Pour célébrer son 100 000e voyageur, Evaneos a convié mardi 15 mars ses meilleurs clients dans ses locaux parisiens du 9e arrondissement.
L'occasion de revenir sur le succès de cette start-up française, lancée en 2009 par Eric La Bonnardière et Yvan Wibaux.
Evaneos fut la première plateforme mettant en lien les voyageurs et les réceptifs locaux, industrialisant ce qu'on appelle aujourd'hui la désintermédiation.
Un modèle disruptif qui a fait des émules, comme Trace Directe , Do Your Travel , ou le tout récent Local Travel Heroes.
Une concurrence qui n'inquiète absolument pas Eric La Bonnardière, bien au contraire. "Cela permet de faire connaître le modèle et je pense qu'il y a de la place pour tout le monde".
L'occasion de revenir sur le succès de cette start-up française, lancée en 2009 par Eric La Bonnardière et Yvan Wibaux.
Evaneos fut la première plateforme mettant en lien les voyageurs et les réceptifs locaux, industrialisant ce qu'on appelle aujourd'hui la désintermédiation.
Un modèle disruptif qui a fait des émules, comme Trace Directe , Do Your Travel , ou le tout récent Local Travel Heroes.
Une concurrence qui n'inquiète absolument pas Eric La Bonnardière, bien au contraire. "Cela permet de faire connaître le modèle et je pense qu'il y a de la place pour tout le monde".
Trouver des relais de croissance à l'étranger.
Aujourd'hui, Evaneos propose 150 destinations vendues par 650 agents locaux pour une équipe de 70 salariés.
Le panier moyen est de 1 400 euros pour un voyage de 12 jours en moyenne.
Mais Eric La Bonnardière reste très avare de chiffres et n'a pas communiqué sur son volume d'affaires depuis 2010, où il enregistrait 13 millions d'euros. "On ne demande pas son âge à une jeune fille", sourit-il.
Il assure toutefois que la plateforme est rentable depuis son ouverture.
Dans tous les cas, son entreprise séduit les investisseurs. Le site a levé 4,4 millions d'euros en janvier 2014 auprès de divers fonds, comme ISAI et XangePrivateEquity.
Evaneos a également a été sélectionnée parmi les 50 meilleures start-up 2015 du cabinet Deloitte.
Afin de poursuivre sa croissance, le site espère dupliquer son modèle à l'étranger.
Après avoir ouvert une plateforme en Espagne en 2011, une version allemande et italienne en 2012, il s'est lancé en Angleterre l'année dernière.
De quoi constituer son réseau d'agences réceptives anglophones et conquérir ainsi de nouveaux marchés. Aujourd'hui, un voyageur sur trois est étranger.
Le panier moyen est de 1 400 euros pour un voyage de 12 jours en moyenne.
Mais Eric La Bonnardière reste très avare de chiffres et n'a pas communiqué sur son volume d'affaires depuis 2010, où il enregistrait 13 millions d'euros. "On ne demande pas son âge à une jeune fille", sourit-il.
Il assure toutefois que la plateforme est rentable depuis son ouverture.
Dans tous les cas, son entreprise séduit les investisseurs. Le site a levé 4,4 millions d'euros en janvier 2014 auprès de divers fonds, comme ISAI et XangePrivateEquity.
Evaneos a également a été sélectionnée parmi les 50 meilleures start-up 2015 du cabinet Deloitte.
Afin de poursuivre sa croissance, le site espère dupliquer son modèle à l'étranger.
Après avoir ouvert une plateforme en Espagne en 2011, une version allemande et italienne en 2012, il s'est lancé en Angleterre l'année dernière.
De quoi constituer son réseau d'agences réceptives anglophones et conquérir ainsi de nouveaux marchés. Aujourd'hui, un voyageur sur trois est étranger.
Les réceptifs satisfaits du concept
Malgré ses velléités mondiales, Evaneos n'abandonne pas la France pour autant.
Il vient de lancer une nouvelle application iPhone et Android ainsi qu'un guide communautaire de voyages. De quoi séduire une partie des 3 à 4 millions de Français qui partent chaque année à l'étranger.
Quant aux réceptifs, Eric La Bonnardière affirme que le turn-over est très faible, à peine une dizaine par an.
Pourtant, ce travail de vente en direct est assez chronophage : les devis sont souvent assez complexes et les échanges avec le client très fréquents.
Une surcharge de travail qui vaut le coup pour Aurélien, en charge d'un réceptif sur le Costa Rica.
"Nous faisons partir entre 300 et 400 voyageurs par an. Certes, c'est du boulot, mais cela nous apporte un volume de clientèle considérable".
Il s'estime également très satisfait des services offerts par la plateforme. "Ils ne font pas que nous apporter des clients et sont présents en cas de problème. Ils ont également une bonne solution informatique".
Les services offerts par Evaneos sont occasionnellement utilisés par des agences de voyages françaises. Mais cela reste rare.
"Pour l'instant nous ne démarchons pas les professionnels du tourisme en France. Mais nous restons ouverts à toute opportunité de partenariat", assure Eric La Bonnardière.
Il vient de lancer une nouvelle application iPhone et Android ainsi qu'un guide communautaire de voyages. De quoi séduire une partie des 3 à 4 millions de Français qui partent chaque année à l'étranger.
Quant aux réceptifs, Eric La Bonnardière affirme que le turn-over est très faible, à peine une dizaine par an.
Pourtant, ce travail de vente en direct est assez chronophage : les devis sont souvent assez complexes et les échanges avec le client très fréquents.
Une surcharge de travail qui vaut le coup pour Aurélien, en charge d'un réceptif sur le Costa Rica.
"Nous faisons partir entre 300 et 400 voyageurs par an. Certes, c'est du boulot, mais cela nous apporte un volume de clientèle considérable".
Il s'estime également très satisfait des services offerts par la plateforme. "Ils ne font pas que nous apporter des clients et sont présents en cas de problème. Ils ont également une bonne solution informatique".
Les services offerts par Evaneos sont occasionnellement utilisés par des agences de voyages françaises. Mais cela reste rare.
"Pour l'instant nous ne démarchons pas les professionnels du tourisme en France. Mais nous restons ouverts à toute opportunité de partenariat", assure Eric La Bonnardière.