Air France et Accor déplorent le manque de rigueur de l'étude et l'absence de transparence dans les échanges qui ont suivi la remise de ce rapport au ministère - DR : Air France
Le gouvernement a dévoilé, jeudi 6 février 2020, le nom de sept entreprises françaises, soupçonnées de discrimination à l'embauche, annonce France Info.
Parmi elles, Accor et Air France.
Il s'agit des résultats d'une étude menée "au sein de 40 grandes entreprises françaises entre octobre 2018 et janvier 2019" par une équipe de chercheurs de l'université Paris-Est-Créteil à la demande du ministère de la Ville et du Logement.
Ils mettent en évidence "une discrimination significative et robuste selon le critère de l'origine à l'encontre du candidat présumé maghrébin".
Parmi elles, Accor et Air France.
Il s'agit des résultats d'une étude menée "au sein de 40 grandes entreprises françaises entre octobre 2018 et janvier 2019" par une équipe de chercheurs de l'université Paris-Est-Créteil à la demande du ministère de la Ville et du Logement.
Ils mettent en évidence "une discrimination significative et robuste selon le critère de l'origine à l'encontre du candidat présumé maghrébin".
Les entreprises concernées répondent
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Dans un communiqué commun, six des sept entreprises concernées, dont Accor et Air France, ont exprimé "leur profond désaccord et leur indignation face aux faiblesses manifestes de la méthodologie utilisée qui aboutit à des conclusions erronées".
Les entreprises "déplorent le manque de rigueur de l'étude et l'absence de transparence dans les échanges qui ont suivi la remise de ce rapport au ministère".
Elles rappellent "les engagements sociaux et sociétaux qu'elles prennent (...) pour assurer une égalité de traitement dans le recrutement et lutter pour l'égalité des chances."
Les entreprises "déplorent le manque de rigueur de l'étude et l'absence de transparence dans les échanges qui ont suivi la remise de ce rapport au ministère".
Elles rappellent "les engagements sociaux et sociétaux qu'elles prennent (...) pour assurer une égalité de traitement dans le recrutement et lutter pour l'égalité des chances."