Suite aux témoignages collectés, non seulement la reprise est timide, mais le vrai redémarrage s'éloigne - Crédit photo : Depositphotos @Aetb
Il y a deux mois, quasiment jour pour jour, le patron du SETO, René-Marc Chilkli se montrait pessimiste pour le secteur.
"L'heure n'est pas au redémarrage du tourisme et encore moins à s'épancher dans la presse, mais à sauver notre industrie."
Un fatalisme qui contrebalançait un peu avec des patrons de réseaux, annonçant un redémarrage certes timide, mais bien tangible.
Les frontières de l'Europe ont rouvert, mais aussi celles de 15 autres pays, dont la destination chouchoute des voyageurs français, à savoir la Tunisie.
De quoi voir la vie en rose "coquille d'oeuf", donc plutôt pâlotte, mais rose quand même ?
Pour se faire une idée, plus proche du terrain et de la réalité, nous avons appelé des agences indépendantes, éparpillées un peu partout en France.
Une chose est sûre, l'enthousiasme et l'énergie de la réouverture des agences sont redescendus, remplacés par la lassitude des rares visites et des étals quasiment vides.
"C'est compliqué, angoissant, je ne vais pas vous dire que la situation est simple," souffle un peu désabusé, Martine Juen, la fondatrice et présidente de Havas Juen Voyages.
Malgré son optimisme et sa force de caractère, l'Avignonnaise avait la voix des mauvais jours, mais elle donnera le tempo des autres témoignages.
"L'heure n'est pas au redémarrage du tourisme et encore moins à s'épancher dans la presse, mais à sauver notre industrie."
Un fatalisme qui contrebalançait un peu avec des patrons de réseaux, annonçant un redémarrage certes timide, mais bien tangible.
Les frontières de l'Europe ont rouvert, mais aussi celles de 15 autres pays, dont la destination chouchoute des voyageurs français, à savoir la Tunisie.
De quoi voir la vie en rose "coquille d'oeuf", donc plutôt pâlotte, mais rose quand même ?
Pour se faire une idée, plus proche du terrain et de la réalité, nous avons appelé des agences indépendantes, éparpillées un peu partout en France.
Une chose est sûre, l'enthousiasme et l'énergie de la réouverture des agences sont redescendus, remplacés par la lassitude des rares visites et des étals quasiment vides.
"C'est compliqué, angoissant, je ne vais pas vous dire que la situation est simple," souffle un peu désabusé, Martine Juen, la fondatrice et présidente de Havas Juen Voyages.
Malgré son optimisme et sa force de caractère, l'Avignonnaise avait la voix des mauvais jours, mais elle donnera le tempo des autres témoignages.
Aux quatre coins de France, le blues des agents de voyages...
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Un peu plus à l'Est dans les contreforts des collines du Lubéron, l'ambiance n'est pas franchement à la rigolade, malgré le sourire qui perce au téléphone.
"Autant la dernière fois que nous avions échangé (le 18 mai 2020, ndlr) j'étais positive, maintenant j'essaye de passer le cap, car plus nous avançons et moins nous avons de visibilité," confie Marie Cornacchia, gérante d'Envie d'Ailleurs (TUI Store).
Depuis mi-mai, la jeune femme a concrétisé... deux ventes.
Et dans ce coin ensoleillé de la France, vendre notre destination alors que les montagnes et la mer ne sont qu'à quelques minutes de voiture, n'est pas chose aisée.
Abandonnons le soleil du sud, pour prendre la direction de la capitale et le très huppé VIe arrondissement de Paris.
"Nous n'avons pas ou très peu de clients, depuis la réouverture, nous devons tourner à 5% de notre fréquentation habituelle.
Les seules personnes à voyager sont celles qui sont obligées," rapporte le responsable d'un point de vente à la fois loisirs et affaires.
Ainsi, le business travel aurait repris mais essentiellement grâce aux collaborateurs de PME, les grands groupes privilégient les visioconférences.
Et justement le télétravail dans le secteur de la distribution a permis de suivre les dossiers, durant le confinement et même après.
"Nous étions chez nous, puis à partir du 15 juin, nous avons rouvert les agences.
Cela se passe plutôt bien, avec une activité qui tourne autour des 20%, report et nouvelles ventes compris," explique Laurent Baillieul, directeur général de Norest Voyages.
Dans cette période délicate, un taux d'activité à deux chiffres équivaut presque à une victoire en Coupe du monde.
"Autant la dernière fois que nous avions échangé (le 18 mai 2020, ndlr) j'étais positive, maintenant j'essaye de passer le cap, car plus nous avançons et moins nous avons de visibilité," confie Marie Cornacchia, gérante d'Envie d'Ailleurs (TUI Store).
Depuis mi-mai, la jeune femme a concrétisé... deux ventes.
Et dans ce coin ensoleillé de la France, vendre notre destination alors que les montagnes et la mer ne sont qu'à quelques minutes de voiture, n'est pas chose aisée.
Abandonnons le soleil du sud, pour prendre la direction de la capitale et le très huppé VIe arrondissement de Paris.
"Nous n'avons pas ou très peu de clients, depuis la réouverture, nous devons tourner à 5% de notre fréquentation habituelle.
Les seules personnes à voyager sont celles qui sont obligées," rapporte le responsable d'un point de vente à la fois loisirs et affaires.
Ainsi, le business travel aurait repris mais essentiellement grâce aux collaborateurs de PME, les grands groupes privilégient les visioconférences.
Et justement le télétravail dans le secteur de la distribution a permis de suivre les dossiers, durant le confinement et même après.
"Nous étions chez nous, puis à partir du 15 juin, nous avons rouvert les agences.
Cela se passe plutôt bien, avec une activité qui tourne autour des 20%, report et nouvelles ventes compris," explique Laurent Baillieul, directeur général de Norest Voyages.
Dans cette période délicate, un taux d'activité à deux chiffres équivaut presque à une victoire en Coupe du monde.
Mais pourquoi la résilience décline peu à peu ?
Si ces témoignages ne sont pas nécessairement empreints d'optimisme, il ne faut pas perdre d'esprit que l'été n'est pas propice aux ventes et aux volumes démentiels.
Toutefois après deux mois d'arrêts, les professionnels s'attendaient à un retour sans doute plus punchy, le quotidien est invariablement rythmé au mieux par les reports au pire par l'absence de client.
"Nous faisons et défaisons tout, franchement il n'y a pas de reprise. Petit à petit, nous perdons notre optimisme," souffle la patronne du point de vente de Manosque.
Il faut dire que si les frontières européennes ont rouvert, même cela ne s'est pas fait dans la plus grande des clartés et depuis les informations sont fluctuantes et parfois même peu rassurantes...
Et le responsable de l'agence de Paris de confier l'expérience vécue par deux de ses clients.
"L'Espagne impose de remplir un formulaire, afin d'envoyer un QR code permettant d'entrer sur le territoire. J'ai dû le faire pour des clients, nous n'avons jamais reçu d'email ni de message."
Et donc par la même occasion pas reçu la clé d'entrée sur la destination. La complexité est la même pour passer le fameux test PCR afin de rentrer dans les 72 ou 48 heures exigées, selon les moyens de transport.
"Dans ces conditions, il faut être vraiment téméraire pour voyager," poursuit-il. Ce qui explique sans doute que ce n'est pas la foule des grands jours dans les agences françaises.
Et même lorsque les bonnes intentions sont là et le courage affiché, les désillusions ne sont jamais très loin.
A l'image de Martine Juen, ayant réuni toute son équipe la semaine dernière, à plein temps, afin d'opérer une mission commando sur les reports.
"C'était mission impossible, les prestataires ne répondent pas, les vols ne sont pas ouverts en 2021, donc nous n'avons même pas fait la moitié des objectifs fixés.
Je ne sais pas qu'elle est la bonne attitude..."
D'autant plus que si les reports ont atteint 35% des voyages concernés par l'ordonnance, plus 9% suite à l'opération commando, depuis le début de la semaine les dossiers reportés sont de nouveau annulés.
L'espoir se fait de plus en plus mince face au nuage d'incertitude qui, lui, s'épaissit de plus en plus.
Toutefois après deux mois d'arrêts, les professionnels s'attendaient à un retour sans doute plus punchy, le quotidien est invariablement rythmé au mieux par les reports au pire par l'absence de client.
"Nous faisons et défaisons tout, franchement il n'y a pas de reprise. Petit à petit, nous perdons notre optimisme," souffle la patronne du point de vente de Manosque.
Il faut dire que si les frontières européennes ont rouvert, même cela ne s'est pas fait dans la plus grande des clartés et depuis les informations sont fluctuantes et parfois même peu rassurantes...
Et le responsable de l'agence de Paris de confier l'expérience vécue par deux de ses clients.
"L'Espagne impose de remplir un formulaire, afin d'envoyer un QR code permettant d'entrer sur le territoire. J'ai dû le faire pour des clients, nous n'avons jamais reçu d'email ni de message."
Et donc par la même occasion pas reçu la clé d'entrée sur la destination. La complexité est la même pour passer le fameux test PCR afin de rentrer dans les 72 ou 48 heures exigées, selon les moyens de transport.
"Dans ces conditions, il faut être vraiment téméraire pour voyager," poursuit-il. Ce qui explique sans doute que ce n'est pas la foule des grands jours dans les agences françaises.
Et même lorsque les bonnes intentions sont là et le courage affiché, les désillusions ne sont jamais très loin.
A l'image de Martine Juen, ayant réuni toute son équipe la semaine dernière, à plein temps, afin d'opérer une mission commando sur les reports.
"C'était mission impossible, les prestataires ne répondent pas, les vols ne sont pas ouverts en 2021, donc nous n'avons même pas fait la moitié des objectifs fixés.
Je ne sais pas qu'elle est la bonne attitude..."
D'autant plus que si les reports ont atteint 35% des voyages concernés par l'ordonnance, plus 9% suite à l'opération commando, depuis le début de la semaine les dossiers reportés sont de nouveau annulés.
L'espoir se fait de plus en plus mince face au nuage d'incertitude qui, lui, s'épaissit de plus en plus.
La sortie de l'UFC Que Choisir a-t-elle eu un impact sur les clients ?
Le son de cloche est exactement le même à Reims.
"Le plus difficile dans tout ça, c'est l'incertitude. Même dans les destinations rouvertes, nous ne sommes pas sûrs de pouvoir y envoyer des clients," clame Sébastien Higonet, le fondateur et gérant de Vinotilus Voyages.
Une situation pas franchement engageante pour les clients.
Dans ces conditions, la reprise tant attendue de septembre pourrait bien être décalée aux calendes grecques, même si l'envie de voyager n'a pas disparu, c'est une certitude.
"Le mois de septembre tant espéré risque de ne pas être celui que nous souhaitons tous, ça va être compliqué," pour Marie Cornacchia, gérante d'Envie d'Ailleurs (TUI Store).
Pour la première fois depuis des décennies, notre vision se focalise pour la semaine suivante, les regards peinent à voir plus loin, tant l'épidémie rebat toutes les certitudes.
Les agents interrogés sont tellement peu sereins, que la meilleure des aides pourrait être... la chance !
"Je croise les doigts pour que la reprise ait lieu à l'hiver prochain," souhaite le patron de Norest Voyages.
Personne ne peut prédire ce qu'il se passera d'ici, nous espérons bien sûr tous que la situation épidémiologique de notre pays et du monde s'améliore et que la covid-19, ne soit plus qu'un lointain souvenir.
Surtout que la relation avec les clients est parfois complexe, notamment depuis la sortie médiatique de l'UFC Que Choisir.
"Un client est venu pour exiger son remboursement. Je lui ai dit : aucun problème, je vous fais le chèque et nous signons les 12 lettres de licenciement ensemble.
Je sais que ce n'est pas terrible comme réaction, mais nous n'avons plus le choix" peste Martine Juen.
Il ne faut pas non plus noircir le tableau. De l'avis de tous ce cas est isolé, toutefois si l'association de consommateurs persiste ce genre d'anecdotes pourrait fleurir un peu partout.
"Le plus difficile dans tout ça, c'est l'incertitude. Même dans les destinations rouvertes, nous ne sommes pas sûrs de pouvoir y envoyer des clients," clame Sébastien Higonet, le fondateur et gérant de Vinotilus Voyages.
Une situation pas franchement engageante pour les clients.
Dans ces conditions, la reprise tant attendue de septembre pourrait bien être décalée aux calendes grecques, même si l'envie de voyager n'a pas disparu, c'est une certitude.
"Le mois de septembre tant espéré risque de ne pas être celui que nous souhaitons tous, ça va être compliqué," pour Marie Cornacchia, gérante d'Envie d'Ailleurs (TUI Store).
Pour la première fois depuis des décennies, notre vision se focalise pour la semaine suivante, les regards peinent à voir plus loin, tant l'épidémie rebat toutes les certitudes.
Les agents interrogés sont tellement peu sereins, que la meilleure des aides pourrait être... la chance !
"Je croise les doigts pour que la reprise ait lieu à l'hiver prochain," souhaite le patron de Norest Voyages.
Personne ne peut prédire ce qu'il se passera d'ici, nous espérons bien sûr tous que la situation épidémiologique de notre pays et du monde s'améliore et que la covid-19, ne soit plus qu'un lointain souvenir.
Surtout que la relation avec les clients est parfois complexe, notamment depuis la sortie médiatique de l'UFC Que Choisir.
"Un client est venu pour exiger son remboursement. Je lui ai dit : aucun problème, je vous fais le chèque et nous signons les 12 lettres de licenciement ensemble.
Je sais que ce n'est pas terrible comme réaction, mais nous n'avons plus le choix" peste Martine Juen.
Il ne faut pas non plus noircir le tableau. De l'avis de tous ce cas est isolé, toutefois si l'association de consommateurs persiste ce genre d'anecdotes pourrait fleurir un peu partout.
Quels sont les remèdes à cette période d'angoisse ?
En attendant, pour survivre après autant de jours sans activité ni client, les solutions ne sont pas légions, mais elles existent.
Notamment du côté de la Champage, où Vinotilus affiche un profil différent de nombreux points de vente hexagonaux.
En effet, l'agence répartit son activité entre émetteur, réceptif et producteur de voyages, autour du vin et de la voile.
"Cette année le plus gros de mon travail sera celui de producteur, nous avons d'ailleurs élargi notre offre autour de séjours à vélo ou sur les rivières françaises.
Sur ce segment nous aurons un exercice supérieur à la normale," prédit Sébastien Higonet.
Alors que dans le Sud, l'ambiance reste morose, dans l'Est le regard se pose chez le voisin allemand pour Norest Voyages.
"Ici le redémarrage des tour-opérateurs est plus lent. En Allemagne, les TO maîtrisent de bout en bout le séjour et affrètent des vols.
J'ai booké des séjours sur TUI Allemagne ou encore Luxair," explique Laurent Baillieul.
Sauf que les milliers d'agents ne peuvent pas se tourner vers ces solutions.
"Vous en connaissez, ne serait-ce qu'une, une profession qui travaille sans être rémunérée depuis des mois ? Personnellement, je n'en connais pas," questionne l'Avignonnaise.
Le gouvernement français a mis en place des aides et le chômage partiel, dont le taux plein se termine en septembre, mais les organisations professionnelles se battent pour prolonger au-delà de 2020 cette échéance.
Sauf que les problématiques sont multiples et les voies d'eau dans le navire tourisme nombreuses.
"Nous avons souscrit au fameux PGE pour 80 000 soit le prix de ma structure.
Il n'y a pour le moment pas de problème de trésorerie, mais nous nous retrouvons encore plus endettés," souffle le gérant du point de vente dans le VIe arrondissement de Paris.
En l'état et si les signatures en bas des contrats de voyages ne s'empilent pas en nombre à l'automne, il sera nécessaire de repenser l'aide à tout un secteur.
Si l'exécutif ne s’exécutait pas, alors la casse sera tristement historique et la réaction en chaîne terrible. Mais pour l'instant, tout ça relève du film fiction, tant l'échéance parait lointaine.
Mais si tel était le cas, alors "à la fin, il ne restera que les passionnés" se veut fataliste le directeur général de Norest Voyages.
Et à TourMaG.com, nous ne doutons pas que cette catégorie représente la grande majorité des agents de voyages.
Notamment du côté de la Champage, où Vinotilus affiche un profil différent de nombreux points de vente hexagonaux.
En effet, l'agence répartit son activité entre émetteur, réceptif et producteur de voyages, autour du vin et de la voile.
"Cette année le plus gros de mon travail sera celui de producteur, nous avons d'ailleurs élargi notre offre autour de séjours à vélo ou sur les rivières françaises.
Sur ce segment nous aurons un exercice supérieur à la normale," prédit Sébastien Higonet.
Alors que dans le Sud, l'ambiance reste morose, dans l'Est le regard se pose chez le voisin allemand pour Norest Voyages.
"Ici le redémarrage des tour-opérateurs est plus lent. En Allemagne, les TO maîtrisent de bout en bout le séjour et affrètent des vols.
J'ai booké des séjours sur TUI Allemagne ou encore Luxair," explique Laurent Baillieul.
Sauf que les milliers d'agents ne peuvent pas se tourner vers ces solutions.
"Vous en connaissez, ne serait-ce qu'une, une profession qui travaille sans être rémunérée depuis des mois ? Personnellement, je n'en connais pas," questionne l'Avignonnaise.
Le gouvernement français a mis en place des aides et le chômage partiel, dont le taux plein se termine en septembre, mais les organisations professionnelles se battent pour prolonger au-delà de 2020 cette échéance.
Sauf que les problématiques sont multiples et les voies d'eau dans le navire tourisme nombreuses.
"Nous avons souscrit au fameux PGE pour 80 000 soit le prix de ma structure.
Il n'y a pour le moment pas de problème de trésorerie, mais nous nous retrouvons encore plus endettés," souffle le gérant du point de vente dans le VIe arrondissement de Paris.
En l'état et si les signatures en bas des contrats de voyages ne s'empilent pas en nombre à l'automne, il sera nécessaire de repenser l'aide à tout un secteur.
Si l'exécutif ne s’exécutait pas, alors la casse sera tristement historique et la réaction en chaîne terrible. Mais pour l'instant, tout ça relève du film fiction, tant l'échéance parait lointaine.
Mais si tel était le cas, alors "à la fin, il ne restera que les passionnés" se veut fataliste le directeur général de Norest Voyages.
Et à TourMaG.com, nous ne doutons pas que cette catégorie représente la grande majorité des agents de voyages.
Note de l'auteur :
Les témoignages recueillis n'ont pas valeur de sondage et ne reflètent que la réalité des agences interviewées.
Dans le lot, il y a une agence dans une grande ville, une autre dans une petite ville et une autre dans un centre commercial, sans oublier l'agence atypique ayant une production France.
Dans le lot, il y a une agence dans une grande ville, une autre dans une petite ville et une autre dans un centre commercial, sans oublier l'agence atypique ayant une production France.