vaovert. Et ce message était un peu un moment de deuil pour moi. Depuis des mois, j'étais dedans sans pouvoir en parler… Mais le plus dur a été de le dire à l'équipe.
On était sept, des gens ont déménagé pour travailler avec moi, on était une vraie famille. On partageait des valeurs, on échangeait énormément, même pendant la pandémie, on était proche, avec des gens qui se complètent et se ressemblent.
Ils m'ont beaucoup soutenue, y compris par des gestes, en me prenant dans les bras, par la parole, en me demandant "et toi, ça va Mélanie ?", en me disant d'aller me promener, faire une rando… J'en suis encore émue d'en parler. C'était dingue toute cette bienveillance. Ça soude, ces moments-là.
Et je suis super heureuse parce qu'ils ont tous retrouvé du travail, et ce qui est très parlant, c'est qu'ils sont chez des partenaires ou des clients de Vaovert : à Clef Verte, chez un groupe hôtelier de charme, dans un OT… Ce qui montre qu'il y a vraiment une reconnaissance du travail effectué.
On a vraiment envie de continuer à travailler ensemble, mais d'une autre manière, par des partenariats pourquoi pas !
Mélanie Mambré : L'humain, c'est ce qui a été le plus riche pour moi dans Vaovert. Et ce message était un peu un moment de deuil pour moi. Depuis des mois, j'étais dedans sans pouvoir en parler… Mais le plus dur a été de le dire à l'équipe.
On était sept, des gens ont déménagé pour travailler avec moi, on était une vraie famille. On partageait des valeurs, on échangeait énormément, même pendant la pandémie, on était proche, avec des gens qui se complètent et se ressemblent.
Ils m'ont beaucoup soutenue, y compris par des gestes, en me prenant dans les bras, par la parole, en me demandant "et toi, ça va Mélanie ?", en me disant d'aller me promener, faire une rando… J'en suis encore émue d'en parler. C'était dingue toute cette bienveillance. Ça soude, ces moments-là.
Et je suis super heureuse parce qu'ils ont tous retrouvé du travail, et ce qui est très parlant, c'est qu'ils sont chez des partenaires ou des clients de Vaovert : à Clef Verte, chez un groupe hôtelier de charme, dans un OT… Ce qui montre qu'il y a vraiment une reconnaissance du travail effectué.
On a vraiment envie de continuer à travailler ensemble, mais d'une autre manière, par des partenariats pourquoi pas !
TourMaG.com - C’est quoi, les moments les plus marquants de Vaovert ?
Mélanie Mambré : Pour moi il y en a deux très forts.
Le premier, c'était juste avant la création juridique de Vaovert. Je bossais depuis un an sur le projet, et je visitais beaucoup d'hébergements.
Je me souviens d'un en particulier, il n'était pas très loin de chez moi, avec une ambiance très amérindienne. Je stressais de monter ce projet, je ne connaissais rien au secteur, j'avais peur de me lancer… L'hébergeur m'a prise par la main, il a placé un bâton devant nous sur la pelouse, et il a dit : « si tu ne t'en sens pas capable, on va sauter ce pas et passer de l'autre côté ensemble ». Je sais que ça peut sembler idiot, mais ça m'a beaucoup aidé.
Et c'est quelque chose que je retiens des gérants d'établissements que j'ai pu rencontrer : beaucoup de bienveillance.
L'autre moment fort que je garde en tête, c'est quand Atout France et l'Open City Lab nous ont désigné 3e entreprise innovante. En pleine pandémie, se dire qu'on est une solution pour le futur, ça fait un bien fou, ça donne confiance.
Mélanie Mambré : Pour moi il y en a deux très forts.
Le premier, c'était juste avant la création juridique de Vaovert. Je bossais depuis un an sur le projet, et je visitais beaucoup d'hébergements.
Je me souviens d'un en particulier, il n'était pas très loin de chez moi, avec une ambiance très amérindienne. Je stressais de monter ce projet, je ne connaissais rien au secteur, j'avais peur de me lancer… L'hébergeur m'a prise par la main, il a placé un bâton devant nous sur la pelouse, et il a dit : « si tu ne t'en sens pas capable, on va sauter ce pas et passer de l'autre côté ensemble ». Je sais que ça peut sembler idiot, mais ça m'a beaucoup aidé.
Et c'est quelque chose que je retiens des gérants d'établissements que j'ai pu rencontrer : beaucoup de bienveillance.
L'autre moment fort que je garde en tête, c'est quand Atout France et l'Open City Lab nous ont désigné 3e entreprise innovante. En pleine pandémie, se dire qu'on est une solution pour le futur, ça fait un bien fou, ça donne confiance.
TourMaG.com - Malgré une fin difficile, vous ne retenez que des choses positives ?
Mélanie Mambré : Dans toute expérience, il y a du bon et du moins bon. Mais je suis quelqu'un de très optimiste et je crois beaucoup en l'humanité. Alors oui, malgré les épreuves ces derniers temps, ça n'a été que du positif.
Déjà, ça a été un sacré apprentissage - il faut savoir que j'étais autodidacte dans le tourisme, je n'étais qu'une voyageuse passionnée. L'accueil à la fois des institutionnels, des entreprises, des fournisseurs, des clients, le soutien de l'équipe... Tout le monde a porté ce projet.
C'est grâce à tous ceux que j'ai croisés sur ma route, c'est sincère ! Finalement, c'est quelque chose de presque communautaire.
C'est ce que j'aime dans le tourisme durable. Il y a ce respect de l'humain. Quelque chose de solidaire qui va avec les vraies vertus du voyage. Le tourisme conscient, c'est aussi la direction que prend Vaolo, dans laquelle je me retrouve plus encore.
Mélanie Mambré : Dans toute expérience, il y a du bon et du moins bon. Mais je suis quelqu'un de très optimiste et je crois beaucoup en l'humanité. Alors oui, malgré les épreuves ces derniers temps, ça n'a été que du positif.
Déjà, ça a été un sacré apprentissage - il faut savoir que j'étais autodidacte dans le tourisme, je n'étais qu'une voyageuse passionnée. L'accueil à la fois des institutionnels, des entreprises, des fournisseurs, des clients, le soutien de l'équipe... Tout le monde a porté ce projet.
C'est grâce à tous ceux que j'ai croisés sur ma route, c'est sincère ! Finalement, c'est quelque chose de presque communautaire.
C'est ce que j'aime dans le tourisme durable. Il y a ce respect de l'humain. Quelque chose de solidaire qui va avec les vraies vertus du voyage. Le tourisme conscient, c'est aussi la direction que prend Vaolo, dans laquelle je me retrouve plus encore.
TourMaG.com - Chez Vaolo justement, vous serez « responsable du développement Europe » quel sera votre rôle ?
Mélanie Mambré : Vaolo a été d'abord pensé comme un projet franco-québécois… Mais ils se sont lancés un mois avant la pandémie ! Alors il a fallu freiner un peu le développement. Malgré tout, la France représente déjà 30 % de l'offre, ça n'est pas rien.
Mon rôle va être de développer et gérer les relations avec les partenaires, les institutions, les clients… Et la communauté des explorateurs. Je m'occupe de l'Europe avec en priorité la France, mais aussi l'Italie, le Portugal et l'Espagne.
On va élargir l'année prochaine. Mais d'abord, on a une levée de fonds qui se termine en mars 2023, et qui permettra justement de se structurer et renforcer les équipes en vue d'aller plus loin.
En attendant, le boulot commence dès ce week-end ! Je participerai à une table-ronde du Festival du Tourisme Équitable pour Vaolo, j'ai hâte de retrouver cette ambiance du tourisme durable que j'aime tant : on est dans l'écoute de l'autre et le respect mais sans oublier le business.
Mélanie Mambré : Vaolo a été d'abord pensé comme un projet franco-québécois… Mais ils se sont lancés un mois avant la pandémie ! Alors il a fallu freiner un peu le développement. Malgré tout, la France représente déjà 30 % de l'offre, ça n'est pas rien.
Mon rôle va être de développer et gérer les relations avec les partenaires, les institutions, les clients… Et la communauté des explorateurs. Je m'occupe de l'Europe avec en priorité la France, mais aussi l'Italie, le Portugal et l'Espagne.
On va élargir l'année prochaine. Mais d'abord, on a une levée de fonds qui se termine en mars 2023, et qui permettra justement de se structurer et renforcer les équipes en vue d'aller plus loin.
En attendant, le boulot commence dès ce week-end ! Je participerai à une table-ronde du Festival du Tourisme Équitable pour Vaolo, j'ai hâte de retrouver cette ambiance du tourisme durable que j'aime tant : on est dans l'écoute de l'autre et le respect mais sans oublier le business.
Les Césars du Voyage Responsable
Rappelons que TourMaG et le Petit Futé organisent "Les Césars du Voyage Responsable".
Forts d’une audience mensuelle de plusieurs millions d’internautes, les deux titres assureront la promotion BtoBtoC des projets candidats.
Cet événement débutera en septembre 2022 avec la phase des votes qui durera jusqu'en février 2023.
La cérémonie des Césars du Voyage Responsable, quant à elle, aura lieu en mars 2023.
Si vous souhaitez candidater, prenez rendez-vous ci-dessous avec Fabien da Luz, DG associé de TourMaG.com.
A lire aussi : Césars du Voyage Responsable : “Il y a une urgence à agir dans notre métier…”
Forts d’une audience mensuelle de plusieurs millions d’internautes, les deux titres assureront la promotion BtoBtoC des projets candidats.
Cet événement débutera en septembre 2022 avec la phase des votes qui durera jusqu'en février 2023.
La cérémonie des Césars du Voyage Responsable, quant à elle, aura lieu en mars 2023.
Si vous souhaitez candidater, prenez rendez-vous ci-dessous avec Fabien da Luz, DG associé de TourMaG.com.
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