La chute de fréquentation la plus spectaculaire concerne les Allemands et les Britanniques, que le Brexit et la chute de la livre n’ont pas arrangé non plus….
Des clients que l’appréciation de l’euro, notamment, a aussi convaincu de faire leur come back vers des horizons moins onéreux.
Et ce n’est pas un hasard si la Catalogne, Les Baléares et les Canaries, les principales régions touristiques, ont été les premières à en faire les frais. Particulièrement la première.
Un phénomène qui n’arrange pas du tout les affaires de nos amis d’outre-pyrénées dont le tourisme représente plus de… 11% du PIB (7,2% pour la France en 2015) et assure l’emploi de 2,6 millions (contre 1,27 million en France en 2015), selon le quotidien espagnol “l’Expansion”.
Les sources du “pétrole espagnol” se tarissent et ça inquiète les pouvoirs publics. En juillet dernier la chute amorcée en juin s’est confirmée avec une baisse de 6% du nombre des visiteurs (-1,9 million).
Des clients que l’appréciation de l’euro, notamment, a aussi convaincu de faire leur come back vers des horizons moins onéreux.
Et ce n’est pas un hasard si la Catalogne, Les Baléares et les Canaries, les principales régions touristiques, ont été les premières à en faire les frais. Particulièrement la première.
Un phénomène qui n’arrange pas du tout les affaires de nos amis d’outre-pyrénées dont le tourisme représente plus de… 11% du PIB (7,2% pour la France en 2015) et assure l’emploi de 2,6 millions (contre 1,27 million en France en 2015), selon le quotidien espagnol “l’Expansion”.
Les sources du “pétrole espagnol” se tarissent et ça inquiète les pouvoirs publics. En juillet dernier la chute amorcée en juin s’est confirmée avec une baisse de 6% du nombre des visiteurs (-1,9 million).
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Le marché allemand, l’un des principaux marchés émetteurs a , à lui seul, baissé de 11% (-878 976 visiteurs), faisant perdre 5,6 millions de nuitées aux professionnels.
Un revers de conjoncture d’autant plus brutal qu’en 2017 l’Espagne caracolait en tête des progressions pays, avec un record absolu de 82 millions de visiteurs. Un chiffre qui se rapprochait dangereusement de celui (officiel) de l’Hexagone.
Outre les raisons conjoncturelles, déjà évoquées, d’autres, plus structurelles, pourraient expliquer ce retournement.
En effet, les jours du tourisme de masse semblent comptés, même si globalement les flux touristiques dans le monde, selon l'OMT (LIRE) poursuivent leur croissance d’année en année.
Mais il y a fort à parier que les destinations qui resteront à l’écart d’un tourisme qualitatif et sectoriel, plus durable et respectueux de l’environnement, plus authentique et “inspirant”, vont devoir rapidement revoir leur copie.
Le tourisme de masse est mort… vive le tourisme !
Un revers de conjoncture d’autant plus brutal qu’en 2017 l’Espagne caracolait en tête des progressions pays, avec un record absolu de 82 millions de visiteurs. Un chiffre qui se rapprochait dangereusement de celui (officiel) de l’Hexagone.
Outre les raisons conjoncturelles, déjà évoquées, d’autres, plus structurelles, pourraient expliquer ce retournement.
En effet, les jours du tourisme de masse semblent comptés, même si globalement les flux touristiques dans le monde, selon l'OMT (LIRE) poursuivent leur croissance d’année en année.
Mais il y a fort à parier que les destinations qui resteront à l’écart d’un tourisme qualitatif et sectoriel, plus durable et respectueux de l’environnement, plus authentique et “inspirant”, vont devoir rapidement revoir leur copie.
Le tourisme de masse est mort… vive le tourisme !
Publié par Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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